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Votre avis sur New York 1997 ?
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Un grand classique du cinéma de genre. Un scenario simple une ambiance lourde mais vraiment cool! une musique parfaite un décors super ! Un Kurt ultra badasse qui pète la classe!
Une BD live de haut vol!
Une BD live de haut vol!
Manhattan transformé en île prison. Un criminel est envoyé récupéré un type à l'intérieur. Voila le speech.
On pourrait penser que c'est original, mais en y repensant on a déjà vu mieux (The Dark Knight Rises). Alors peut-être ce film était la source d'inspiration, mais elle a vieillit, très mal vieillit.
Effets spéciaux absents, ou immondes, bande-son pourries, bruitages nazes, images sales et vieilles, combats mal chorégraphiés, bref un film de la fin des années 90, mais véritablement sans budget déjà à l'époque.
Un seul intérêt à ce film, voir que les progrès au cinéma dans la technique et la réalisation sont nécessaire pour faire un film décent.
On pourrait penser que c'est original, mais en y repensant on a déjà vu mieux (The Dark Knight Rises). Alors peut-être ce film était la source d'inspiration, mais elle a vieillit, très mal vieillit.
Effets spéciaux absents, ou immondes, bande-son pourries, bruitages nazes, images sales et vieilles, combats mal chorégraphiés, bref un film de la fin des années 90, mais véritablement sans budget déjà à l'époque.
Un seul intérêt à ce film, voir que les progrès au cinéma dans la technique et la réalisation sont nécessaire pour faire un film décent.
Les films apocalyptiques tel que Mad Max, Terminator... étaient à la mode dans les années 80. Içi point de désert ou de robot tueurs, New York ville emblématique des USA est devenu une gigantesque prison où règne l' anarchie. Même si aujourd'hui il peut nous paraître désuet, New York 1997 est un véritable monument qui a inspiré de nombreux films ainsi que la franchise de jeux vidéos Metal Gear Solid.
Les films futuristes apocalyptiques de plusieurs décennies en jettent plein la vue que les plus récents, c'est dire. Grâce au talent de Carpenter, le décor de New York en ruine, conquis par les criminels, a tout pour être crédible.
Pas de vaisseaux spatiaux ni de batailles au fusil laser, il y a un mélange entre l'armée à la pointe de la technologie et les bas-fonds qui conservent un style assez rustique. Le scénario et les personnages restent classiques, les interprétations des acteurs retiennent mieux l'attention. La direction artistique est excellente, l'univers de la prison urbaine représenté avec détail et aussi embelli par la lumière dont les couleurs dominantes sont le vert et le bleu. Si ce n'est pas le chef d'oeuvre du cinéaste, ce film d'action est bien fait et une perle pour le genre.
Pas de vaisseaux spatiaux ni de batailles au fusil laser, il y a un mélange entre l'armée à la pointe de la technologie et les bas-fonds qui conservent un style assez rustique. Le scénario et les personnages restent classiques, les interprétations des acteurs retiennent mieux l'attention. La direction artistique est excellente, l'univers de la prison urbaine représenté avec détail et aussi embelli par la lumière dont les couleurs dominantes sont le vert et le bleu. Si ce n'est pas le chef d'oeuvre du cinéaste, ce film d'action est bien fait et une perle pour le genre.
J'avais oublié à quel point j'aimais John Carpenter, et New York 1997 s'est chargé de me le rappeler. Il faut dire que ce film d'action a tout pour plaire ! Dès la scène d'ouverture, on sait que l'on s'est embarqué dans quelque chose de génial. En trois quatre plans, le réalisateur instaure une ambiance étouffante. On se sent enfermé par ces hauts murs, qui entourent un Manhattan bercé par la nuit. Et puis survient la scène du crash, avec ce plan subjectif se rapprochant d'un gratte-ciel, qui laisse un sacré malaise dans la salle. On retrouve cette atmosphère une fois que Snake, le héros le plus classe du monde, arrive dans les rues dévastées de la métropole. Carpenter emploie beaucoup de plans d'ensemble pour filmer ses décors, qui paraissent donc très vastes. Le héros est réduit à une petite silhouette s'agitant faiblement parmi de nombreux débris métalliques. De plus, le long-métrage profite d'une très belle photographie. Puisque la majorité de l'action se passant de nuit, le noir est utilisé comme une couleur pour peindre des images sombres, presque irréelles. C'est tellement réussi qu'on en vient à regretter le (court) passage de jour, beau mais pas sublime (et il n'a pas ces jolis reflets de lumières, disposés en arcs de cercle, qui accompagnent quelques plans nocturnes). Les objets détruits traînant au beau milieu de la rue ont une disposition particulière, qui confère au film un sentiment "d'urbanisme chaotique" que j'apprécie beaucoup. On sent que c'est un univers qui vit, et on retrouve cette idée dans la bande originale. Quelques notes tendues suggèrent que quelque chose de tapi dans l'ombre pourrait tout à coup surgir pour attaquer Snake, et Carpenter ne se prive pas pour troller le spectateur. En dehors de cela, on retrouve les synthétiseurs habituels, qui posent grâce à des sons sourds une ambiance sonore pesante, dont s'inspirera très certainement James Cameron pour Terminator. Le scénario est quant à lui simple mais très efficace. Le charisme naturel de Kurt Russell est régulièrement mis en avant, et les situations amènent quelques traits d'humours assez bien vus (la fin, les chandeliers). En revanche, il y a quelques facilités par-ci par-là, comme le plan du pont qui sort un peu de nulle part ou le chauffeur de taxi qui est présent toujours quand on a besoin de lui, mais s'arrêter là-dessus serait vraiment bouder son plaisir. En somme c'est beau, c'est rondement mené et c'est parfois drôle. A déguster sans modération.
Peut-être fut-il culte, mais pour être honnête, je le trouve dépassé aujourd'hui malgré un bon concept. Le scénario de sauver le président est mauvais. Surtout à la façon dont il s'est mis dans le pétrin ! Je reconnais que le décor et l'ambiance sont là. Mais l'action n'est pas terrible, l'humour est absent et 1997 appartenant au passé... Le film est mort avec son époque.
Un excellent film de science-fiction. Kurt Russell interprète le personnage culte Snake Plissken. Donald Pleasence tient le rôle du prédisent des Etats-Unis. Lee van Clef joue l'orgnisateur de la mission de sauvetage. Adrienne Barbeau incarne la femme fatale des années 80.
À sa sortie, New York 1997 de John Carpenter pouvait se targuer d'être un film d'anticipation plutôt novateur, mais à notre époque, on constate surtout que l'ensemble a incroyablement mal vieilli. Malgré tout, l'intrigue passionne assez pour donner envie de suivre le film jusqu'au bout, La réussite du film peut se résumer à une seule chose : Snake Plissken, une sorte d’anti héros cynique et peu bavard. Physiquement, il porte un cache-oeil à l’oeil gauche et un tatouage de serpent sur le ventre. Le problème de ce film vient de son rythme beaucoup trop lent, c’est très mou, assez paradoxal pour un film sensé être action. L’ambiance de la ville de New York est assez intéressante mais inexploité.
1997 est un film surement culte pour toute une génération. Personnellement je lui préfère 2013, mais on va pas en faire un fromage ! New York 1997 est vraiment un film excellent dans le genre mad max. Des méchants pas beaux, un héro charismatique, qui s'appelle Snake (c'est pas rien quand même !) et des scènes d'action explosives.
Un film dont on reconnait bien le style de John Carpenter. Le scénario est pas mal du tout de faire de Manhattan une énorme prison et d'envoyer un criminel pour sauver une personnalité importante tel que le président des Etats-Unis. Kurt Russel est particulièrement excellent dans son rôle et il a vraiment un bon côté de bad guy. Le reste des acteurs est pas mal. Le film nous entraîne dans une ambiance très particulière où on n'aimerait pas y être. De l'action d'un film des années 90 bien tournés. Des costumes bien choisis dont celui du personnage principal et des décors bien fait. Un vrai thriller à regarder à se faire plaisir que je l'ai trouvé un peu court.
Film d'anticipation assez ambitieux, Escape From New York prend place dans un Manhattan transformé en vaste prison à ciel ouvert. John Carpenter parvient à installer une ambiance fin du monde réussie, en suivant un anti-héros parfait (Kurt Russell) dans les rues dévasté de New York. Si les décors et les trucages sont globalement réussis, la multiplication de scènes "technologiques" (aaah, les beaux ordinateurs des années 80 !) et la langueur des transitions pénalisent le film, dans un genre qui s'est dynamisé et modernisé.
Classique du cinéma de science-fiction, New York 1997 est l’un des films les plus abordables de John Carpenter (réalisateur de l’horrifique The Thing, 1982). Avec un scénario original signé par le réalisateur, New York 1997 présente un monde post-apocalyptique dévasté où règne la dystopie la plus totale.
Mais, New York 1997 c’est avant tout un film d’action haletant, se déroulant en l’espace de 24h. L’emblématique Snake Plissken (véritable héro badass) mène une réelle course contre la montre (au sens propre comme au figuré) où sa vie et celle du président sont en jeu. Avec lui, le spectateur plonge dans les bas de New York devenu une prison géante et hautement dangereuse, tant la criminalité a explosé. Véritable film d’évasion, New York 1997 fait vivre à son spectateur des scènes d’actions pleines de tensions.
Evidemment que serait New York 1997 sans la figure emblématique de Kurt Russel véritable anti-héro totalement charismatique et séduisant. Et, même si l’acteur ne présente pas le meilleur rôle de sa carrière (loin de là !) il n’en reste pas moins le héros de toute une génération.
Cependant, New York 1997 souffre d’un esthétique et de code 100% années 1980 et les costumes, la mise en scène mais surtout la bande son ont très mal vieillit et fait perdre à New York 1997 beaucoup de son charme et de sa puissance.
Amateur d’action haletante et d’anti-héro, New York 1997 est fait pour vous !
Mais, New York 1997 c’est avant tout un film d’action haletant, se déroulant en l’espace de 24h. L’emblématique Snake Plissken (véritable héro badass) mène une réelle course contre la montre (au sens propre comme au figuré) où sa vie et celle du président sont en jeu. Avec lui, le spectateur plonge dans les bas de New York devenu une prison géante et hautement dangereuse, tant la criminalité a explosé. Véritable film d’évasion, New York 1997 fait vivre à son spectateur des scènes d’actions pleines de tensions.
Evidemment que serait New York 1997 sans la figure emblématique de Kurt Russel véritable anti-héro totalement charismatique et séduisant. Et, même si l’acteur ne présente pas le meilleur rôle de sa carrière (loin de là !) il n’en reste pas moins le héros de toute une génération.
Cependant, New York 1997 souffre d’un esthétique et de code 100% années 1980 et les costumes, la mise en scène mais surtout la bande son ont très mal vieillit et fait perdre à New York 1997 beaucoup de son charme et de sa puissance.
Amateur d’action haletante et d’anti-héro, New York 1997 est fait pour vous !
Un film qui a assez mal vieilli, le scénario est un peu trop simpliste et il manque d'une véritable musique d'ambiance. On ne s'ennuie pas vraiment mais on peut très bien s'en passer!
Encore un film fait avec trois bouts de ficelle par John Carpenter, mais il le fait tellement bien !
Malgré quelque incohérence au niveau du scénario (Le film se passe en 97, Manhattan est devenue une prison en 88, ça fait donc 9 ans que la prison existe, mais le personnage du chauffeur de taxi dit qu’il conduit son taxi depuis 30 ans…), le film, avec son ésthétique rétro et sa musique, marche très bien… Je vous conseille de le voir !
Allez faire un tour sur ma chaine youtube, si vous voulez voir mes autres critiques :
Malgré quelque incohérence au niveau du scénario (Le film se passe en 97, Manhattan est devenue une prison en 88, ça fait donc 9 ans que la prison existe, mais le personnage du chauffeur de taxi dit qu’il conduit son taxi depuis 30 ans…), le film, avec son ésthétique rétro et sa musique, marche très bien… Je vous conseille de le voir !
Allez faire un tour sur ma chaine youtube, si vous voulez voir mes autres critiques :
pierrre s.
"Call me Snake"
Voilà un film culte qui a su le rester. Il a certes pris un coup de vieux, mais le film "carcéral" de John Carpenter est toujours aussi bon.
Voilà un film culte qui a su le rester. Il a certes pris un coup de vieux, mais le film "carcéral" de John Carpenter est toujours aussi bon.
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