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    New York 1997
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    457 critiques spectateurs

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    Ti Nou
    Ti Nou

    491 abonnés 3 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juillet 2018
    Que ce soit dans sa vision d’un futur sale et glauque, son héros badass, ses décors, sa musique... "New York 1997" est marquée par les années 80. Il a beaucoup vieilli avec ses scènes d’action mollassonnes mais les enjeux fonctionnent et les personnages sont marquants.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 mai 2018
    La meilleure des ambiances musicales dans la vague des années 80 par le metteur en scène passé maître de l’horreur, c’est le top niveau qui s’incruste dans l’action, un scénario bien fait ficelé, une opération de sauvetage du Président, cible d’un accident d’avion perdu et pris en otage dans les confins de la zone de non droit où sévit les pires de l’espèce criminelle, Kurt Russell/Snake Plissken, le dur à cuire chef de guerre rebelle et homme de la situation qui inspire, en guest star l’acteur du Western spaghetti qui ne peut être que du lourd, le visuel est comme dans un jeux vidéo d’arcade.
    Jahro
    Jahro

    55 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2018
    Les films de Carpenter se ressemblent tous, mais sont tous différents. Derrière chaque thème qu’il aborde, chaque menace qu’il brosse, de spectres de pirates en roadster hanté, de virus alien en cauchemar d’auteur, de fantômes chinois en fils de Satan, il y a toujours sa patte, brute, accrocheuse, fauchée, inventive, rustre et pourtant si appliquée. En salles à l’aube des eighties, la même année qu’Evil dead et Au-delà du réel, excusez du peu, le cinquième du metteur en scène reste à ce jour son plus grand succès en France. Il le doit en partie à son budget, enfin correct, mais surtout parce qu’il est le témoin d’un temps, et plus précisément d’un style : si Blade Runner sera bientôt porté aux cimes de la cybernétique, New York 1997 en restera le pendant punk ultime. Sous les arpèges poisseux joués à quatre mains avec son éternel complice Alan Howarth, le réalisateur nous plonge dans l’enfer d’une ville sacrifiée, déserte, en ruines, abandonnée au crime. On parcourt ses rues glauques au milieu d’une meute de prisonniers retournés à l’état sauvage, on devine le corps dirigeant corrompu à l’abri dans ses hautes tours, et puis surtout, on suit ce rude anti-héros tout de cuir qui ne voit que d’un œil et ménage sa salive. Kurt Russel, ex de chez Disney, voulait changer d’image. Il trouve là l’écrin d’or rouillé dont il n’aurait pu rêver.
    Wagnar
    Wagnar

    80 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2018
    Commençons d'abord par ce qui est positif : on y retrouve la bonne vieille ambiance de John Carpenter qui n'est pas sans évoqué celle de Assaut et d'Halloween. Une mise en scène forte dans un style western avec des jeux de couleurs surréalistes à souhait, des décors convaincants, des effets spéciaux (auxquels James Cameron a participé) réussis pour un film de cette époque, une bande son de qualité et surtout un Kurt Russell tout bonnement excellent dans le rôle de Snake lequel inspirera le héros de Metal Gear Solid. Et le scénario est assez bien ficelé et bien imaginé. Le film est cependant un peu long par moment et surtout je m'attendais à plus d'action et de spectaculaire. Mais ce film possède suffisamment de qualités pour qu'on puisse le considérer comme l'un des meilleurs de la filmographie de John Carpenter.
    Estonius
    Estonius

    3 306 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2017
    Certes le spectacle est assuré de fort belle façon avec une mise en scène très correcte, mais le scénario est vraiment trop primaire, Russel trop bourrin, Borgnine insupportable. Les facilités de scénario, les déficits d'explications, les ellipses et les invraisemblances abondent. Et en parlons même pas des scènes inutiles (à quoi sert ce combat de ring absurde puisque dénué de tout suspense sinon à faire de l'attraction gratuite). Aucun humour. Adrienne Barbeau campe un personnage improbable mais elle est très photogénique dans ce film. Quant à la fin… on va dire qu'elle est amusante, mais pas de quoi s'affoler non plus. Nous avons donc là une bonne série B très regardable, mais prendre ça pour un monument du cinéma c'est se moquer du monde !
    Fabien S.
    Fabien S.

    543 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2017
    Un excellent film de science-fiction avec le personnage culte Snake Plissken incarné par Kurt Russell. John Carpenter nous plonge dans une oeuvre futuriste devenue une référence.
    BigDino
    BigDino

    8 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 août 2017
    Un film de genre passionnant où Lee Van Cleef, Kurt Russel et Donald Pleasance ainsi qu'Harry Dean Stanton s'en donnent à coeur joie. Une plongée dans une sorte de New york post-apocalyptique où on enchaîne les trouvailles, retrouvant Ernest Borgnigne pour un second rôle amusant. L'équilibre entre humour et action est bien dosé, le film sait se renouveler et délivrer son message politique sans prendre la peine d'en rajouter. Le film est très connoté années 1980, que ce soit la musique, plutôt bonne d'ailleurs, les décors, très bons également, et l'éclairage. Mais comme ce sont à ces années qu'on doit la naissance et certains chefs-d'oeuvre du genre, qui s'en plaindra?
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    193 abonnés 2 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2017
    New York 1977 est un film de SF, d'action divertissant.
    Kurt Russell porte très bien le film. Il est parfaitement casté pour incarner la classe et la coolitude, avec des punchlines, certes bourrines, mais drôles et assumées. À noter un Lee van Cleef très bon en second rôle.
    Les scènes d'action sont pas mal, elles ont tout de même un peu vieilli. En revanche, c'est l'univers qui est la force du film. L'idée est originale et les décors new-yorkais sont plutôt bons.
    Un bon film pour les nostalgiques des années 80.
    morn
    morn

    16 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2017
    New york est une prison ou sont détenus tous les grands criminels des Etats Unis. L'idée principale est original et le film se regarde avec plaisir. Le début est peut être légèrement trop lent mais on rentre bien dans le film. L'univers est bien mise en scène et les personnages collent bien au décor. Nettement mieux que la suite de 1996, Los Angeles 2013. 7.8/10
    dagrey1
    dagrey1

    96 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2017
    Suite à une explosion de la criminalité, Manhattan est devenue en 1997 une prison où sont enfermés 3 millions de prisonniers. Victime d'un attentat, l'avion du président s'écrase au beau milieu de cet enfer sur terre.

    On ne présente plus "New York 1997" (Escape from New York) réalisé par John Carpenter en 1981.
    Ce film met en scène Snake Plissken, criminel endurci, chargé de récupérer le président qui se retrouve au mauvais endroit au mauvais moment. Pour être certain qu'il ne prendra pas la "poudre d'escampette", Plissken est équipé d'une charge explosive qui explosera s'il n'accomplit pas sa mission dans les 24 heures.

    Flirtant avec le "second degré", à mi chemin entre le "survival" et le film de "science fiction", "New York 1997" fait partie des films les plus réussis de John Carpenter. Engagé politiquement, le réalisateur avait écrit le scénario du film au milieu des années 70, dénonçant au passage le "scandale du Watergate".

    Le film met en scène un "casting royal": Kurt Russel (Snake Plissken, l'homme au bandeau sur l'oeil), Donald Pleasence (le Président), Issac Hayes (Le Duc de NY), Lee Van Cleef (Bob Hauk) , Harry Dean Stanton (Harry Hellman) et Ernest Borgnine (Le chauffeur de Taxi) sans oublier l'actrice "fétiche" de Carpenter, Adrienne Barbeau (Maggie).

    Comme toujours dans les films de John Carpenter, la bande originale de Carpenter et Howarth est particulièrement soignée.

    Le film a été tourné à une époque où la ville de New York était beaucoup moins "secure" qu'elle ne l'est actuellement. Prenant le sillage de films justifiant l'autodéfense comme "un justicier dans la ville" ou "l'exterminateur, le droit de tuer" très en vogue dans les années 80, même s'il n'en partage pas cette vision conservatrice, le réalisateur prend plaisir à montrer New York comme une jungle où tout peut arriver. Il décrit également un monde cynique dans lequel Plissken, héros malgré lui, n'a que peu de respect pour les autorités qui l'ont utilisé, comme le montrent les dernières images du film.

    Kurt Russel reprendra le rôle dans une séquelle tournée de nouveau par Carpenter, "Los Angeles 2013". Le film "Doomsday" tourné en 2008 par Neil Marshall (The descent, Centurion...) avec Rohna Mithra s'inspire énormément du script de "New York 1997".

    Budget: 6 millions de dollars
    Box office: 25 millions de dollars
    Arnaud R
    Arnaud R

    89 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2017
    Un scénario qui part d'un concept génial et multiplie les personnages et atmosphères originales avec un Kurt Russel au sommet du badass. Le film a vieilli et son petit budget le rend un peu passé mais on ne boude pas son plaisir pour autant dans une mise en scène de grande qualité.
    Fabrice Deabrassart
    Fabrice Deabrassart

    14 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    Un western-futuriste qui n'est pas sans rappeler la célébre anticipation Mad Max, signé George Miller sortie 3 années auparavant. Celui-ci est realisé par John Carpenter, qui dépeint avec une force brutale
    Ont peut souligner aussi les qualitées des décors de l'époque , vraiment soigné et superbe
    , "New York 1997" bénéficie également d'un scénario bien écrit et très prenant malgré quelques simplicités. Mais la mise en scène de Carpenter alliée à sa musique et aux savoureux seconds rôles (Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton et Donald Pleasance quand même !) font de ce film une œuvre
    Perso , ce film , aurait pu être fait dans un même genre par un Boisset , et à la place de Russell , un certain Lanvin , le duo aurait bien fait je pense
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 388 abonnés 4 426 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2016
    New York 1997 est un film réussi de Carpenter, mais pour ma part je le mets tout de même bien en dessous de son presque remake, Los Angeles 2013 par le même réalisateur ! En fait, le souci de ce film c’est qu’il s’agit d’un métrage très sérieux dans le genre post-nuke, trop sérieux je dirai. Du coup, comme c’est un genre qui peut vite virer à la semi-parodie involontaire tellement tout est gros, ça décrédibilise un poil New York 1997. Cependant, Carpenter sait rendre ses films efficaces. Répliques badass à souhait, action bien présente, rythme solide, fin toujours excellente, ce métrage est un divertissement musclé efficace qui se laisse suivre sans déplaisir, même si certaines choses sont un peu téléphonées (les victimes), et qu’on reste un peu sur sa fin en matière d’exubérance et d’excentricité. C’était là la force de Los Angeles 2013, aussi punchie mais se montrant beaucoup plus caustique, critique, en caricaturant notamment Hollywood, la chirurgie esthétique… Ici il n’y a pas cette tonalité, et on se retrouve avec un bon film d’action, mais sans plus.
    Le casting est de qualité, avec un Kurt Russell charismatique, mais qui se montrera plus à l’aise quelques années plus tard dans le même rôle. Il se débrouille cependant fort bien, entouré d’une galerie d’acteurs prestigieux, dont le récurent du réalisateur, Donald Pleasence, ainsi que Lee Van Cleef, Ernest Borgnigne, Isaac Hayes… Ce dernier campe d’ailleurs un méchant bien sympathique ! On notera aussi un rôle important pour Adrienne Barbeau, très séduisante ici, et qui s’impose sans difficulté aux côtés de Russell. Après les rôles ne sont pas forcément très surprenants, et la présence de Cleef par exemple ressemble plus à l’invitation d’une guest-star qu’autre chose.
    La réalisation est bonne. Avec un budget restreint Carpenter signe un film très propre. La mise en scène ingénieuse y est pour beaucoup, les décors restants un peu limités mais suffisamment qualitatif pour instaurer une ambiance sombre post-apocalyptique réussie. La photographie reste un peu terne, mais la bande son elle, en revanche est très convaincante. J’ai tendance cependant à préférer celle de Los Angeles 2013.
    Pour tout dire, New York 1997 est un bon film divertissant, mais Carpenter à mon sens ne passe pas le cap de la série B rythmé et pop-corn. C’est plus tardivement qu’il y parviendra, mais cela ne dispense pas de jeter un œil sur ce métrage de qualité. 3.5
    Napoléon
    Napoléon

    140 abonnés 1 563 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 janvier 2024
    Un film futuriste simpliste avec peu de rythme. Les personnages sont très caricaturaux même si Snake s'avère plus que charismatique. Après l'ensemble reste très efficace avec une ambiance dégueulasse extrêmement bien gérée avec en premier plan des décors très réussis. Sans oublier une bande son qu'on oublie pas.
    Roger Cola
    Roger Cola

    32 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2016
    Lâché dans un New-York transformé en ville-prison, le badass Snake Plissken n'a qu'une mission: sauver le président. Avec Escape From New York, John Carpenter signe un film malin, dépeignant un New York en ruine habitée par des silhouettes fantomatiques, coupée du monde (on n'a que très peu d'information sur le monde extérieur). Le scénario est traité habilement et les personnages sont bien écrit et facilement reconnaissables (le grand méchant tiqué, son acolyte fou qui n'est pas sans rappeler le méchant de Mad Max, un Snake Plissken qui déborde de cool, etc). Mais c'est par sa réalisation que le film se démarque, sombre et détaillée. Sans oublier bien évidemment un des meilleurs travaux musicaux de Carpenter, Escape From New York est une semi-série B largement au-dessus de la moyenne et qui mérite son statut de culte.
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