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    New York 1997
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    Dynastar21
    Dynastar21

    31 abonnés 438 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2022
    Un sacré morceau de science-fiction ! Sorti deux ans après le génialissime Max Max (1979) de Georges Miller et un an avant le cultissime Blade Runner (1982) de Ridley Scott, ce "New-York 1997" n'a rien à envier eux deux précédents ! John Carpenter nous livre une "Big Apple" noire et glauque comme jamais dans une dystopie effrayante de folie. Son personnage charismatique joué par un Kurt Russel très en forme, et que découvre le monde avec ce long-métrage, devra affronter la "lie de l'humanité" pour sauver le président américain fortuitement aux mains de ces dangereux malfrats. Snake Plissken devient par la suite le héros nihiliste punk des années 80. Le film, à la manière d'un western spaghetti urbain futuriste porté par cette bande-son électronique si symbolique de cette décennie, devient quant à lui un modèle de film d'anticipation et science-fiction sombre. Le réalisateur à travers celui-là dénonce pêlemêle les états policiers, le pouvoir et la notion de déviance en société. Et pour finir quel grand plaisir de voir en seconds rôles Lee Van Cleef et Ernest Borgnine qui apportent de la densité à l'ensemble.
    konika0
    konika0

    26 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2021
    Claustrophobie.
    Un classique parmi les classiques, vu il y a fort fort longtemps, au XXème siècle même. Résiste-t-il au poids des années ? Pour rappel, le pitch est le suivant. Manhattan est devenue une immense prison de très haute sécurité. Entendez qu’on ne peut pas en sortir, pas qu’il y règne une parfaite harmonie. Les condamnés se trouvant là y sont pour le reste de leur misérable vie. Seulement voilà, le président en personne s’écrase en avion en plein milieu de ce panier de crabes. Pour le sauver, on envoie Snake Plissken, un desperado qui de toute façon était condamné à y mettre les pieds à brève échéance.
    Une histoire simple donc, comme Carpenter aime les écrire. Un pitch qui se passe dans le futur mais qui aurait pu tout aussi bien être mis en scène dans le présent ou sous forme de western. Broder autour d’un archétype, il aime ça John. Des belles trouvailles, il y en a un paquet, depuis les personnages hauts en couleur jusqu’au détails des accessoires en passant par le décor baroque d’un Manhattan du monde d’après, où les tours jumelles sont debout mais tout le reste n’est que ruine. Symbole d’une finance qui ne cause que désolation. A l’interprétation on retrouve notre bon vieux camarade Kurt Russell, plus badass que jamais avec son bandeau de pirate sur l’œil et sa crinière de chanteur de hard rock. C’est beaucoup grâce à lui que le film tient sur ses deux jambes. On aimera aussi la prestation d’Harry Dean Stanton en intello de fin du monde. Le rythme est fidèle aux habitudes du boss, on prend le temps et on insiste sur l’ambiance. C’est sur ce point que le film pourra décontenancer le public d’aujourd’hui. C’est pour moi une qualité. La mise en scène est suffisamment solide pour se permettre des temps morts. Au final, en toute subjectivité, toujours autant de plaisir à regarder ce bijou très eighties qui n’en finira pas d’inspirer des tâcherons de tout poil et de toute origine.
    Aoris
    Aoris

    21 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2021
    2 étoiles parce que le personnage de Snake impressionne par son look et son attitude mais aussi parce qu'il faut remettre le film dans le contexte de l'époque où les films de ce genre débutaient à peine. En dehors de ça c'est beaucoup de ratages.

    D'abord le scénario semble avoir été écrit en 15 minutes: L'avion du président des USA se crashe dans un quartier de New York devenu une prison à ciel ouvert, on envoie un rambo pour ramener le président.
    C'est tout ce que raconte le film et comme ça rempli difficilement la bobine de 90 minutes, on rempli avec des scènes génériques dont la plupart n'apporte absolument rien.

    Ensuite, contrairement aux autres films d'action, celui ci ne compense pas la simplicité de son scénario par une bonne dose d'action bien filmée et rythmée (comme Piège de cristal par exemple). Non, ici l'action est peu présente est toujours très mal filmée, montée, mise en scène, etc.
    Même la musique faite de boites à rythme et de 3 notes de synthé de l'époque ne soutient pas l'action.

    Reste l'univers du film.
    On est censé se trouver 16 ans dans le futur par rapport à l'année du film, mais on a clairement un univers dystopique du début des années 80.
    Que ce soit dans l'apparence des personnages (coupes de cheveux, vêtements,etc) , des véhicules et même des technologies, absolument rien n'est fait pour créer un univers futuriste (le film est sorti deux ans après le Alien de Ridley Scott)
    Idem pour ce New York prison de 3 millions de détenus. Évidemment quand on a pas de budget et qu'on est limité par la technologie de 1981, c'est absolument impossible à retranscrire à l'écran.
    Au final on se retrouve donc dans un vulgaire ghetto américain avec quelques dizaines de punks des années 80 qui roulent dans des caisses pourries des années 80 et qui essaient d'empêcher le héros de récupérer un vieux bonhomme.

    Dommage parce qu'encore une fois, le personnage de Snake avait du potentiel.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2021
    Sorti en 1981, ce film-culte de John Carpenter nous embarque dans une Amérique dystopique et ultra-militarisée, dans laquelle l’île de Manhattan est devenue une prison à ciel ouvert en même temps qu’une zone de non-droit absolue. Le génial Kurt Russell, dans le rôle mythique de l’anti-héros Snake Plissken, est contraint par les autorités de mettre la main sur le président des États-Unis, pris en otage sur l’île suite au crash de son avion. Avec une réelle économie de moyen (assumée ou subie), John Carpenter nous entraîne pendant 1h30 dans ces rues de New-York désolées, sombres et dangereuses, où règnent les rats et les barons locaux du crime, nous offrant une leçon de mise en scène magistrale, qui donne à son New York 1997 (Escape from New York dans son titre original) une atmosphère nihiliste unique.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 517 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 septembre 2021
    Avant 1981 et après New York 1997 John Carpenter avait déjà obtenu d'énormes succès et des classiques de tous les temps avec Halloween, Christine et surtout L'Hôpital de la terreur que j'ai beaucoup aimé. On se demande alors pourquoi il n'a pas opté pour des budgets plus élevés car ce film gâche une idée brillante par manque de budget d'imagination et d'action. Kurt Russell imite Clint Eastwood dans le rôle de Snake Plissken un criminel condamné qui est envoyé à New York en 1997 qui est maintenant la seule et unique prison de haute sécurité des États-Unis pour sauver le président (Pleasence) dont l'avion s'est écrasé. Le film se déroule comme un western futuriste avec Lee Van Cleef qui supervise l'opération depuis la salle de contrôle ce qui fait qu'il donne l'impression d'un film de Sergio Leone. Pour être juste envers Carpenter il réussit beaucoup de choses avec un tel budget il y a un aspect sombre et un paysage urbain panoramique, de bons effets spéciaux, des décors impressionnants et même quelques séquences d'action efficaces, un scénario truffé d'humour noir ainsi qu'un excellent thème principal. Mais le film ne remplit jamais son ingénieuse histoire en n'utilisant pas la limite de temps de Snake pour accomplir la mission jusqu'à la toute fin et par conséquent il passe un long moment à n'aller nulle part. Il n'y a pas assez d'action et les méchants sont une bande de condamnés peu reluisants menés par Isaac Hayes. Les fans de Carpenter peuvent le considérer comme un bon film de série B mais pour le reste d'entre nous il aurait dû être une tranche sérieuse de cinéma d'action...
    ferdinand75
    ferdinand75

    546 abonnés 3 856 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2021
    Un grand classique du thriller d'anticipation de John Carpenter. Le film a bien vieillit , et le scénario bien construit tient la route.
    Pas de temps mort, des personnages déglingués , intéressants, de bons retournements de situation . La vision de l'évolution du monde est aussi bien vu. De bons acteurs .
    Vrakar
    Vrakar

    41 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2021
    John Carpenter fait partie de ces grands noms de la SF. Pourtant, il n'a été sérieusement considéré qu'au milieu des 90's. Il faut dire qu'avec un film comme "New-York 1997", Big John ne s'était pas facilité la tâche. Tout sauf un film pour le grand public : un anti-héro badass au possible, des personnages secondaires antipathiques et un univers post-apocalyptique malsain. Mais JC assume déjà parfaitement son statut de réalisateur de série B. Son talent fait le reste. A la réalisation, certes, mais aussi pour la B.O mythique.

    Que dire de plus qui n'ait pas été dit sur "NY 97" et Snake Plissken ? Culte.
    Artriste
    Artriste

    115 abonnés 1 996 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2021
    Film d'action et de science-fiction, New York 1997 possède de belles qualités mais aussi quelques défauts. L'histoire se déroule dans un avenir proche dans lequel l'ile de Manhattan est une énorme prison à ciel ouvert dans laquelle les criminels sont livrés à eux-mêmes. Un nouveau détenu fraichement débarqué va devoir sauver le président des États-Unis qui a été pris en otage avant la fin d'un compte à rebours qui verra le prisonnier mourir s'il échoue à sa mission. En échange de la réussite de sa tâche il sera libéré. Le tout est plaisant à suivre grâce à de nombreux points à commencer par son univers créer. Les rues sales, poisseuses et sordides de New York, étouffées par la pénombre de cette nuit qui semble interminable confèrent une ambiance hostile très réussie. Les silhouettes étranges qui errent dans cette ville ont l'air de créatures dangereuses imprévisibles. Dans ce cachot lugubre, Snake Plissken doit évoluer afin de parvenir à son but. Le personnage interprété par Kurt Russel crève l'écran de part sa présence et est clairement une des plus grande force du film. Snake est ultra charismatique avec sa longue chevelure, son cache œil et sa tenue qui laisse apparaitre ses muscles saillants ainsi que son flingue qui le rend encore plus badass. C'est un personnage ô combien mémorable. Le reste du casting est convaincant notamment Lee Van Cleef en gardien intransigeant ainsi que Isaac Hayes qui campe un bon antagoniste. Les relations entre les personnages sont bonnes et les répliques cinglantes extrêmement bienvenues dû au rapport de force entre les différents protagonistes sont un régal. Pour autant globalement c'est assez lent, ça manque parfois un peu de rythme et au final l'action et la violence se trouvent surtout dans le dernier tiers du film et encore ils ne sont pas très présents. Pour ce qui est de la réalisation de John Carpenter elle se veut soignée mais le gros du travail se trouve au niveau de la lumière et de l'éclairage qui est primordial vu que presque toute l'action se déroule en pleine nuit. Les effets spéciaux pour leur part ne sont pas totalement convaincants mais ils sont peu nombreux donc cela n'est pas handicapant. Reste une très bonne b.o. qui vient intensifier cette atmosphère inquiétante pour notre plus grand plaisir tant elle est de qualité. La fin pour sa part est assez décevante. Elle manque clairement d'idées. Il faut dire que le film propose un enjeu important mais on devine très bien comment ça terminera ce qui fait qu'elle est attendue. Pour conclure, New York 1997 est un bon film qui mérite d'être vu pour pas mal d'aspects même si au final son scénario déçoit quelque peu.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    155 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2021
    Un film post apocalyptique rendant hommage aux westerns spaghettis ? Malgré mes gouts pour le genre, je suis passé a côté de Escape from New York (son titre original, nettement mieux) tout comme de la filmographie de Carpenter que je connais à peine. Un film dans la lignée de Mad Max 2 sorti un an plus tard. Le personnage principal est un bad boy ultra charismatique (incarné à merveille par Kurt Russell) lancé dans une ville transformée en une prison ghetto où les tarés sont légions. On ne sait rien du passé de Snake Plissken à part qu'il est un grand caïd et que tout le monde le "croyait mort", et c'est suffisant. Le Duc va aussi super bien à Isaac Hayes (chanteur avant d'être acteur). Ok le film a un peu mal vieilli sur certaines scènes et il met un peu de temps à se lancer. Mais sinon c'est tendu, le scénario est simple mais efficace et on a pas besoin de connaître les détails qui ont amené à cette distopie pour être pris dans l'histoire, le thème principal signé Carpenter est génial... Du spectacle et une critique politique en fond, ça fonctionne totalement pour moi !
    Michel1664
    Michel1664

    19 abonnés 735 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 juin 2021
    J’ai bien aimé l’idée de mettre toutes les racailles et déchets humains dans un espèce de gros bagne délimité par des murs immenses ou ils sont livrés à eux même. Quand je deviendrais président je reprendrais l’idée en France avec quelques shit-hole à racailles. Sur un plan plus artistique, c’est un peu dommage que le film se déroule autant la nuit, on y voit pas grand chose. Il n’est pas non-plus d’une grande originalité, quelques idées sont même pour le moins saugrenu (ce passage avec les prisonniers qui sont devenus des zombies et vives enterrés, je me suis cru dans un remake de la machine à explorer le temps ou dans Thriller de Michael Jackson !). Franchement, sans l’actrice avec de gros poumons, pas sûr que j’y serais arrivé à bout, c’est dire comme ce film m’a passionné ! 2/5 en étant assez généreux pour ce récit sans saveur.
    Rorechar
    Rorechar

    7 abonnés 815 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juin 2021
    New York 1997 est un classique film de science fiction de John Carpenter et qui révéla Kurt Russel. L'histoire, est que l'avion du Président des États-Unis a été détourné lors d'un attentat et se crash dans New York, qui est devenu une véritable prison. Le chef de la Police envoie un prisonnier le célèbre et dangereux Snake Plissken. Sa mission est de retrouver le Président et il sera libre, dans un New York hostile.
    Le film est culte, mais a cependant vieilli. Pour l'époque, John Carpenter nous signe un New York noir et très apocalyptique ce qui fait tout le charme du film. Kurt Russel est ultra badass dans le rôle de Snake Plissken, avec le célèbre cache oeil et le blouson. (Héros d'ailleurs qui a inspiré le héros du jeux vidéo Metal Gear). Côté casting on retrouve Lee Van Cleef en chef de la police opportuniste, Donald Pleasence en Président et Ernest Borgnine dans le rôle d'un chauffeur de taxi qui aide Snake. Un film qui vaut le détour, même si il est long a démarré l'intrigue est bien ficelé. A voir et à revoir , dont le charisme de Kurt Russel en impose.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    179 abonnés 2 265 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2021
    Revoir ce film de John Carpenter 40 ans après sa sortie est assez étrange : bien sûr, le scénario solide et original (pour l’époque … car depuis, de nombreux films s’en sont inspirés dont tout récemment « Peninsula » de Yeon Sang-Ho) et la mise en scène de John Carpenter n’ont pas vieilli. Par contre, certains effets spéciaux – ah, la chute du planeur… - et décors, eux, n’ont pas résisté à l’épreuve du temps et à la comparaison avec ce qui se fait de nos jours.
    Il en reste quand même avant tout une distribution de rêve : Kurt Russel mais aussi Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence, Harry Dean Stanton, Isaac Hayes…et, côté féminin, Adrienne Barbeau qui aimante la caméra et les yeux du spectateur. Et puis, il y a quelques dialogues savoureux (« - Tu vas me tuer Snake ? - Pas maintenant, je suis trop fatigué … peut-être plus tard. ») et le running gag « Snake, je te croyais mort ».
    maxime ...
    maxime ...

    237 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2021
    N'ayans revu aucun long métrage de John Carpenter depuis Halloween en 2015 ( un premier rendez-vous ), je dois dire que j'attendais New York 1997 avec de certaines attentes. Là-dessus, j'ai vite compris que j'allais complètement être happé par cette intrigue. Carpenter crée, dirige et surtout ne perd aucune miette de ce qu'il film. La caméra qu'il fait virevolté est une signature qui lui est bien propre. Oui, j'affirme ça en deux films, tous vu à une seule reprise chacun. Qu'on vienne m'en tenir compte ...

    Je pourrais badigeonné une critique d'éloges à faire sur un tel film, son histoire, sa conduite, ses protagonistes, sa musique, son final à coupé le sifflet ... A quoi bon ? Cette analyse ne servirai qu'un moment précis quand une telle œuvre au fond ne se mange qu'avec le sens de la dégustation. Prochain passage oblige.

    New York 1997 est de ces films qui portent le poids des années, de ceux qui continueront encore longtemps de le faire. 40 ans, Félicitations et Bravo et surtout Merci !
    soulman
    soulman

    85 abonnés 1 208 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2021
    Solide film d'anticipation et belle ambiance concentrationnaire où - sur une musique new wave très datée (composée par Carpenter lui-même) - Kurt Russell déambule avec la suprême coolitude qui le caractérise. Harry Dean Stanton et Lee Van Cleef ne sont pas mal non plus, tous comme les décors d'un New York futuriste et du World Trade Center, prémonitoirement bien esquinté... Le scénario ne révèle cependant que peu de surprises, mise à part l'apparition de notre homme Shaft, à qui le réalisateur aurait été inspiré de commander une musique plus funky.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    82 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juin 2021
    Bien que John Carpenter propose une intéressante dystopie (pas si éloignée que ça, à mon humble avis), il ne parvient pas à l'utiliser correctement. L'atmosphère crasseuse de New York, abandonné aux prisonniers, fait son petit effet, mais la mission suicide de Snake Plissken n'a rien d'extraordinaire. Il faut dire que depuis nous avons eu pas mal de films avec un sujet se rapprochant.
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