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Un visiteur
0,5
Publiée le 22 décembre 2009
Un film décevant pour la simple raison qu'il est hors sujet. Le titre et l'introduction posent un contexte qu'on attend de voir un minimum exploités par le réalisateur. Tromperie, car tout ça ne fait que servir de décor à des actions banales et interchangeables. C'est tiède au possible. Carpenter cherche à mêler le trash et la SF. Il faudrait lui dire que montrer du sang et des gadgets, ça suffit pas. Dommage car l'idée de départ était bonne.
Franchement un bon film à l'ancienne ou il faut sauver... sauver le president, la malette la terre un film à la bruce willis mais dans une ambiance futuriste (maintenat uchronique en fait) apocalyptique.
Du trés bon cinéma d'anticipation. Kurt Russell y est exellent tandis que Carpenter confirme sa position de réalisateur incontournable des années 70 en ce début d'année 1981. Ne présageait à l'époque que du bon. L'avenir a eu raison!
Pas si bon que ça, pas si culte que ça, il y a peu d'action.. Même la mise en scène n'est pas terrible, ce film à mal vieillit 28 ans après sa sortie. Ce long métrage de John Carpenter ne vaut certainement que pour son originalité et la qualité de son casting.
Une énorme claque que m'a infligée ce film extraordinaire. Sans la moindre difficulté, Carpenter pose avec rapidité son intrigue (de nos jours, la mise en situation se fait parfois en plus de 45 minutes), ce qui nous conduit dans un New York apocalyptique transformé en prison par un état débordé par le taux de criminalité. New York est comme une métropole junglèsque, remplie d'animaux, d'humains zombizés, dans laquelle seule la loi du plus fort permet de survivre. Cette fantastique mosaïque ténébreuse ne serait pas ce qu'elle est, sans ce goût immodéré qu'a Carpenter pour tout ce qui est glauque et jouissif, en particulier ses personnages délirants - rien que le héros est un anti-héros complet doté d'un look de psychopathe - et ses idées sinistres tel que le combat clandestin au gourdin clouté. Bien que ce décor soit constitué de main de maître, il ne serait que très futile sans le scénario à suspens haut en couleur, écrit par Carpenter lui-même, dont les principales qualités sont de nourrir le spectateur en répliques plaisantes et en scènes d'actions à haute tension, et surtout de poser des problématiques en toute simplicité. Contrairement à ce que l'on pourrait s'imaginer, ce film n'a en aucun cas mal vieilli. A part certains décors donnant une impression de factice, New York 1997 s'en sort très bien pour un film de seulement 7 millions de dollars de budget. Une bombe!
Oh oh oh! Très bon ce Carpenter, oui oui très bon. Le plus culte dans tout ça et bien je pense que c'est Snake bien que Romero soit pas mal non plus, hélas il n'a eu qu'un petit rôle pas long. Sinon niveau réalisation je ne sais pas trop quoi dire si ce n'est que le concept d'univers défaillant était pas mal. En gros j'ai beaucoup aimé.
Je ne suis pas fan de Carpenter, mais ce film a vraiment une classe énorme, la mise en scène sobre et efficace, Russel génial, un personnage culte… vraiment excellent.
Super bon film, pas très fin quand même, mais vachement agréable à regarder avec une bonne bière bien fraîche. De l'action, des messages politiques, une oeuvre d'anticipation plutôt récréative. Merci, Monsieur Carpenter.
Carpenter n'a pas fait que des bons films, et son titre de maître de la série B n'est pas volé, mais avec cet Escape from New York il a sa place au panthéon auprès des plus grands et même au-delà, vous pouvez voir, revoir et rerevoir ce film à quelques années d'intervalle sans jamais vous ennuyer, le scénario, le décor, les acteurs, et bien sûr la musique, tout en fait une œuvre extraordinaire, à l'ambiance unique. Bon, je ne me suis pas tapé la suite à Los Angeles parce que je m'attendais au pire...
Dans la foulée du succès d"Halloween", John Carpenter réalisait là un classique du genre. Le principe est aussi simple que génial : alors qu'en 1997 l'île de Manhattan a été transformée en une vaste prison, l'avion du Président des États-Unis s'y écrase. On envoie alors Snake Plissken, criminel notoire que tout le monde croyait mort (on lui dit à chaque fois qu'on le rencontre dans le film) pour sauver le Président. Celui-ci a vingt-quatre heures pour accomplir sa mission sans quoi des capsules placées dans son cou exploseront et le tueront. Mais Manhattan n'est plus ce qu'elle était et les rues sont mal famées... Incarné par un Kurt Russell qui trouve ici le rôle de sa vie, Plissken est un anti-héros qui semble tout droit sorti d'un western que Carpenter affectionne tant. S'il repose essentiellement sur son ambiance et ses décors désertés, "New York 1997" bénéficie également d'un scénario bien écrit et très prenant malgré quelques simplicités. Mais la mise en scène de Carpenter alliée à sa musique et aux savoureux seconds rôles (Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton et Donald Pleasance quand même !) font de ce film une œuvre aussi originale que divertissante.
Un bon film assez pessimiste, avec un personnage d'anthologie, Snake, qui a inspiré Hideo Kojima dans son incroyable jeux video Metal Gear Solid ! On peut regretter quelques scènes un peu tirées par les cheveux et une bande son pas géniale géniale..mais la qualité de la réalisation reste au top !
Grand classique du cinéma fantastique (son anti-héros Snake Plissken est aujourd'hui une véritable icône et les décors dévastés de Manhattan reste longtemps gravés dans nos mémoires), "New York 1997" est un film d'anticipation tournée vers l'action qui critique ouvertement la société américaine et reste toujours un monument malgré ses 28 ans d'âge.