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TTNOUGAT
588 abonnés
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2,0
Publiée le 4 avril 2011
En dehors d'une excellente idée au départ,fort séduisante et génialement simple ,d'une ambiance assez réussie si on adopte un point de vue ultra pessimiste sur l'avenir ,il n'y a strictement rien à retenir de ce film. Alors qu'il y avait tout un nouvel univers carcéral à créer, tout a déjà été vu et revu dans divers films d'aventures. Si la première moitié du film se laisse regarder avec un certain plaisir,la seconde est presque ennuyeuse et la fin totalement bâclée, pour ne pas dire ridicule, avec un Président des états unis se faisant justice lui même. Il y a quand même des limites intellectuelles à ne pas dépasser. Les scénaristes de science fiction se croient autorisés à tout; et bien non! La logique des rapports humains jusqu'à preuve du contraire doit être respectée.D'autre part, c'est assez paradoxal qu'avec une mise en scène correcte et même parfois soignée ce film ne dégage aucune beauté; jamais. Il y en a beaucoup par exemple dans ''Water world'' or ici, Kurt Russell aussi solitaire y est même enlaidi. Nos oreilles étant plus gâtées avec une bande son bien adaptée. Deux étoiles cependant pour la qualité des décors réels qui sont la seule raison de conserver ce film...Borgnine et Van Cleef n'ayant rien à y faire. Quant à Pleasence il est presque le contraire du rôle,j'espère que Obama ne verra jamais cela.
Quelqu'un aurait-il la gentillesse de m'expliquer pourquoi autant de spectateurs semblent encenser ce film? Parce qu'après mure réflexion et après même avoir lu quelque unes de ces canonisation et cinématographiques , cette sanctification me parait obscure et totalement insensée. Serrait-ce la notoriété de John Carpenter, l'un des piliers et maîtres du cinéma d'épouvante américain, qui aurait fait de ce film une relique du cinéma science-fiction, le propulsant au rang des chef d’œuvres? Parce que selon moi (vous l'aurez très vite compris), ce film est un belle et grosse daube odorante, un vieux mollusque informe et boiteux, vieillot, à l’odeur nauséabonde et avariée. Rien n'est à sauver, toutes les facettes du brûlot sont hideuses et inintéressantes au possible. Le scénario, maigrichon et archi kitsch, sert de vague prétexte afin de mettre en scène un New-York dévasté, une ville-prison ou grouillent les pires ordures, dans la misère et le vice. L'atmosphère que dégage les décors cartons est sensiblement ratée. La mise en scène, faussement inquiétante et travaillée, n'est en fait qu'une succession de plans très mal habillements montés, affichant une esthétique malhonnête et sans une once d'originalité. Les personnages sont creux, au même titre que leurs dialogues et péripéties. Quelle honte d'afficher des stars pourtant talentueuses telles que Lee Van Cleef et Ernest Borgnine. Kurt Russel, Alias Snake, est aussi expressif et attachant qu'une pelle. La présence du chanteur Soul Isaac Hayes est dispensable, pour ne pas dire inutile. La mayonnaise ne prend vraiment pas et c'est de déception en déception que nous amène ce triste nanar, pour un final aussi conventionnel que prévisible. "New York 1997 " aurait pu être une grosse blague s'il n'avait pas le culot de se prendre au sérieux. Une prouesse de médiocrité et d'ennui qui ne passionnera clairement pas les foule et dont le principal intérêt réside certainement dans la copieuse poitrine d'Adrienne Barbeau.
C'est un des films les plus réputés de John Carpenter, j'en ai pas vu hélàs assez mais il est pourtant incontestable pour moi que c'est le cas. Alors déjà le scénario est intelligent et totalement crédible, ensuite les décors sont impressionnants qu'à côté ceux hyper-numérisés des films de genre d'aujourd'hui font pâle figure, la musique va bien dans le ton apocalyptique du sujet et la densité narrative fait qu'on est souvent envoûté. Et puis, il faudrait être la dernière des buses pour se plaindre du casting. Kurt Russell, toujours aussi imposant et qui va parfaitement dans l'univers du réalisateur, Donald Pleasence pétillant de charisme dans le rôle du Président des Etats-Unis, Ernest Borgnine impeccable en chauffeur de taxi sympatoche et Lee Van Cleef ambigu à souhait. Même si le reste du film était nul (ce qui est très très loin d'être le cas bien évidemment!), ces quatre acteurs et leurs quatre personnages justifient le détour. Ouais bon, un très grand film de SF.
Un film post-apocalyptique assez réjouissant même s'il n'est pas révolutionnaire. Il s'agit là d'une bonne série B au scénario pas mal du tout et le face à face Kurt Russell/Lee Van Cleef vaut le détour. Par contre la suite (Los Angeles 2013) est à éviter : il s'agit d'une pâle copie quasi plan par plan de l'original.
Un film apocalyptique comme adorent les américains. L'ambiance est très noire et les hommes sont représentés comme des bêtes sans âmes ! Pas mal le héro (anti-héro) gros looser.
C'est le genre de film que l'on trouve dans son grenier maintenant, mais qui est une bonne surprise contrairement à d'autre. Serte il est de 1981 et pour l'époque les effet spéciaux était remarquable mais se font vieux aujourd'hui. Malgré ça il n'est pas désagréable à regarder. Les acteurs sont en général convainquant et Kurt R. également (sauf pour le bandeau qui change de position...). Mais le scénario est plutôt pas mal même si dans l'idée qu'un jour Manhattan soit une prison est tiré par les cheveux, de plus ici elle est plutôt bien orchestrer. Loin d'être un très bon film mais qui est dans l'ensemble satisfaisant.
L'idée de base est déjà assez sympa. New York, ancienne ville d'accueil, porte d'entrée de la "terre promise", se transforme en prison géante laissée à l'abandon. John Carpenter parvient à instauré une ambiance réussie, inquiétante, il s'appuie notamment sur une mise en scène réussie, ainsi que sur une photographie soignée. Le réalisateur semble, en effet, plus soucieux d'installer ce climat angoissant plutôt que de multiplier les scènes d'actions. New York 1997 est plus un thriller reposant sur une ambiance plus que sur un rythme survitaminé, et se révèle être, à mon avis, réussi.
L'opuscule visionnaire de John Carpenter demeure toujours aussi plaisant. Réalisé en 1981, "New York 1997" est l'un des plus grands succès financiers de son auteur. Même si il a pas mal vieilli, "New York 1997" reste un vrai plaisir. A la fois pour son rythme si enlevé et le duel délectable entre ces deux acteurs si charismatiques que sont Lee Van Cleef et Kurt Russell. Avec ce dernier le cinéaste poursuit ainsi une fructueuse collaboration en faisant entrer un nouveau personnage culte dans le Panthéon du cinéma américain : Snake Plissken. Sombre et spectaculaire.
Si l'on excepte le dernier quart d'heure, en dessous, NY 1997 est un excellent film d'anticipation, presque aussi brillant et subversif que le chef d'oeuvre de Carpenter à mes yeux, Invasion Los Angeles.
avec un trés bon sujet et une mise en scène en or New York 1997se démarque des autre film de pénitentier car manhatan est filmé comme un 8 clos. certaines resteront gravé dans ma mémoire
Le film de Carpenter vieillit vraiment très bien au niveau de ses effets spéciaux et offre une vision encore très crédible visuellement d'un Manhattan transformé en immense prison et ravagé par les bandes qui y sont enfermés. Le film introduit aussi le personnage de Snake Plissken, sorte d'alter-ego du cinéaste, avec lequel il partage un caractère nihiliste, libertaire et allergique à toute forme d'autorité.
Le premier film marquant la relation entre Russell et Carpenter. New York 1997 à certes un peu vieillit au niveau de la photographie et on pourrais lui reprocher un manque de rythme. Mais l'ambiance qu'apporte Carpenter à ce New York apocalyptique est démentiel, Kurt Russell est plus charismatique que jamais dans son rôle de Snake Plissken, l'anti-héro envoyé de force dans ce New York chaotique. Un gros coup de cœur.
Un excellent film de SF , un petit budget mais le talent de Carpenter en fait une référence en matière de film post-apocalyptique . L'ambiance froide et angoissante d'un New York dévasté est vraiment prenante . Le scénario ,assez simpliste a la base , développe une quantité de lieux et de personnages étranges et surprenants . Kurt Russell est vraiment classe , c'est un anti-héros a l'état pur . La musique ultra kitsch (du pur Synthé , bien années 80) n'est pas horrible , mais très répétitive .