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Malevolent Reviews
982 abonnés
3 207 critiques
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4,0
Publiée le 2 mai 2013
Véritable film culte des années 80, New-York 1997 marque la première collaboration entre Kurt Russell et John Carpenter, amenant ainsi l'acteur à devenir une figure emblématique du héros américain. Borgne, cheveux longs, débardeur noir, muscles saillants et sourire inexistant : Russell marquera les esprits avec certitude, devenant dès lors un action man inoubliable et, en l'occurrence ici, un anti-héros formidable... Film d'action situé dans un futur proche, New-York 1997 réussit amplement à distraire le spectateur avec son lot de scènes explosives, de personnages atypiques et son scénario haletant. Mais c'est surtout dans son ton résolument nihiliste que Carpenter pose les bases de sa filmographie entière, nihilisme que l'on retrouvera principalement dans Invasion Los Angeles et L'Antre de la folie. De plus, notre intrépide protagoniste n'est pas ce que l'on pourrait appeler un héros au grand cœur, c'en est même tout le contraire : baroudeur aguerri n'ayant confiance qu'en sa personne, anarchiste sans foi ni loi, éternel loser avec un bol pas possible, Snake Plissken restera gravé dans les mémoires comme un aventurier peu commode. John Carpenter nous entraîne donc dans cet univers violent et désespéré afin d'y faire évoluer son personnage principal aux prises avec toute une horde de barbares modernes ayant infesté la ville. Affrontant tour à tour des punks mal léchés, un caïd mégalo, un gladiateur gargantuesque et toute une série d’embuches sanglantes, Snake va tout faire pour sauver le Président des États-Unis, enlevé dans la dangereuse ville oubliée du titre, sans décocher le moindre sourire. Mise en scène dynamique, musique mémorable composée par le réalisateur lui-même et scénario malin rempli de suspense et de rebondissements, New-York 1997 prouve une fois de plus que John Carpenter est un maître du genre.
Pas si bon que ça, pas si culte que ça, il y a peu d'action.. Même la mise en scène n'est pas terrible, ce film à mal vieillit 28 ans après sa sortie. Ce long métrage de John Carpenter ne vaut certainement que pour son originalité et la qualité de son casting.
Un excellent film de science-fiction. Kurt Russell interprète le personnage culte Snake Plissken. Donald Pleasence tient le rôle du prédisent des Etats-Unis. Lee van Clef joue l'orgnisateur de la mission de sauvetage. Adrienne Barbeau incarne la femme fatale des années 80.
Un classique, mais être un classique ne protège pas toujours de l'outrage du temps. Un film à peine regardable de nos jours, les effets spéciaux sont archidatés, et l'ambiance trop marquée par l'époque où ce film d'anticipation a été tourné.
L'originalité de l'histoire, le budget ne compense pas certaines défaillances : le scénario est arrangeant à souhait, les acteurs sont surannés, la mise en scène grotesque. Cela porte un mauvais coup au film en général. Mais on ne s'ennuie pas.
Film d’atmosphère. C’est super réussi. Mais l’ambiance est largement plus à la hauteur que le sujet même si on lui reconnaît un style proche de Lynch et assez proche de « soleil vert » avec cependant une vrai bande-son années 80!!!!
Un classique de Carpenter dont l'ambiance y est pour beaucoup avec ses décors saisissants, sa bande son marquante et son culte protagoniste principal, badass et drôle, incarné par Kurt Russell au top de sa forme. Si quelques effets ont vieilli, ça reste sympa dans l'ensemble, l'idée est bonne et même si ça manque parfois de dynamisme on ne s'ennuie pas. Du cinéma très typé 80's où l'on ne s'embarrassait pas de protocoles, de puritanisme et bien pensance, ça fait du bien au moral de s'y replonger de temps à autre.
Un film plaisant à regarder, qui suit les codes du genre (SF/série B) et qui malgré cela arrive à se démarquer grâce à son ambiance sombre et désenchantée, son anti-héros charismatique incarné par Kurt Russell et sa bande sonore envoûtante. Réalisation captivante et mise en scène soignée.
Un film de science-fiction à petit budget comme Terminator froid et visionnaire. C'est un des rares films de Carpenter que je n'avais pas encore vu. Ce ne sera pas mon préféré. The Thing, Assaut et même Ghosts of Mars (car il y a Natasha Henstridge) resteront devant. Mais avec une telle distribution (Kurt Russell, Ernest Borgnine, Lee Van Cleef, Donald Pleasence), un discours politique et sur les politiques qui n'a pas tellement vieilli et une musique composée par Carpenter lui-même et que je risque d'avoir dans la tête pendant un moment, ça en fait une de ses œuvres majeures. Et puis Snake ("appelez-moi Snake), son bandeau sur l’œil, qui n'écoute que lui-même, qui ne suit que ses intérêts, a un charisme de dingue.
Film culte de John Carpenter , avec un Snake Pliseen héros anarchiste comme Bruce Willis avec John McClane mais surtout l homme sans nom de la trilogie du dollar de Sergio Leone dont Carpenter est fan (clin d’œil avec lee van cleef au générique célèbre truand ) Kurt Russel devenu icône avec ce film incarne Snake Plissen. L acteur s est inspiré de Mad Max de George James Cameron est responsable des effets spéciaux. Le scénario bien que partant sur une idée originale de dictature avec une ville prison est au final décevant . Les expressions de Kurt Russell sont stéréotypées. Et les combats ou fusillades sonnent faux.
Un scénario qui part d'un concept génial et multiplie les personnages et atmosphères originales avec un Kurt Russel au sommet du badass. Le film a vieilli et son petit budget le rend un peu passé mais on ne boude pas son plaisir pour autant dans une mise en scène de grande qualité.