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oranous
142 abonnés
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4,0
Publiée le 19 octobre 2008
New York 1997 réunis de splendides décors d'un New York post apocalyptique. De plus l’histoire n’est pas sans aucune originalité. Une belle idée de base : New York une immense prison dans laquelle les détenus s’autogouvernent. Carpenter livre finalement un film dans lequel l’action est maitre mot a bord. Ce n’est pas plus mal ainsi. On prend beaucoup de plaisir devant ce film d’anticipation.
" Escape From New York " est un chef-d’œuvre époustouflant dans lequel, un criminel doit sauver le président des États Unis , prisonnier dans un Manhattan apocalyptique et in-carcéral. John Carpenter est un mythe . Le plus grand réalisateur du cinéma fantastique et du film d'horreur américain. Le film est génial. Parfaite maitrise de la réalisation , sublime travail de l'image et un scènario d'enfer avec des personnages originaux. Un film de science-fiction redoutablement efficace servi par l'interprétation de Kurt Russell , impressionnant dans le rôle principal. Du Carpenter à l'état pure.
Je crois bien que je fait parti des nombreux fans de New York 1997, même si je lui reproche quelques défauts (due au manque de budget), j'en suis fan dans le vrai sens du thermes. Mais ceci ne va pas m’empêcher de commencer ma critique en citant ses quelques et principales défauts: Déjà, pour commencer, New York 1997 est un film à budget très restreints donc ce film est plus ou moins une série B (mais une bonne série B), John Carpenter, malgré ses talents de réalisateur, n'arrive pas trop à maîtriser un si petit budget pour un film d'une tel ampleur, ce qui fait que le film souffre parfois de petits soucis techniques surtout lors des scènes d'actions très fréquentes qui aurai pue paraîtres épiques, donc ce film aurait due posséder un budget plus important pour pouvoir être au sommet de son oeuvre. Passons à présent au qualités, déjà ce film possède une qualité de mise en scène et de photographie incroyable signé Carpenter, d'autre part ce film anticipe un futur paraissent proche (au mouvement de la société d'aujourd'hui), ce film sert surtout à éviter ce genre futur. Sous ses haires de film à la Rambo, New York 1997 est un film anti héroïsme spoiler: montrant un personnage qui au lieu d'aider l'état Américain va le rabaisser en montrent un personnage qui (chute final) va échanger la cassette diplomatique du président (qu'il va essayer de trouver durant tout le film avec le président) avec une autre n'ayant rien à voir et avec ceci, il trompe le gouvernement et envoie un énorme doigt d'honneur à cette horrible sociétéspoiler: . Donc pour conclure, si je suis fan de ce film c'est peut-être à cause de sa photographie ou de son personnage principale (Snake Plissken) interprété par Kurt Russell,et de ses morales anti héroïsmes, c'est vraiment un très bon divertissement et à découvrir si ce n'est pas déjà fait !
tout simplement un grand cru de sf futuriste avec un enorme Kurt Russel et une ambiance mortelle j'adore ce film mais sa suite los angeles 2013 et un pur radis lol !
Un film qui vous fera passer une bonne soirée, c'est clair. Il a quelques défauts par-ci par-là, mais il est bien réalisé, et la bande son fonctionne à merveille. Les plot twists de fin sont vraiment le petit plus qui m'a fait apprécier ce film. Il aurait pu s'y passer encore plus de choses, mais on a déjà un bon mélange d'action et de suspens !
Dans la foulée du succès d"Halloween", John Carpenter réalisait là un classique du genre. Le principe est aussi simple que génial : alors qu'en 1997 l'île de Manhattan a été transformée en une vaste prison, l'avion du Président des États-Unis s'y écrase. On envoie alors Snake Plissken, criminel notoire que tout le monde croyait mort (on lui dit à chaque fois qu'on le rencontre dans le film) pour sauver le Président. Celui-ci a vingt-quatre heures pour accomplir sa mission sans quoi des capsules placées dans son cou exploseront et le tueront. Mais Manhattan n'est plus ce qu'elle était et les rues sont mal famées... Incarné par un Kurt Russell qui trouve ici le rôle de sa vie, Plissken est un anti-héros qui semble tout droit sorti d'un western que Carpenter affectionne tant. S'il repose essentiellement sur son ambiance et ses décors désertés, "New York 1997" bénéficie également d'un scénario bien écrit et très prenant malgré quelques simplicités. Mais la mise en scène de Carpenter alliée à sa musique et aux savoureux seconds rôles (Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton et Donald Pleasance quand même !) font de ce film une œuvre aussi originale que divertissante.
Un pur moment de bonheur, New York 1997 ou la suite d'une collaboration avec Kurt Russel (après le roman d'Elvis), qui va trouver là un rôle à sa mesure en la personne de Snake Plissken, l'anto-héros par excellence portant sur le monde dans lequel il vit par l'intermédiaire de Carpenter, une vision sardonique. Car oui, Snake Plissken est bien John Carpenter, le personnage entretenant moultes ressemblance (pas physiques bien sur) avec son créateur. A l'époque, avant 1997 donc, la vision pessimiste du futur est rendue avec brio et l'athmosphère deletère contribue à la qualité du film. Plissken sans foi ni loi obligé de sauver le président des USA ce qu'il va faire mais en tendant un Fuck bien profond à la face d'une Amérique décadente. Un vrai et grand moment de cinéma.
Commençons d'abord par ce qui est positif : on y retrouve la bonne vieille ambiance de John Carpenter qui n'est pas sans évoqué celle de Assaut et d'Halloween. Une mise en scène forte dans un style western avec des jeux de couleurs surréalistes à souhait, des décors convaincants, des effets spéciaux (auxquels James Cameron a participé) réussis pour un film de cette époque, une bande son de qualité et surtout un Kurt Russell tout bonnement excellent dans le rôle de Snake lequel inspirera le héros de Metal Gear Solid. Et le scénario est assez bien ficelé et bien imaginé. Le film est cependant un peu long par moment et surtout je m'attendais à plus d'action et de spectaculaire. Mais ce film possède suffisamment de qualités pour qu'on puisse le considérer comme l'un des meilleurs de la filmographie de John Carpenter.
Un film post apocalyptique rendant hommage aux westerns spaghettis ? Malgré mes gouts pour le genre, je suis passé a côté de Escape from New York (son titre original, nettement mieux) tout comme de la filmographie de Carpenter que je connais à peine. Un film dans la lignée de Mad Max 2 sorti un an plus tard. Le personnage principal est un bad boy ultra charismatique (incarné à merveille par Kurt Russell) lancé dans une ville transformée en une prison ghetto où les tarés sont légions. On ne sait rien du passé de Snake Plissken à part qu'il est un grand caïd et que tout le monde le "croyait mort", et c'est suffisant. Le Duc va aussi super bien à Isaac Hayes (chanteur avant d'être acteur). Ok le film a un peu mal vieilli sur certaines scènes et il met un peu de temps à se lancer. Mais sinon c'est tendu, le scénario est simple mais efficace et on a pas besoin de connaître les détails qui ont amené à cette distopie pour être pris dans l'histoire, le thème principal signé Carpenter est génial... Du spectacle et une critique politique en fond, ça fonctionne totalement pour moi !
Un très bon film qui, si il a pris un sérieux coup de vieux, est toujours une œuvre culte. Avec ses décors d'un New York transformé en prison géante et son ambiance soignée, il convainc amplement. En revanche je suis un peu plus perplexe sur la nature des scènes d'actions franchement molles et ce même compte tenu de l'époque.
Au niveau des acteurs, celui qui retient notre attention est évidemment Kurt Russel ultra charismatique dans le rôle mythique de Snake Plissken. Voir Lee Van Cleef est aussi toujours un plaisir ainsi que le récemment regretté Ernest Borgnine et ce même dans un rôle assez mineur.
Un bon film qu'il faut voir au moins une fois, ne serait ce que pour mieux comprendre son influence sur le cinéma actuel.
Toute l'ironie d'un mec comme john carpenter est representée dans ce film culte realisé debut 80.Celle d'un anti hero obligé de se plier aux lois d'un systeme qu'il meprise (au risque de se faire faire sauter la tronche) pour esperer trouver une issue dans ce foutoire ideologique,sans pour autant se perdre en cour de route.Entre resignation amere et phantasme revolutionnaire,mesdames et messieurs faites vos jeux!
C'est en 1981 «New York 1997» que John Carpenter nous proposait l'un des films d'anticipation les plus notable de l'histoire du cinéma. Il créa par la même occasion le personnage de Snake Pliesken qui est aujourd'hui inscrit dans le patrimoine de la culture cinématographique. L'histoire de ce film se passe à New-York en 1997. La ville est devenue une zone dangereuse encerclé par un mur de 15 mètres de haut. A l'intérieur de cette forteresse, le paysage est désolant. Les rues sont sales, quasi désertes, l'ambiance est glaciale, hostile et crasseuse. Snake Pliesken est chargé de retrouver le président détenu par le Duc. Et il ne dispose que de 24H. S'engage donc une course contre la montre à travers les rues et les quartiers d'une ville totalement déshumanisée. En bref, la ville de New-York est devenue une vrai dystopie, où personne ne peut espérer connaître le bonheur. «New-York 1997» montre une nouvelle fois le savoir faire de John Carpenter lorsqu'il s'agit d'instaurer des atmosphères glauques et constitue l'une des oeuvres les plus connues de Big John. Culte.
Un western-futuriste qui n'est pas sans rappeler la célébre anticipation Mad Max, signé George Miller sortie 3 années auparavant. Celui-ci est realisé par John Carpenter, qui dépeint avec une force brutale et un univers malsaint une ville de New york à la dérive et plus menaçante que jamais, où des vagues de violence extrême et de folie humaine déferlent dans les quartiers devenu hostile et désertique dû a la terreur et la misére abondante qu'ils dégagent. La faute est bien sur attribuer à l'Etat (comme beaucoup de film du genre) qui a transformer la paisible ville en un pénitencier redoutable ou nul ne peut s'y échapper. Sans révolutionner le genre, Carpenter investit principalement du coté de l'action pure, véritable intêret du film que du coté de la reflexion sur la violence et l'humanité sous forme de satire sociale. Cette anticipation honnête et explosive n'en constitue pas moins un excellent divertissement. Les amateurs d'action et de science-fiction seront ravis.
John Carpenter, réalisateur de renom, nous fournit un excellent film d'anticipation, qui a certes vieilli, mais pourrait s'avérer d'actualité d'ici quelques années. L'intrigue est efficace et pleine de rebondissements. Ce film marque également une critique de l'auteur vis-à-vis de la société américaine. Quant à Kurt Russel, il trouve là un de ses meilleurs rôles. Dans les seconds rôles, on note Lee Van Cleef dont c'est l'une des dernières apparitions à l'écran, Ernest Borgnine, comédien mythique à la filmographie impressionnante, et enfin, Isaac Hayes, le chanteur de soul music dans le rôle du super méchant, le duc de New York.
Considéré par beaucoup comme un grand classique de SF, New York 1997 laisse à penser que c'est une série Z. Malgré cela, ça n'en est pas une. Le scénario est certes assez basique : un bad guy qui va sauver le président américain des criminels, mais ce qui le rend intéressant, c'est d'avoir fait de Manhattan une prison. C'est donc un sujet encore d'actualité qui est abordé : le fait que les prisons regorgent de détenus. New York 1997 a donc un scénario plausible. Après, c'est sûr, on est en 2015, en Manhattan n'est pas une prison, mais je ne critique pas ça, car à ce moment là pas mal de films perdent leur sens : 2001 l'Odyssée de l'espace, Retour vers le futur 2 et même Blade Runner. Là où à mon avis le film aurait pu être meilleur, c'est qu'il aurait pu mieux exploiter les criminels, rendre Manhattan plus dangereux, plus flippant. Mais bon, avec un budget si bas, ça se comprend. Pour passer aux aspects positifs du film : un New York grade très bien recréé, une atmosphère pesante et sombre parfaitement maîtrisée, une mise en scène plutôt bonne, une floppée d'acteurs tous excellents : Kurt Russell, Donald Pleasence, Lee Van Cleef et Harry Dean Stanton pour ne citer que les plus connus, et une BO géniale. Le film joue même sur des répliques récurentes comme appelez moi Snake ou Je te croyais mort (réplique utilisé par le réalisateur comme parodie, bien sûr, et qui m'a bien fait marrer). Et puis Snake Plissken est culte. Un bon film, bourré d'action et de bonnes idées. A voir.