Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Ouest France
par La Rédaction
D'un contexte lourd, on s'extirpe vers la lumière, porté par deux comédiennes magnifiques : Zita Hanrot (la grande fille de Fatima) et un nouvel ovni, Clémence Boisnard. Quel premier film !
20 Minutes
par Caroline Vié
Zita Hanrot et Clémence Boisnard y sont brillantes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Touchant, cru, sombre et juste, "La fête est finie" aurait pu être un grand film bouleversant sur l'addiction et la reconstruction, attaché à ses personnages portés par des actrices extraordinaires s'il ne faisait pas le choix à mi-parcours de généraliser son propos sur un mode quelque peu scolaire. Un choix très conscient de la part de Marie Garel Weiss et qui ne souffre donc d'aucune critique possible à ce niveau.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Edouard Dutour
Un hymne à la vie.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un premier film vibrant et percutant.
L'Express
par Eric Libiot
On s'en tiendra donc (...) au plaisir de voir deux comédiennes saisir leurs personnages en même temps que leur chance.
L'Humanité
par Aurore Garot
Tout sauf tragique, La fête est finie est porteur d’une énergie, celle qui pousse à se battre pour vivre. Qu’importe la durée d’abstinence, celle de Céleste et Sihem est applaudie avec la même force, car elle reflète le désir d’une renaissance.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par David Verhaeghe
Un drame réaliste porté par les comédiennes Zita Hanrot et Clémence Boisnard.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par Marine Quinchon
Un très beau film servi par une mise en scène nerveuse.
Le Point
par La Rédaction
Un premier film très réussi, et un très beau rôle pour Zita Hanrot (césar du meilleur espoir féminin en 2016).
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Le trajet forcément oscillatoire d’une jeunesse qui doit apprendre l’adulte tempérance que nécessite la vie en société (...) est ici dépeint avec une absence de jugement moral et une émotive sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Yannick Lemarié
Si [Marie Garel-Weiss] décrit la réalité de la vie des droguées avec une justesse indéniable, elle ne tombe jamais dans la facilité ou le sordide.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film de Marie Garel Weiss tire sa sensibilité de cet enjeu essentiel, cette montagne intime à gravir, jamais conquise, et il n’est pas besoin d’avoir connu la drogue pour mesurer ce que Céleste et Sihem endurent à la remorque de leur manque.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Ce film où un simple sandwich grec peut rendre l’espoir est un éloge insolent de l’appétit de vie, coûte que coûte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un premier film puissant sur la dépendance à la drogue autant qu'à l'amitié, porté par deux jeunes actrices qui rendent accros.
Bande à part
par Isabelle Danel
Ode à l’amitié qui guérit de tous les maux, "La Fête est finie" est un film imparfait mais généreux, vivant de toutes ces morts effleurées. Un film de survivante(s).
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Un premier film attachant qui ouvre une brèche prometteuse pour un sujet tabou, traité avec une grande justesse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Premier film de Marie Garel-Weiss : on y sent le désir puissant de faire du cinéma, la nécessité de parler d'une histoire personnelle, l'élan de la conviction. C'est tourné avec peu de moyens, et, malgré tout, le film a de l'allure, notamment grâce aux deux comédiennes, Clémence Boisnard et Zita Hanrot : entre elles, il y a une décharge d'énergie qui illumine le récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Heureusement, l’interprétation remarquable des deux jeunes actrices Zita Hanrot et Clémence Boisnard illumine ce film âpre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film qui observe, de façon un peu méthodiquement documentaire, le quotidien d'un drogué qui s'essaie à se défaire de sa dépendance, mais qui y ajoute une peinture plus ultime des relations entre deux filles différentes, portée par l'énergie de leurs deux interprètes.
Le Figaro
par La Rédaction
Les maladresses de ce premier long-métrage et le trop-plein de sentiments bienveillants n'occultent pas les performances des deux actrices: Zita Hanrot et Clémence Boisnard.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Ce premier long métrage, sensible et juste sur les ravages de la dépendance, perd en puissance du fait d’un traitement un peu trop classique de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Anouk Féral
Si sa caméra pâtit parfois d’un naturalisme un peu forcé, son empirisme intime permet au film de rester droit, animé d’une pulsion de vie indéfectible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Sidy Sakho
"La fête est finie", premier film de Marie Garel-Weiss, aborde avec lucidité la question du sevrage.
VSD
par Bernard Achour
Tout en intériorité, le jeu de Zita Hanrot, César 2015 du meilleur espoir féminin pour « Fatima », crée un contraste aussi saisissant que complémentaire avec la fièvre extravertie de Clémence Boisnard, aperçue l’année dernière dans « Django ».
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Cette histoire d’amitié sur fond de toxicomanie est une bonne occasion de se demander si la dépendance affective est un substitut ou une bouée de sauvetage.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Clément Graminiès
Le parti-pris naturaliste et le choix de la caméra portée ne parviennent pas à compenser les limites de cet exposé trop sage où les deux jeunes femmes (...) semblent uniquement là pour donner corps à une théorie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si ce drame réaliste et très balisé n’apporte pas grand-chose de neuf sur le sujet de l’enfer de la dépendance, il s’en dégage une émouvante sincérité.
Le Monde
par Murielle Joudet
Si le film est porté par le charme et l’énergie de ses deux actrices (Zita Hanrot et Clémence Boisnard), il ne parvient pas à éviter les automatismes du cinéma dit naturaliste et semble contenir sa frénésie à l’intérieur d’un espace scénaristiquement convenu.
Libération
par Didier Péron
On ne peut pas complètement dire que le scénario de "La fête est finie" soit riche de surprises. Il énumère avec un peu trop d’application les stations obligées du chemin contrariant de la guérison et de la réinsertion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
D'un contexte lourd, on s'extirpe vers la lumière, porté par deux comédiennes magnifiques : Zita Hanrot (la grande fille de Fatima) et un nouvel ovni, Clémence Boisnard. Quel premier film !
20 Minutes
Zita Hanrot et Clémence Boisnard y sont brillantes.
Ecran Large
Touchant, cru, sombre et juste, "La fête est finie" aurait pu être un grand film bouleversant sur l'addiction et la reconstruction, attaché à ses personnages portés par des actrices extraordinaires s'il ne faisait pas le choix à mi-parcours de généraliser son propos sur un mode quelque peu scolaire. Un choix très conscient de la part de Marie Garel Weiss et qui ne souffre donc d'aucune critique possible à ce niveau.
Elle
Un hymne à la vie.
Femme Actuelle
Un premier film vibrant et percutant.
L'Express
On s'en tiendra donc (...) au plaisir de voir deux comédiennes saisir leurs personnages en même temps que leur chance.
L'Humanité
Tout sauf tragique, La fête est finie est porteur d’une énergie, celle qui pousse à se battre pour vivre. Qu’importe la durée d’abstinence, celle de Céleste et Sihem est applaudie avec la même force, car elle reflète le désir d’une renaissance.
LCI
Un drame réaliste porté par les comédiennes Zita Hanrot et Clémence Boisnard.
Le Parisien
Un très beau film servi par une mise en scène nerveuse.
Le Point
Un premier film très réussi, et un très beau rôle pour Zita Hanrot (césar du meilleur espoir féminin en 2016).
Les Inrockuptibles
Le trajet forcément oscillatoire d’une jeunesse qui doit apprendre l’adulte tempérance que nécessite la vie en société (...) est ici dépeint avec une absence de jugement moral et une émotive sincérité.
Positif
Si [Marie Garel-Weiss] décrit la réalité de la vie des droguées avec une justesse indéniable, elle ne tombe jamais dans la facilité ou le sordide.
Sud Ouest
Le film de Marie Garel Weiss tire sa sensibilité de cet enjeu essentiel, cette montagne intime à gravir, jamais conquise, et il n’est pas besoin d’avoir connu la drogue pour mesurer ce que Céleste et Sihem endurent à la remorque de leur manque.
Télérama
Ce film où un simple sandwich grec peut rendre l’espoir est un éloge insolent de l’appétit de vie, coûte que coûte.
Voici
Un premier film puissant sur la dépendance à la drogue autant qu'à l'amitié, porté par deux jeunes actrices qui rendent accros.
Bande à part
Ode à l’amitié qui guérit de tous les maux, "La Fête est finie" est un film imparfait mais généreux, vivant de toutes ces morts effleurées. Un film de survivante(s).
Culturopoing.com
Un premier film attachant qui ouvre une brèche prometteuse pour un sujet tabou, traité avec une grande justesse.
L'Obs
Premier film de Marie Garel-Weiss : on y sent le désir puissant de faire du cinéma, la nécessité de parler d'une histoire personnelle, l'élan de la conviction. C'est tourné avec peu de moyens, et, malgré tout, le film a de l'allure, notamment grâce aux deux comédiennes, Clémence Boisnard et Zita Hanrot : entre elles, il y a une décharge d'énergie qui illumine le récit.
La Croix
Heureusement, l’interprétation remarquable des deux jeunes actrices Zita Hanrot et Clémence Boisnard illumine ce film âpre.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui observe, de façon un peu méthodiquement documentaire, le quotidien d'un drogué qui s'essaie à se défaire de sa dépendance, mais qui y ajoute une peinture plus ultime des relations entre deux filles différentes, portée par l'énergie de leurs deux interprètes.
Le Figaro
Les maladresses de ce premier long-métrage et le trop-plein de sentiments bienveillants n'occultent pas les performances des deux actrices: Zita Hanrot et Clémence Boisnard.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier long métrage, sensible et juste sur les ravages de la dépendance, perd en puissance du fait d’un traitement un peu trop classique de son sujet.
Première
Si sa caméra pâtit parfois d’un naturalisme un peu forcé, son empirisme intime permet au film de rester droit, animé d’une pulsion de vie indéfectible.
Transfuge
"La fête est finie", premier film de Marie Garel-Weiss, aborde avec lucidité la question du sevrage.
VSD
Tout en intériorité, le jeu de Zita Hanrot, César 2015 du meilleur espoir féminin pour « Fatima », crée un contraste aussi saisissant que complémentaire avec la fièvre extravertie de Clémence Boisnard, aperçue l’année dernière dans « Django ».
aVoir-aLire.com
Cette histoire d’amitié sur fond de toxicomanie est une bonne occasion de se demander si la dépendance affective est un substitut ou une bouée de sauvetage.
Critikat.com
Le parti-pris naturaliste et le choix de la caméra portée ne parviennent pas à compenser les limites de cet exposé trop sage où les deux jeunes femmes (...) semblent uniquement là pour donner corps à une théorie.
Le Journal du Dimanche
Si ce drame réaliste et très balisé n’apporte pas grand-chose de neuf sur le sujet de l’enfer de la dépendance, il s’en dégage une émouvante sincérité.
Le Monde
Si le film est porté par le charme et l’énergie de ses deux actrices (Zita Hanrot et Clémence Boisnard), il ne parvient pas à éviter les automatismes du cinéma dit naturaliste et semble contenir sa frénésie à l’intérieur d’un espace scénaristiquement convenu.
Libération
On ne peut pas complètement dire que le scénario de "La fête est finie" soit riche de surprises. Il énumère avec un peu trop d’application les stations obligées du chemin contrariant de la guérison et de la réinsertion.