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dominique P.
Cela fait vraiment du bien de temps en temps ce genre de films simple, vrai et juste.
On suit un couple de trentenaires à la campagne.
Ils élèvent des vaches et des cochons, ils sont heureux.
Ils vont faire installer une éolienne pour être autonomes en électricité.
Le hic c'est que la femme va tomber amoureuse du technicien venu pour l'installation.
On suit bien la psychologie de tous les personnages présents, y compris l'adolescente étrangère venue pour l'été (qui fait partie de l'association des "enfants de Tchernobyl" malades).
Voilà un film vraiment agréable et frais mais dramatique en même temps.
On suit un couple de trentenaires à la campagne.
Ils élèvent des vaches et des cochons, ils sont heureux.
Ils vont faire installer une éolienne pour être autonomes en électricité.
Le hic c'est que la femme va tomber amoureuse du technicien venu pour l'installation.
On suit bien la psychologie de tous les personnages présents, y compris l'adolescente étrangère venue pour l'été (qui fait partie de l'association des "enfants de Tchernobyl" malades).
Voilà un film vraiment agréable et frais mais dramatique en même temps.
Grosse déception !
J’ai trouvé ce film empli de clichés . Tout y était attendu et assez ringard. L’histoire est vraiment ennuyeuse tant tout y est prévisible.
Seule l’interprétation de Mélanie Thierry est intense. Pierre delalongchamp , que j’adore, est sous exploité.
Dommage
J’ai trouvé ce film empli de clichés . Tout y était attendu et assez ringard. L’histoire est vraiment ennuyeuse tant tout y est prévisible.
Seule l’interprétation de Mélanie Thierry est intense. Pierre delalongchamp , que j’adore, est sous exploité.
Dommage
un film super ennuyeux, à dormir assis... en plus les similitudes avec "petit paysan" le handicape lourdement, lui enlevant le seul élément qu'aurait pu sauver cette histoire : l'originalité.
Vu t avis le 20181006
Le film m a paru très bon mais je n ai pas ressentit l envie de l apprécier plus que cela.
Il a beaucoup de qualités, il est bien fait, intéressant, agréable etc. mais je ne me suis pas impliqué dans ce film, senti en pleine empathie. Il m a manqué l envie d avoir envie de l apprécier.
J ai trouvé qu il y avait beaucoup trop de brume lors de la première scène du cirque, que le jeu de main était peu crédible, improbable que personne ne réponde à Pauline.
J ai beaucoup apprécié l aspect outrancier d alex. Son conflit avec mara, son refus de certaines facilité. Je ne suis pas totalement convaincu qu il soit totalement crédible dans sa cohérence dans le film, mais son personnage m a semblé apporter un point de vue assez peu représenté au cinéma, en particulier les mésaventures qui lui arrivent - ne serait-ce que ce qui se passe lorsque Pauline revient à la ferme au petit matin.
L idée du combat sur tous les fronts avec leur projet avec Galina me parle beaucoup. L envie d agir à son échelle, l ouverture aux problèmes des autres et imaginer comment ils peuvent y participer.
J ai du mal à voir comment un couple qui a un projet tel que celui de galina (celui de l éolienne ne m a pas semblé aussi significatif) peut être fragilisé ainsi par Samuel, qui d ailleurs, est très en retrait dans l histoire. La seule fois où il exprime des idées, je ne vois pas en quoi elles peuvent participer à expliquer la relation entre Samuel et Pauline, je n ai pas ressentit en quoi ses propos pouvaient interpeler particulièrement Pauline.
Le film m a paru très bon mais je n ai pas ressentit l envie de l apprécier plus que cela.
Il a beaucoup de qualités, il est bien fait, intéressant, agréable etc. mais je ne me suis pas impliqué dans ce film, senti en pleine empathie. Il m a manqué l envie d avoir envie de l apprécier.
J ai trouvé qu il y avait beaucoup trop de brume lors de la première scène du cirque, que le jeu de main était peu crédible, improbable que personne ne réponde à Pauline.
J ai beaucoup apprécié l aspect outrancier d alex. Son conflit avec mara, son refus de certaines facilité. Je ne suis pas totalement convaincu qu il soit totalement crédible dans sa cohérence dans le film, mais son personnage m a semblé apporter un point de vue assez peu représenté au cinéma, en particulier les mésaventures qui lui arrivent - ne serait-ce que ce qui se passe lorsque Pauline revient à la ferme au petit matin.
L idée du combat sur tous les fronts avec leur projet avec Galina me parle beaucoup. L envie d agir à son échelle, l ouverture aux problèmes des autres et imaginer comment ils peuvent y participer.
J ai du mal à voir comment un couple qui a un projet tel que celui de galina (celui de l éolienne ne m a pas semblé aussi significatif) peut être fragilisé ainsi par Samuel, qui d ailleurs, est très en retrait dans l histoire. La seule fois où il exprime des idées, je ne vois pas en quoi elles peuvent participer à expliquer la relation entre Samuel et Pauline, je n ai pas ressentit en quoi ses propos pouvaient interpeler particulièrement Pauline.
Un drame rural sur fond d’ècologie qui met en valeur l'ouest d'un pays que l'on ne connaît pas forcèment : la Suisse romande! On y suit un jeune couple sans enfant, installè curieusement au creux d'une vallèe, qui dècide un beau jour d'amorcer un sentier exaltant! Mais chaque sentier à son histoire! Un « èlèment » viendra perturber ce jardin D'Eden où tout se passait bien pour ce couple indèpendant à la vie sans histoire [...] Soyons juste et avouons qu'on s'attendait à mieux! A commencer par l'idylle sans surprise entre une jolie paysanne et un chef de chantier charismatique! Ceci-dit Mèlanie Thierry et Pierre Deladonchamps sont convaincants! Un couple perdu au milieu de nulle part qui, en même temps, essaye de ne pas subir la sociètè mais plutôt de la faire avancer! Le meilleur du film, c'est eux et l'installation de l'èolienne, prèsentèe de façon instructive. "Le vent tourne" ressemble finalement à un « tèlèfilm » du samedi soir sur France 3! Le bonheur est-il dans le prè ? Pas certain aux yeux de la suissesse Bettina Oberli qui signait là son premier long-mètrage! Emouvant mais inabouti...
Dans une ferme isolée du Jura suisse, Pauline et Alex semblent vivre depuis quinze ans en parfaite harmonie avec leur environnement. Leurs convictions écologiques les poussent même à planter une éolienne dans un champ pour assurer leur autonomie énergétique. Mais l’arrivée du beau Samuel, l’ingénieur chargé de l’installation, va faire vaciller le couple et en particulier Pauline plus tout à fait aussi sûre de sa vocation d’éleveuse laitière...
Le drame passionnel est en place. Curieusement, une jeune ukrainienne marquée par Tchernobyl, vient s’agréger au trio de façon superflue. Car c’est bien le désir qui est au cœur du film. Et pour l’héroïne, un désir d’évasion, davantage que pour un homme. Comme si Samuel avait révélé en elle l’usure de son amour à l’épreuve du temps. Aux côtés de Pauline qui fait passer ses émotions avant ses convictions, Alex apparaît comme un idéologue plus radical. Quant à la nature, elle est montrée dans son ambivalence nourricière et hostile.
Le Vent tourne est un film sans doute délicat et sensible. Avec une tension sourde, une belle lumière et deux bons interprètes, Mélanie Thierry et Pierre Deladonchamps. Mais à croiser trop de récits et à multiplier les scènes schématiques, la réalisatrice suisse Bettina Oberli ne comble pas toutes les attentes. Sa romance s’épuise par manque d’étoffe narrative et de profondeur. Son éolienne manque de souffle. Et sous ces vents instables, la thématique écologique qui sert de trame au film, relève presque du prétexte, tant l’enjeu paraît artificiel, pour ne pas dire décoratif.
Le drame passionnel est en place. Curieusement, une jeune ukrainienne marquée par Tchernobyl, vient s’agréger au trio de façon superflue. Car c’est bien le désir qui est au cœur du film. Et pour l’héroïne, un désir d’évasion, davantage que pour un homme. Comme si Samuel avait révélé en elle l’usure de son amour à l’épreuve du temps. Aux côtés de Pauline qui fait passer ses émotions avant ses convictions, Alex apparaît comme un idéologue plus radical. Quant à la nature, elle est montrée dans son ambivalence nourricière et hostile.
Le Vent tourne est un film sans doute délicat et sensible. Avec une tension sourde, une belle lumière et deux bons interprètes, Mélanie Thierry et Pierre Deladonchamps. Mais à croiser trop de récits et à multiplier les scènes schématiques, la réalisatrice suisse Bettina Oberli ne comble pas toutes les attentes. Sa romance s’épuise par manque d’étoffe narrative et de profondeur. Son éolienne manque de souffle. Et sous ces vents instables, la thématique écologique qui sert de trame au film, relève presque du prétexte, tant l’enjeu paraît artificiel, pour ne pas dire décoratif.
Un triangle amoureux avec deux conceptions de la vie qui s'entrechoquent, et une héroïne qui cherche son propre chemin. Quelques longueurs, mais de bons acteurs, pour un film à l’intrigue prévisible mais pas inintéressant, grâce à eux.
Lors de sa sortie en salles en 2018, "Le vent tourne" est passé inaperçu et je peux dire que le dernier mot du titre "tourne" correspond bien à l'histoire et à mon impression de façon médiocre !! J'aime bien les histoires qui parlent de nature, de campagne et d'agriculture comme ici avec un jeune couple de fermier qui s'occupe des vaches et cochons. On ajoute un peu d'écologie avec une construction d'éolienne pas loin de leur ferme et ça aurait pu ètre pas mal mais le sujet, c'est l'adultère de la femme perdue entre son compagnon et le constructeur d'éolienne qui ne sait quelle chemin choisir et le film patauge dans ce format là tout au long avec le sentiment de déjà vu au cinéma ou la télévision ce qui est dommage. Je mets une note honorable quand même pour son actrice principale Mélanie Thierry qui rayonne en joie ou agonise en détresse qui est excellente et rend même ses deux partenaires Pierre Deladonchamps et Nino Lopès transparent. Un sujet qui aurait mérité d'ètre mieux traité.
C’est certes plutôt frais, bien interprété dans un très joli cadre, mais c’est quand même très insipide et lent, tournant quasi essentiellement autour des états d’âme d’une femme qui se posent des tas de questions, un peu tardivement selon moi, et qui se trouve confrontée à un démon de midi au féminin qui va la mener à remettre sa situation en question. Franchement pas de quoi soulever les foules avec ce thème maintes fois ressassé. Un film quelconque.
FaRem
Premier film en français pour la réalisatrice suisse qui s'intéresse à un couple de paysans qui vont voir leur vie basculer à l'arrivée de Samuel, un homme au style de vie et aux idées complètement différents des leurs. Pauline est une femme qui aime ce qu'elle fait, mais qui n'est pas contre le progrès au contraire de son compagnon Alex qui est presque extrémiste dans sa façon de penser au point même qu'il refuse que la vétérinaire, qui est la soeur de Pauline, vienne voir les bêtes. Il veut tout faire par lui-même et notamment produire son électricité et pour cela, il décide de faire installer une éolienne, ce qui va être la mission de Samuel. On retrouve également la jeune Galyna venue de Tchernobyl avec qui la jeune femme va nouer une forte relation. Entre l'évolution des idées avec cette confrontation entre le modernisme et le traditionnel, le désir d'une femme et ce triangle amoureux passionnel, Bettina Oberli propose un joli drame plein de douceur et de sensibilité qui est filmé de façon délicate presque de manière contemplative. Il y a un petit peu de "Petit Paysan" dans ce film avec le portrait de ce métier difficile et la maladie des bêtes, mais les deux films sont très différents. Si l'histoire est simple et les enjeux communs, j'ai bien aimé ce petit film qui est très agréable à suivre avec notamment une superbe Mélanie Thierry qui est rayonnante et affiche une belle alchimie avec Nuno Lopes.
traversay1
Le cinéma semble s'intéresser à nouveau au monde rural et l'on ne s'en plaindra pas tant il recèle de nombreux gisements de bonnes histoires. Le vent tourne est un peu en deçà de Seule la terre ou de Petit paysan, de par un certain manque de prise de risques et d'un ton parfois trop neutre, qui n'est pas seulement due au fait que l'action se déroule dans une ferme suisse. Le romanesque est présent pourtant dans le scénario et dans le personnage de cette paysanne sur laquelle souffle un vent de désir qu'elle a du mal à maîtriser. Mais la réalisatrice ne semble pas avoir suffisamment confiance dans son intrigue et la laisse parfois au second plan derrière les problèmes de ces paysans qui ont décidé de s'isoler et de jouer la carte de l'écologie en minimisant les dangers d'une terre souvent amère voire hostile. Il y a même un troisième récit, plus ténu, autour d'une jeune fille originaire de Tchernobyl venue passer quelques semaines à la campagne. Si le film ne pâtit pas trop d'un manque de liant entre ces différentes sources narratives, elles s'enrichissent même à l'occasion, Bettina Oberli ne parvient tout de même pas à leur donner l'ampleur attendue. Le vent tourne reste en somme un film modeste et délicat, aux personnages attachants incarnés par Mélanie Thierry et Pierre Deladonchamps, excellents et, surtout pour le second, relativement crédibles en fermiers.
Un gentil petit film sur la vie d'une jeune femme dont l'existence va être bouleversé par l'arrivée de l'ingénieur venu installer une éolienne. Sur fond d'idée écologique, on assiste à cette romance entre 2 êtres qui vont vivre leur passion cachée. Si l'interprétation est bonne, on peut regretter la timidité des dialogues et le manque de profondeur, de passion des différents personnages. Le rythme est assez inégal aussi et l'ennui gagne par moment. De beaux décors extérieurs et ce monde rural si bien décrit sauvent l'ensemble du naufrage. Passable...
un film sur le thème classique une rencontre qui bouleverse la vie d'un couple rempli de certitudes sur la vie a menée...leur vision de la société de consommation., bien joué mais manque de profondeur et d'originalité sur la fin .
Clémentine K.
Un film très agréable à voir du point de vue de l'intrigue comme de celui du personnage de Pauline dont on comprend le besoin de changement. Un film qui soulève bon nombre de questions actuelles et psychologiques. Un bon moment.
Ce film donne un sentiment mitigé de déjà-vu, sur le monde agricole et ses difficultés et sur la passion amoureuse. Pourtant il parvient à nous intéresser au destin de ses personnages. D'un côté, ce couple, Pauline et Alex, qui vit chichement de la terre, accroché à ses convictions écologiques, et semblant avoir trouvé un équilibre entre sobriété et bien-être. De l'autre côté, 2 électrons libres, l'ingénieur Samuel et la jeune Galina, vivant dans ce monde bordélique, perverti et pollué, mais en mouvement, et donc bien VIVANTS. Ces rencontres viennent faire éclater la bulle protectrice qui tenait Pauline à l'abri du monde extérieur. Et voici la question finalement soulevée : vaut-il mieux se priver par principe pour le bien de la planète (le côté colobri qui fait ce qu'il peut), ou danser comme les cigales en attendant la fin ? le film, ambigu, semble privilégier la 2ème option. Ce qui, dans notre monde suffocant, peut sembler assez chocant ! Et ce n'est pas le portrait extrémiste d'Alex qui arrange le propos. Malgré tout, j'ai eu beaucoup de plaisir à redécouvrir une Mélanie Thierry magnifique, forte et solaire. La moyenne, donc, pour ce film à qui l'on ne peut que souhaiter bon vent !
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