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Une jolie ode à la nature et à la différence, filmée dans des paysages sublimes et qui révèle le formidable Bonaventure Gacon, digne héritier de Gabin ou Depardieu.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Il faut un bon quart d’heure pour s’habituer à l’atmosphère déjantée de ce conte noir aux dialogues maladroits. Mais la puissance expressive de Bonaventure Gacon (comédien fantasque venu du cirque), le mélange insolite de western et de burlesque et la beauté des décors (tel le moulin infernal conçu par Cornélius) font tomber toutes les réticences.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si la matière même du film, comme son héros hirsute et beuglant, part dans tous les sens et semble manquer de contrôle, on se régale à cette poésie débridée et souvent inattendue, portée par l’étrangeté du géant Bonaventure Gacon et la grâce infinie d’Anaïs Demoustier.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Malgré des choix esthétiques un tantinet systématiques (comme le recours à d’oniriques nuits américaines), la photo soigneusement colorée épouse la déroutante liberté de ce Don Quichotte au grand cœur qui lutte contre la fatalité. Et Yann Le Quellec de réussir une rencontre fantasmée entre Gotlib et Sam Peckinpah au cœur du Larzac.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le premier long métrage de Yann Le Quellec est un film atypique, quelque part entre la fable cruelle et le drame romantique, dont l’élégante mise en scène dépouille le récit, pourtant poétique, de son potentiel émotionnel.
On aurait aimé pouvoir accepter l'évidente proposition du film de découvrir un folklore monté de bric et de broc, propices à un spectacle de folie douce ; malheureusement, c'est l'assemblage laborieux entrepris pour parvenir à ce spectacle qui prend le pas, et déçoit par sa lourdeur et son manque d'âme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Une fable archaïsante située dans un village imaginaire. Elle oppose un meunier fantasque à la population plus rigide. Le fou/poète contre la société. Air connu. La stylisation a parfois pour corollaire le simplisme. C’est le cas de cette galéjade lorgnant le western, qui a néanmoins un atout : de sublimes décors naturels.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
C'est le lyrisme bucolique du film qui le sauve du ratage lorsque, in fine, Le Quellec réinvente l'échappée hivernale de "Jeremiah Johnson" en version lo-fi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Il y a, ici, un carambolage douloureux entre le ton burlesque et la souffrance du meunier que traduisent ses cris nocturnes. Le film devient même dérangeant lorsqu’il plonge Cornélius dans un asile psychiatrique terrifiant, avec toujours ce même désir de faire rire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Passé la stupéfaction d’entendre Iggy Pop entonner la chanson de Cornélius avec un accent à couper au couteau, on s’ennuie assez ferme devant cette adaptation du livre d’Arto Paasilinna.
Un film ambitieux, qui adapte un conte venu de Finlande, en s’efforçant de lui donner valeur universelle et d’imposer un univers utopique. Mais l’ensemble est trop hétéroclite pour être vraiment convaincant.
Yann Le Quellec continue à s’inscrire dans une veine burlesque suffisamment rare en France pour qu’on trouve son entreprise attachante, mais il manque à son film deux éléments essentiels à ce genre : une vraie rigueur de mise en scène et un sens du rythme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'humour, le burlesque et le musical s'entrechoquent dans un méli-mélo ahurissant, avec un scénario prévisible, ponctué de tirades récitées comme dans un spectacle de fin d'année scolaire maladroit.
Le Parisien
Une jolie ode à la nature et à la différence, filmée dans des paysages sublimes et qui révèle le formidable Bonaventure Gacon, digne héritier de Gabin ou Depardieu.
Les Inrockuptibles
Déambulations, gesticulations, à l’intérieur d’une esthétique toujours très tenue : c’est la promesse de ce western comique et poétique, un film rare.
Rolling Stone
Fable maligne et élégante, dont la fantaisie tragique répond avec une surprenante intelligence.
Télérama
Il faut un bon quart d’heure pour s’habituer à l’atmosphère déjantée de ce conte noir aux dialogues maladroits. Mais la puissance expressive de Bonaventure Gacon (comédien fantasque venu du cirque), le mélange insolite de western et de burlesque et la beauté des décors (tel le moulin infernal conçu par Cornélius) font tomber toutes les réticences.
Bande à part
Si la matière même du film, comme son héros hirsute et beuglant, part dans tous les sens et semble manquer de contrôle, on se régale à cette poésie débridée et souvent inattendue, portée par l’étrangeté du géant Bonaventure Gacon et la grâce infinie d’Anaïs Demoustier.
Le Monde
Malgré des choix esthétiques un tantinet systématiques (comme le recours à d’oniriques nuits américaines), la photo soigneusement colorée épouse la déroutante liberté de ce Don Quichotte au grand cœur qui lutte contre la fatalité. Et Yann Le Quellec de réussir une rencontre fantasmée entre Gotlib et Sam Peckinpah au cœur du Larzac.
Les Fiches du Cinéma
Le premier long métrage de Yann Le Quellec est un film atypique, quelque part entre la fable cruelle et le drame romantique, dont l’élégante mise en scène dépouille le récit, pourtant poétique, de son potentiel émotionnel.
Première
Adepte du mélange des genres, Yann Le Quellec signe un western à la française, mêlant fable sur l'aliénation et comédie fantaisiste. Surprenant.
Cahiers du Cinéma
Si ce bric-à-brac intrigue un temps, il cache assez mal le manque d’enjeu du film et la limite inhérente à la constitution d’un folklore.
Critikat.com
On aurait aimé pouvoir accepter l'évidente proposition du film de découvrir un folklore monté de bric et de broc, propices à un spectacle de folie douce ; malheureusement, c'est l'assemblage laborieux entrepris pour parvenir à ce spectacle qui prend le pas, et déçoit par sa lourdeur et son manque d'âme.
L'Humanité
Une fable archaïsante située dans un village imaginaire. Elle oppose un meunier fantasque à la population plus rigide. Le fou/poète contre la société. Air connu. La stylisation a parfois pour corollaire le simplisme. C’est le cas de cette galéjade lorgnant le western, qui a néanmoins un atout : de sublimes décors naturels.
L'Obs
C'est le lyrisme bucolique du film qui le sauve du ratage lorsque, in fine, Le Quellec réinvente l'échappée hivernale de "Jeremiah Johnson" en version lo-fi.
La Croix
Il y a, ici, un carambolage douloureux entre le ton burlesque et la souffrance du meunier que traduisent ses cris nocturnes. Le film devient même dérangeant lorsqu’il plonge Cornélius dans un asile psychiatrique terrifiant, avec toujours ce même désir de faire rire.
La Voix du Nord
Passé la stupéfaction d’entendre Iggy Pop entonner la chanson de Cornélius avec un accent à couper au couteau, on s’ennuie assez ferme devant cette adaptation du livre d’Arto Paasilinna.
Le Dauphiné Libéré
Un film ambitieux, qui adapte un conte venu de Finlande, en s’efforçant de lui donner valeur universelle et d’imposer un univers utopique. Mais l’ensemble est trop hétéroclite pour être vraiment convaincant.
Le Journal du Dimanche
L’ensemble paraît malgré tout plus léché que profond, en mal de dialogues et de numéros d’acteurs franchement mémorables.
Libération
Yann Le Quellec continue à s’inscrire dans une veine burlesque suffisamment rare en France pour qu’on trouve son entreprise attachante, mais il manque à son film deux éléments essentiels à ce genre : une vraie rigueur de mise en scène et un sens du rythme.
Positif
L'humour, le burlesque et le musical s'entrechoquent dans un méli-mélo ahurissant, avec un scénario prévisible, ponctué de tirades récitées comme dans un spectacle de fin d'année scolaire maladroit.