Une histoire intelligente des dialogues drôles et humains bref un moment de détente de rire et parfois de sympathie pour l excellente karin Viard qui renou selon moi avec un très grand rôle..... Cette femme quelle incarne si bien c'est vous c'est moi ....bref elle est touchante .....A voir Absolument .....
Film très dérangeant et très mal ficelé ! Une jalousie à la limite du monstrueux qui aurait pu être drôle mais qui ne l'est, malheureusement pas. Être jalouse ne serait rien s'il ne s'agissait que de faire du mal à soi-même, mais là, le personnage s'en prend à tout le monde ( y compris à sa fille). Et puis, les autres sont très, très gentils, ils pardonnent, sans difficulté toutes les méchancetés dont ils ont été victimes. Les frères Foenkinos ont dû hésiter entre le drame psychologique et la comédie burlesque et le résultat est juste un film raté qu'on essaie de sauver en remettant toute les choses en ordre après quelques brasses dans la piscine et un peu de yoga !
Karine Viatd se démène pour nous faire croire à ce personnage improbable mi-schizophrène mi-démon mais en vain tellement le scénario et les dialogues sont faibles. Les seconds rôles sont des caricatures. Seule la belle-mère nous arrache un peu d'émotion malgré la faiblesse de ses répliques.
Nathalie, la cinquantaine débutante, est titillée par ses hormones, et vit mal (voire très mal) les premières affres du retour d'âge. Si le physique tient bon, c'est son caractère qui en prend un sacré coup. "Jalouse" (en fait, envieuse plutôt) de tout, et de tout le monde (même de ses proches), elle devient carrément dangereuse. Ce portrait d'une ménopausée (imminente) en grand tourment est souvent boiteux psychologiquement, et, au minimum, outré. Mais la bonne idée des frères Foenkinos a été de confier le rôle-titre à Karin Viard (récemment vue en mère tardive) : le film entier repose sur elle, et ses talents d'interprète sauvent beaucoup (incohérences de scénario, histoire tirant à la ligne, réalisation basique..). Certains dialogues assez enlevés, et 2 ou 3 rôles de complément correctement écrits, et bien tenus (la "meilleure amie", alias Anne Dorval, surtout) complètent l'impression générale : "moyen" (mieux en tout cas que le très médiocre "La Délicatesse" - 2011).
brillant exercice de style pour une Karin Viard au sommet je crois dire que c'est son meilleur rôle pour moi un petit bijou avec des dialogues au couteau une excellente mise en scène et de très bon acteurs complètes la distribution bref très bon moment
J'admets qu'à chaud, j'étais partant pour lui flanquer la note la plus basse, après ce que je venais de voir, je l'avais franchement mauvaise. Avec du recul, je vais être un peu plus clément, mais sans l'épargner pour autant. Malheureusement pour lui, ce film est porteur d'un des maux qui tuent la plupart de nos films qui s'y risquent: on adopte une démarche cynique, avec le ton qui va avec... mais, cette démarche, on ne l'assume pas jusqu'au bout. Il arrive toujours le moment où le ton change résolument et tout se finit de façon consensuelle, ce qui est encore plus rageant. Et ben dans "Jalouse", c'est tout à fait ça. Pendant trois quarts d'heure, ça fonctionne bien, la jalousie du personnage principal joué par Karin Viard fait son effet. Et cette dernière joue d'ailleurs remarquablement. On se demande qui sera alors impacté par son prochain pétage de plombs. Arrive alors le moment crucial, celui où spoiler: la fille fait une allergie . A partir de là, deux solutions s'offrent aux frères Foenkinos. Soit, ils décident de pousser le truc au maximum, soit ils changent le fusil d'épaule. Ils choisissent la deuxième et les conséquences se font sentir rapidos. Le film glisse alors vers une sorte d'étude de la névrose habitant le personnage principal. Dès lors, on sait très bien que la quête de rédemption va aboutir et que les morceaux vont se recoller comme par enchantement. J'en suis bien navré mais, au regard du ton employé au cours des quarante cinq premières minutes, moi j'appelle tout simplement ça du sabordage.
Jalouse est un film qui réussit à capter le spectateur, notamment grâce au jeu d'actrice de Karin Viard. Mais en plus, l'histoire évolue tout au long du film et permet de ne pas s'ennuyer.
Bien m’a pris de me fier aux frères Foenkinos pour choisir d’aller voir ce film le jour de sa sortie ! En effet, j’étais moyennement convaincu par la bande-annonce mais j’avais tellement aimé « La Délicatesse », leur premier film sorti en 2011 que j’ai voulu aller voir le deuxième. Karin Viard est parfaite en peau de vache hors compétition, elle remet au goût du jour « Tatie Danielle » mais avec davantage de subtilité. Le film repose sur des dialogues top-niveau – on sent qu’il y a de l’écriture, car il y a tout dans ces dialogues, le niveau littéraire et le rythme des répliques - et une interprétation sans faille. Karin Viard a un rôle à César mais tous les autres acteurs sont du même niveau. Je suis encore sous le charme de ce film.
Si on regarde le film comme un woman-show de Karin Viard, c'est tout simplement fabuleux ! Quelle présence, quel talent ! Quel charme, à ce point que les autres autour d'elle ne semblent plus exister. Seulement voilà, c'est censé être un film et cette situation est quand même gênante quand on réalise un film. Il n'est certes pas mauvais, mais après un départ en fanfare, on sombre dans le gnian-gnian et le giratoire, quand ce n'est pas dans l'inutile. Les réalisateurs on eut tout de même l'intelligence de ne pas "finir" le film, c'eut été compliqué !
Excellent film que ce "Jalouse" avec une Karin Viard au sommet de sa carrière. Elle y interprète une prof de lettres divorcée qui ne supporte plus le bonheur de son entourage et qui va mettre au point divers stratagèmes pour "saboter" l'existence des autres. Personne n'échappe à son petit jeu mesquin et ça va de sa nouvelle collègue enseignante (Anaïs Demoustier), à son couple de "meilleurs amis" jusqu'à sa propre fille. Karin Viard est exceptionnelle dans cette oeuvre au début très drôle mais qui en avançant devient moins légère au fur et à mesure que les névroses de l'actrice s'accentuent. A voir d'urgence!
Karine Viard ne manque pas de talent en général, mais ce scénario ne méritait pas d'en faire un film. "Jalouse" de sa fille jeune et belle (alors qu'elle approche de la ménopause), paranoïaque sur les bords et voyant les autres comme des concurrents potentiels… la professeure de lettres qu'elle interprète est drôle… parfois. On sourit, sans plus. Et l'histoire, en dehors de ce trait de caractère un peu poussé et sans doute mal exploité, ne fait que raconter des scènes de vie banales.
une analyse très fine de la jalousie avec un zeste d'humour. Pas une faute dans le jeu de tous les acteurs. Un vrai petit bijou. Karine Viard est à plaindre et à gifler et fille à danser. Belle exactitude dans les personnages. Un régal à aller voir. Merci à tous .
La déception. Auréolé d'une réputation (trop) flatteuse, je m'attendais à passer un bon moment et en fait non. Il y a quelques traits d'esprit soit, mais l'histoire est mal construite, on ne comprend pas bien où va et d'où revient Karine Viard et par la même occasion nous non plus. Je passe sur le côté terriblement irritant: c'est un film de riches qui ont des problèmes de riches. Des appart somptueux de 100 m2 minimum en plein Paris, super exposés au soleil, pas une télé à l'horizon, on est prof agrégé, architecte... Rien à voir avec la vraie vie, quoi. Reste Anne Dorval, dans le ton, tout en nuances. Mom a gardé la grâce.