AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,3
54 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur La Enfermedad del domingo ?
5
4 critiques
4
3 critiques
3
3 critiques
2
0 critique
1
0 critique
0
2 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Un chef d'oeuvre !
Enfin un film intelligent, marquant, profond, sensible, humain, traitant un sujet qui concerne beaucoup de personnes.
Ce film donne à réfléchir, il pose des actes forts, avec des personnages qui nous touchent.
Bouleversant, authentique, il donne l'impression d'être la reprise d'une histoire vraie.
Très bien joué par des acteurs bien choisis. De belles prises de vue, une ambiance en parfaite adéquation avec le déroulement.
Amateurs d'aventures fictives, primaires et infantilisantes, s'abstenir.
Bravo !
Enfin un film intelligent, marquant, profond, sensible, humain, traitant un sujet qui concerne beaucoup de personnes.
Ce film donne à réfléchir, il pose des actes forts, avec des personnages qui nous touchent.
Bouleversant, authentique, il donne l'impression d'être la reprise d'une histoire vraie.
Très bien joué par des acteurs bien choisis. De belles prises de vue, une ambiance en parfaite adéquation avec le déroulement.
Amateurs d'aventures fictives, primaires et infantilisantes, s'abstenir.
Bravo !
Quelle our moment d'émotion
Des larmes
A voir absolument
Grand moment de cinéma bouleversant
Actrices magistrales d'une justesse incroyable
Vous êtes emporté par cette histoire
Des larmes
A voir absolument
Grand moment de cinéma bouleversant
Actrices magistrales d'une justesse incroyable
Vous êtes emporté par cette histoire
Époustouflant, touchant, bienveillant, etonnant, onirique et ses deux grandes très grandes actrices... Une lumière extraordinaire... Une leçon esthétique de réaliser du cinéma 5 étoiles... On s'endort épanoui et fort... Merci pour ce film que je recommande à 100%...💐💐💐💐👏👏👏👏👏
Une femme de la haute société appelée Anabel Susi Sanchez vivant heureuse avec son mari et sa fille en préparant un dîner pour des gens riches rencontre sa fille Chiara qu'elle avait abandonnée il y a longtemps. Anabel l'a quittée ainsi que son précédent mari Richard il y a plus de trente ans pour épouser un autre homme riche. Avec une intrigue trop lente qui est trop sombre et bien trop simple. Et même s'il y a un bon jeu des acteur l'histoire n'a aucun sens. Je ne le recommanderais pas même à quelqu'un que je n'aime pas. Je ne voudrais pas qu'on croie que j'ai aimé ce film. Ma femme ne l'a pas aimé non plus elle l'a tous comme moi trouvé beaucoup trop lent...
Yves G.
Anabel (Susi Sanchez) est une grande bourgeoise de la haute société espagnole. Rien ne peut laisser imaginer qu’elle a eu une jeunesse rebelle et qu’elle a abandonné sa fille, Chiara (Barbara Lennie), qui la retrouve trente ans plus tard. Contre toute attente, Chiara ne lui demande pas d’argent, mais du temps : passer dix jours avec elle dans sa maison natale, perdue au cœur des Pyrénées françaises. Anabel accepte, non sans réticence cet étrange contrat.
Sortie début 2018 en Espagne, "La Enfermedad del Domingo" a remporté le Grand prix du festival du film espagnol de Nantes. Il a valu à Susi Sanchez le Goya – l’équivalent du César – de la meilleure actrice. Hélas, il n’a jamais trouvé le chemin des salles en France et est sorti directement sur Netflix.
C’est un film poignant sur un duo improbable : la blonde Anabel semble avoir réussi sa vie, à force d’ambition et de sacrifices, la brune Chiara a raté la sienne et le reconnaît sans regrets. La cinquantaine bien sonnée, Anabel entretient son corps avec application, s’habille avec élégance. Les cheveux gras, la clope au bec, la flasque d’alcool à portée de main, Chiara a renoncé à entretenir le sien qui se venge. Tout les sépare sauf ce lien de filiation que la mère a nié trente ans plus tôt par un geste dont on attend qu’elle nous révèle la cause.
Le film est construit sur un suspens. Que veut Chiara ? A-t-elle attiré Anabel dans cette ferme pour se venger d’elle, pour lui faire payer (par la torture ? par le meurtre ? par l’obtention d’un impossible pardon ?) le prix de l’impardonnable abandon qui l’a privé de sa mère sans explication alors qu’elle avait huit ans à peine ?
Le film est long. Trop long. Près de deux heures. Il est peuplé de silences, entrecoupé d’ellipses. Le réalisateur Ramon Salazar a pris le parti radical de l’hyper-stylisation. Il a donné à son héroïne la froideur glaciale des grandes héroïnes hitchcockiennes. Sa façon de filmer les Pyrénées l’hiver flirte avec le fantastique. La dernière scène du film, d’une logique implacable, qu’on a hélas sentie venir un peu trop tôt pour en être surpris, ne s’oublie pas facilement.
Sortie début 2018 en Espagne, "La Enfermedad del Domingo" a remporté le Grand prix du festival du film espagnol de Nantes. Il a valu à Susi Sanchez le Goya – l’équivalent du César – de la meilleure actrice. Hélas, il n’a jamais trouvé le chemin des salles en France et est sorti directement sur Netflix.
C’est un film poignant sur un duo improbable : la blonde Anabel semble avoir réussi sa vie, à force d’ambition et de sacrifices, la brune Chiara a raté la sienne et le reconnaît sans regrets. La cinquantaine bien sonnée, Anabel entretient son corps avec application, s’habille avec élégance. Les cheveux gras, la clope au bec, la flasque d’alcool à portée de main, Chiara a renoncé à entretenir le sien qui se venge. Tout les sépare sauf ce lien de filiation que la mère a nié trente ans plus tôt par un geste dont on attend qu’elle nous révèle la cause.
Le film est construit sur un suspens. Que veut Chiara ? A-t-elle attiré Anabel dans cette ferme pour se venger d’elle, pour lui faire payer (par la torture ? par le meurtre ? par l’obtention d’un impossible pardon ?) le prix de l’impardonnable abandon qui l’a privé de sa mère sans explication alors qu’elle avait huit ans à peine ?
Le film est long. Trop long. Près de deux heures. Il est peuplé de silences, entrecoupé d’ellipses. Le réalisateur Ramon Salazar a pris le parti radical de l’hyper-stylisation. Il a donné à son héroïne la froideur glaciale des grandes héroïnes hitchcockiennes. Sa façon de filmer les Pyrénées l’hiver flirte avec le fantastique. La dernière scène du film, d’une logique implacable, qu’on a hélas sentie venir un peu trop tôt pour en être surpris, ne s’oublie pas facilement.
Pour moi, ce film est un chef d'œuvre à tous les niveaux, certes il y a quelques longueurs, le jeu d'acteur est fabuleux, le poids et l'ambiance permanente du film donnent une vraie consistance à l'histoire
Ce film m’a beaucoup ému ,
Au début on essaie de comprendre la position et les réactions des deux personnages principaux .
Le déroulement de l’histoire nous fait apprendre à les connaître et nous fait rendre compte que les apparences sont trompeuses . Surtout on se demande où le réalisateur veut nous emmener .
La fin est juste un coup de poing dans la figure
Beaucoup beaucoup d’émotions
Au début on essaie de comprendre la position et les réactions des deux personnages principaux .
Le déroulement de l’histoire nous fait apprendre à les connaître et nous fait rendre compte que les apparences sont trompeuses . Surtout on se demande où le réalisateur veut nous emmener .
La fin est juste un coup de poing dans la figure
Beaucoup beaucoup d’émotions
Ce film m'a totalement bouleversée comme aucun film ne l'avait jamais fait. Les actrices s sont extraordinaires. Et les silences merveilleux
J'ai beaucoup aimé la manière de traiter ce sujet. La photographie est superbe et participe grandement à l'ambiance de ce film. Peu de films ont la force de marquer la mémoire. Celui-ci, pour ma part, est de ceux là.
Très beau film tant par la qualité des acteurs que par les décors et cette façon exceptionnelle de l'image et du tournage de ce film ! une ambiance à la fois pesante , parfois dérangeante …..je ne m'occupe pas des critiques et je suis heureux d'avoir pu voir ce long métrage ...il est clair que nous ne sommes pas dans un film d'aventure ou autre , et qu'il peut y avoir des longueurs mais elles collent parfaitement dans le déroulement de l histoire . Ca fait patienter En attendant le prochain film de Pedro Almodovar .
FaRem
Des retrouvailles étalées sur 10 jours entre une mère et sa fille qu'elle avait abandonnée alors qu'elle n'était qu'une enfant. C'est Chiara qui a fait le premier pas, elle souhaitait passer du temps avec sa mère et pour cela, elle a refusé une contrepartie financière pour faire comme si de rien n'était... Ce n'est pas le meilleur point de départ pour renouer des liens. Ce n'est donc pas étonnant de faire face à une histoire très froide qui ne dégage presque aucune émotion avec la mère indigne et la fille aigrie. Après Ramón Salazar ne joue jamais la carte de l'émotion ou de la sensibilité, il privilégie autre chose comme l'ambiance qui est très spéciale en étant à la fois envoûtante, hypnotique voire même limite onirique par moment. La photographie est aussi très jolie et ne fait que sublimer cette histoire très conventionnelle. Cette dernière ne surprend jamais même lors de la dernière partie, mais elle fonctionne bien grâce à la solide performance de Bárbara Lennie et Susi Sánchez. J'aurais aimé plus de scènes comme la dernière qui est magnifique et touchante, mais malgré tout, c'est un joli petit film qui doit beaucoup à ces deux superbes actrices.
Film à 2 centimes avec des plans qui durent des heures pour raconter une histoire qui ne tient pas la route avec une fin tellement minable.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse