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    Sollers Point - Baltimore
    Note moyenne
    3,3
    15 titres de presse
    • L'Humanité
    • La Septième Obsession
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Positif
    • Télérama
    • Voici
    • Critikat.com
    • L'Obs
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • Le Journal du Dimanche
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    15 critiques presse

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Une chronique d’un désastre annoncé, mais en même temps une œuvre picaresque truffée de rebondissements et de figures criantes de vérité. Chaque péripétie est nourrie de l’expérience personnelle de ce cinéaste — repéré depuis plusieurs années —, qui semble passer un cap avec cette œuvre aussi rocambolesque qu’intense.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    La Septième Obsession

    par Morgan Pokée

    C’est évidemment cette attention vigoureuse portée aux marginaux du rêve américain qui donne également à "Sollers Point - Baltimore" sa vigueur enragée, même si celle-ci ne cesse de se dissimuler sous une douce relation au monde.

    Les Inrockuptibles

    par Jacky Goldberg

    Car chez Porterfield, c’est lorsque rien ne se passe que tout advient. Ses récits troués, enroulés autour de drames connus à l’avance et subtilement striés d’enjeux politiques (tensions raciales, déclassement social) sont une matière mate, mais qu’il fait briller de mille feux par son attention aux détails, par son sens du cadre, de la lumière.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Julien Gester

    Autour de la réinsertion d’un jeune ex-taulard, Matthew Porterfield dresse à nouveau le portrait superbe et familier de la précarité d’une Amérique touchée par les ravages du racisme, de la drogue et de la désindustrialisation.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Positif

    par Yann Tobin

    [...] un équilibre remarquable entre l'écriture sèche, sans fioriture, la direction d'acteurs comportementaliste [...] et un style qui conjugue la simplicité pseudo-documentaire à la puissance expressive [...].

    Télérama

    par Pierre Murat

    Ces silhouettes, encore plus paumées que son héros, fascinent le cinéaste : c’est avec une affection de chaque instant qu’il observe cette droguée au bout du rouleau, effrayée par son mac, ou ce moustachu bizarre qui, pour quelques dollars, propose des armes à tous ceux qui veulent se venger de leurs ennemis, réels ou imaginaires.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Voici

    par La Rédaction

    Qui a vu la géniale série The Wire a une idée de la violence de la réalité sociale à Baltimore. Dans un genre plus modeste, Matthew Portefield suit l'errance chaotique de Keith, 24 ans.

    Critikat.com

    par Damien Bonelli

    La nuance est ici de mise, loin de tout misérabilisme, avec un souci évident d’accorder à chaque personnage, même le plus secondaire, la place qui lui revient de droit dans ce tableau d’une communauté esseulée.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    L'Obs

    par Xavier Leherpeur

    Grâce à sa capacité à faire exister une belle galerie de personnages secondaires – le père, la petite amie, les potes encore plus paumés –, le cinéaste dénonce sans aucun manichéisme la marginalisation et le déterminisme social aux Etats-Unis.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    On se retrouve en effet face à un énième « portrait à fleur de peau », celui d’un jeune proscrit, aspirant à « un nouveau départ », mais vite « rattrapé par son passé ». (...) Pourtant, le film se révèle tout autre : Porterfield parvient à transcender un sujet rebattu en l’ouvrant à une géographie complexe, à la fois urbaine et affective, qui contourne les lieux communs et les passages obligés.

    Les Fiches du Cinéma

    par Simon Hoarau

    Cet étonnant portrait d’une jeunesse marginalisée assume le parti pris d’une sobriété tantôt honnête, tantôt exacerbée.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    aVoir-aLire.com

    par Julien Dugois

    Le film paraît faire du surplace, mais c’est son héros, et à travers lui toute la middle-class américaine, qui est coincé dans une forme de médiocrité. Un constat qui fait froid dans le dos.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Cahiers du Cinéma

    par Paola Raiman

    Là où I Used to Be Darker prenait le temps de faire advenir les émotions des personnages et des comédiens de manière presque mélodique, Sollers Point fait figure de bloc un peu monotone qui ne parvient pas à concilier son attrait pour la torpeur et une certaine envie d’impressionner.

    Le Journal du Dimanche

    par S.J.

    Quartier à l'abandon, chômage, violence, drogue : dans le récit naturaliste des sans-grade du rêve américain, on a récemment vu plus rythmé ou plus original (The Florida Project, The Rider).

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Première

    par Thierry Chèze

    Sans doute parce qu’au fil des minutes, défilent sous nos yeux tous les archétypes d’un certain type de cinéma indé américain qui empêchent ce Sollers Point-Baltimore de faire entendre sa petite musique singulière.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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