Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une chronique d’un désastre annoncé, mais en même temps une œuvre picaresque truffée de rebondissements et de figures criantes de vérité. Chaque péripétie est nourrie de l’expérience personnelle de ce cinéaste — repéré depuis plusieurs années —, qui semble passer un cap avec cette œuvre aussi rocambolesque qu’intense.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
C’est évidemment cette attention vigoureuse portée aux marginaux du rêve américain qui donne également à "Sollers Point - Baltimore" sa vigueur enragée, même si celle-ci ne cesse de se dissimuler sous une douce relation au monde.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Car chez Porterfield, c’est lorsque rien ne se passe que tout advient. Ses récits troués, enroulés autour de drames connus à l’avance et subtilement striés d’enjeux politiques (tensions raciales, déclassement social) sont une matière mate, mais qu’il fait briller de mille feux par son attention aux détails, par son sens du cadre, de la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Autour de la réinsertion d’un jeune ex-taulard, Matthew Porterfield dresse à nouveau le portrait superbe et familier de la précarité d’une Amérique touchée par les ravages du racisme, de la drogue et de la désindustrialisation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
[...] un équilibre remarquable entre l'écriture sèche, sans fioriture, la direction d'acteurs comportementaliste [...] et un style qui conjugue la simplicité pseudo-documentaire à la puissance expressive [...].
Télérama
par Pierre Murat
Ces silhouettes, encore plus paumées que son héros, fascinent le cinéaste : c’est avec une affection de chaque instant qu’il observe cette droguée au bout du rouleau, effrayée par son mac, ou ce moustachu bizarre qui, pour quelques dollars, propose des armes à tous ceux qui veulent se venger de leurs ennemis, réels ou imaginaires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Qui a vu la géniale série The Wire a une idée de la violence de la réalité sociale à Baltimore. Dans un genre plus modeste, Matthew Portefield suit l'errance chaotique de Keith, 24 ans.
Critikat.com
par Damien Bonelli
La nuance est ici de mise, loin de tout misérabilisme, avec un souci évident d’accorder à chaque personnage, même le plus secondaire, la place qui lui revient de droit dans ce tableau d’une communauté esseulée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Grâce à sa capacité à faire exister une belle galerie de personnages secondaires – le père, la petite amie, les potes encore plus paumés –, le cinéaste dénonce sans aucun manichéisme la marginalisation et le déterminisme social aux Etats-Unis.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
On se retrouve en effet face à un énième « portrait à fleur de peau », celui d’un jeune proscrit, aspirant à « un nouveau départ », mais vite « rattrapé par son passé ». (...) Pourtant, le film se révèle tout autre : Porterfield parvient à transcender un sujet rebattu en l’ouvrant à une géographie complexe, à la fois urbaine et affective, qui contourne les lieux communs et les passages obligés.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Cet étonnant portrait d’une jeunesse marginalisée assume le parti pris d’une sobriété tantôt honnête, tantôt exacerbée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Le film paraît faire du surplace, mais c’est son héros, et à travers lui toute la middle-class américaine, qui est coincé dans une forme de médiocrité. Un constat qui fait froid dans le dos.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Là où I Used to Be Darker prenait le temps de faire advenir les émotions des personnages et des comédiens de manière presque mélodique, Sollers Point fait figure de bloc un peu monotone qui ne parvient pas à concilier son attrait pour la torpeur et une certaine envie d’impressionner.
Le Journal du Dimanche
par S.J.
Quartier à l'abandon, chômage, violence, drogue : dans le récit naturaliste des sans-grade du rêve américain, on a récemment vu plus rythmé ou plus original (The Florida Project, The Rider).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Sans doute parce qu’au fil des minutes, défilent sous nos yeux tous les archétypes d’un certain type de cinéma indé américain qui empêchent ce Sollers Point-Baltimore de faire entendre sa petite musique singulière.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Une chronique d’un désastre annoncé, mais en même temps une œuvre picaresque truffée de rebondissements et de figures criantes de vérité. Chaque péripétie est nourrie de l’expérience personnelle de ce cinéaste — repéré depuis plusieurs années —, qui semble passer un cap avec cette œuvre aussi rocambolesque qu’intense.
La Septième Obsession
C’est évidemment cette attention vigoureuse portée aux marginaux du rêve américain qui donne également à "Sollers Point - Baltimore" sa vigueur enragée, même si celle-ci ne cesse de se dissimuler sous une douce relation au monde.
Les Inrockuptibles
Car chez Porterfield, c’est lorsque rien ne se passe que tout advient. Ses récits troués, enroulés autour de drames connus à l’avance et subtilement striés d’enjeux politiques (tensions raciales, déclassement social) sont une matière mate, mais qu’il fait briller de mille feux par son attention aux détails, par son sens du cadre, de la lumière.
Libération
Autour de la réinsertion d’un jeune ex-taulard, Matthew Porterfield dresse à nouveau le portrait superbe et familier de la précarité d’une Amérique touchée par les ravages du racisme, de la drogue et de la désindustrialisation.
Positif
[...] un équilibre remarquable entre l'écriture sèche, sans fioriture, la direction d'acteurs comportementaliste [...] et un style qui conjugue la simplicité pseudo-documentaire à la puissance expressive [...].
Télérama
Ces silhouettes, encore plus paumées que son héros, fascinent le cinéaste : c’est avec une affection de chaque instant qu’il observe cette droguée au bout du rouleau, effrayée par son mac, ou ce moustachu bizarre qui, pour quelques dollars, propose des armes à tous ceux qui veulent se venger de leurs ennemis, réels ou imaginaires.
Voici
Qui a vu la géniale série The Wire a une idée de la violence de la réalité sociale à Baltimore. Dans un genre plus modeste, Matthew Portefield suit l'errance chaotique de Keith, 24 ans.
Critikat.com
La nuance est ici de mise, loin de tout misérabilisme, avec un souci évident d’accorder à chaque personnage, même le plus secondaire, la place qui lui revient de droit dans ce tableau d’une communauté esseulée.
L'Obs
Grâce à sa capacité à faire exister une belle galerie de personnages secondaires – le père, la petite amie, les potes encore plus paumés –, le cinéaste dénonce sans aucun manichéisme la marginalisation et le déterminisme social aux Etats-Unis.
Le Monde
On se retrouve en effet face à un énième « portrait à fleur de peau », celui d’un jeune proscrit, aspirant à « un nouveau départ », mais vite « rattrapé par son passé ». (...) Pourtant, le film se révèle tout autre : Porterfield parvient à transcender un sujet rebattu en l’ouvrant à une géographie complexe, à la fois urbaine et affective, qui contourne les lieux communs et les passages obligés.
Les Fiches du Cinéma
Cet étonnant portrait d’une jeunesse marginalisée assume le parti pris d’une sobriété tantôt honnête, tantôt exacerbée.
aVoir-aLire.com
Le film paraît faire du surplace, mais c’est son héros, et à travers lui toute la middle-class américaine, qui est coincé dans une forme de médiocrité. Un constat qui fait froid dans le dos.
Cahiers du Cinéma
Là où I Used to Be Darker prenait le temps de faire advenir les émotions des personnages et des comédiens de manière presque mélodique, Sollers Point fait figure de bloc un peu monotone qui ne parvient pas à concilier son attrait pour la torpeur et une certaine envie d’impressionner.
Le Journal du Dimanche
Quartier à l'abandon, chômage, violence, drogue : dans le récit naturaliste des sans-grade du rêve américain, on a récemment vu plus rythmé ou plus original (The Florida Project, The Rider).
Première
Sans doute parce qu’au fil des minutes, défilent sous nos yeux tous les archétypes d’un certain type de cinéma indé américain qui empêchent ce Sollers Point-Baltimore de faire entendre sa petite musique singulière.