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Un visiteur
1,5
Publiée le 17 décembre 2017
Moi qui m'attendais à une sorte de thriller psychologique, j'avoue avoir été déçue. Les principaux reproches que je ferais au film seraient : - Sa longueur : les événements ont tendance à réellement s'allonger de façon poussive sans que ça apporte grand-chose en terme d'atmosphère ou de suspense - Le dénouement qui ne m'a pas persuadée
Je trouve que cette fois ci, François Ozon s’est un peu trop fait plaisir, et a fait un film délirant et presque insensé et incohérent. Étude de la double personnalité par l’étude de jumeaux, semblable à Faux semblants Film pas très intéressant et poignant. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 2/5
Que dire de ce navet ?...voyeurisme, vulgarité, histoire sans queue (façon de parler) ni tête...l'acteur principal qui en fait 100 fois trop et qui n'est pas crédible. Impossible de ne pas voir claude françois tout au long du film. Seul point positif, la beauté de l'actrice mais dommage qu'elle se perde dans des films qui ne cherchent qu'à faire le buzz ou à faire délirer les faux intellectuels qui trouvent un sens à tout....!
Bon ! François Ozon ne failli pas à sa réputation !!! il rate effectivement un film sur 2 après le magistral Frantz cette livrée de l'amant double est décevante pour ne pas dire plus. Non pas que ses talents de réalisateurs soit remis en doute loin de là, la mise en scène est léchée (oui j'ose) l'image est belle et la direction d'acteurs plutôt bonne cependant la boulimie de pellicule de FO l'emmène irrémédiablement sur le chemin de la médiocrité en terme de dialogue et de scénario et ce qui pourrait laisser penser durant les premières minutes au déroulement d'un bon et beau film laisse place au fur et à mesure que le temps (interminable) passe à un bon gros navet sans aucun respect pour le spectateur car même si l'on devine assez vite que spoiler: c'est la belle Chloé qui à un problème et non pas les deux pseudo frères jumeaux ! en particulier lorsque Louis explique la rareté de son chat on comprends tout de suite que Chloé est victime du même syndrome ce qui lui provoque ces maux de ventre la moindre des chose aurait été à l'image du 6 ème sens qu'à la révélation finale les choses puissent s'expliquer naturellement ! hors ici rien ne se tient on navigue entre rêves et fantasmes et le ridicule cinématographique atteint son paroxysme lorsque spoiler: Cholé rends visite à la mère de Sabrina qui se révèle être en fait sa propre mère (et certainement la femme que l'on voit parler avec Paul près du Trocadero) scène qui ne fait que rajouter au ridicule du dernier tiers du film. En bref on attends la sortie du prochain qui selon les statistiques du réalisateurs devrait se situer dans la catégorie de ses film réussis.
Que dire ? L'actrice est très jolie, la musique aussi, l'image bien léchée, Jérémie Renier doublement mal rasé, l'ennui s'installe lentement, élégamment et on se souvient de Faux-Semblants, bref, j'ai somnolé agréablement....
Pourtant fidèle du cinéma de Ozon, ce dernier film est franchement raté et s'apparente plus à un objet nombriliste du réalisateur, catalogue de tous ces petits défauts ici amplifiés. L'esthétique bon marché, la complaisance pour ne pas dire redondance sur l'effet gémellité, s'ajoutent au scénario abscons et fumeux qui perd très vite le spectateur entre ennui et exaspération. Les deux acteurs ont pourtant très bons ( Jerémie Rennier dont la maturité physique ajoute au personnage et Marine Vatch, belle et lumineuse), mais là où Almodovar aurait certainement tiré un film plus sombre et dense, Ozon se contente d'un objet par trop artificiel. Dommage...
Un navet comme j'en ai rarement vu au cinéma. J'ignore comment F. Ozon a pu se saborder à ce point. Le scénario sur le thème racoleur des jumeaux est affligeant. La réalisation multiplie des symboles d'une lourdeur incommensurable. Les acteurs sont monocordes. Pas une scène ne peut en rattraper une. Passez votre chemin
Après le très beau "Frantz" dans un style plus classique, Ozon revient avec "L'amant double" a la veine de films plus ambigus oscillant entre réalité et fantasme comme le très troublant "Swimming pool". "L'amant double" est beaucoup moins percutant, beaucoup moins troublant, faute à un scénario pas toujours très maîtrisé, faute à une actrice, toujours jeune et jolie, mais peu subtile, faute à une succession de scènes érotiques sensées faire avancer le scénario plus que des vrais dialogues. Reste cependant certaines scènes troublantes et réussies et un Jérémie Renier, ambigu à souhait. Mais, en louchant sur Lynch ou Cronenberg, Ozon met la barre finalement un peu trop haute pour lui.
On peut faire mieux avec Alain Chabat et Josiane Balasko... Que de clichés !! Ce film est affligeant, entre médiocrité et fantasmes permanents. Aussi esthétisant que bêtifiant, cinéphiles, passez votre chemin. Une perte de temps.
"L'amant double" est à l'opposé de "Frantz" le précédent film de François Ozon. Un film tout sauf pudique et sobre qui est très sulfureux comme pouvait l'être "Jeune & jolie" sauf qu'il l'est non pas dans les propos, quoi que, mais plus dans les faits et dans la façon dont tout est montré. Ce thriller autant psychologique qu'érotique est à la fois troublant, complexe, intrigant et par moment anxiogène. Comme la plupart des gens, je pense, j'avais une idée en tête pendant tout le film sur le final qui s'est avérée fausse donc j'ai été agréablement surpris par la fin et par la façon dont toute l'histoire est menée avec une narration prenante et efficace. Beaucoup de fausses pistes et de rebondissements puis un aspect psychologique très bien travaillé à tel point que l'on ne sait jamais vraiment à quoi s'attendre. Pour parler du côté sulfureux du film et de cet érotisme assumé, je trouve que c'est une bonne chose lorsque cela sert l'histoire ce qui est le cas au début par contre vers le milieu du film cela devient totalement gratuit et vraiment facile avec des scènes répétitives et parfois gênantes notamment une en particulier. À part ce petit passage à vide, j'ai aimé ce film qui est intense, déroutant et captivant notamment la dernière partie qui fait regretter que tout le film ne soit pas au même niveau. Mention spéciale pour la mise en scène d'Ozon et la très bonne performance de Marine Vacth et Jérémie Renier.
Jamais déçu avec François Ozon qui revient, après le magnifique "Frantz" l'an dernier, avec un film mystérieux et sensuel, un univers qu'il a déjà maintes fois exploré. Il a fait mieux que cette histoire un peu trop alambiquée mais je me laisse toujours entraîner dans les méandres de ses scenarii. Bravo à Jérémie Rénier et à Marine Vacht pour leur interprétation fascinante et envoûtante !...
Nommé dans six catégories à Cannes, « L’Amant Double » est une claque cinématographique qui mérite sa place. Tout en finesse, François Ozon ose défier le thriller à la complexité psychologique. Premier élément marquant du métrage, l’atmosphère : Tantôt froid, tantôt épuré, le réalisateur laisse prioritairement la place à la complexité du thriller en lissant au maximum les constituantes de la mise en forme, à commencer par la casting. Jérémy Renier, sexuellement hypnotique, partage l’affiche aux côtés de l’élégante Marine Vatch, la dominante du métrage. S’en suit seulement trois personnages secondaires. C’est ensuite une purge du décor qui est entreprit. Le récit étant sur une réflexion profonde, François Ozon priorise les beaux parquets parisiens et les cabinets médicaux posant l’accent sur une volonté de confrontation entre ces grands espaces et un étouffement psychologique sans issue. Chloé, personnage narratif du film, nous fait partager dès les premières minutes son intimité la plus profonde aux côtés de son psychothérapeute. Les désirs malsains de la jeune femme ne sont qu’un subconscient subtilement traduit qui va disparaître au gré de la relation naissante entre ces deux personnages. Mais cet état d’esprit refaisant surface, Chloé entraîne le spectateur dans un tourbillon de tensions passives mais oppressantes. A l’image de « Neon Demon » ou de « Nocturnal Animals », ce thriller très esthétique s’inspire des plus grands drames hitchcockien. Entre glamour et érotisme, c’est au travers d’un duo, d’un trio ou d’un quatuor (chacun y tirera son interprétation) que la performance cinématographique nous pénètre. « L’Amant Double » est un brillant jeu de manipulation vertigineux. En plus d’une tension sexuelle, la pression psychologique fait de l’oeuvre une chute aussi violente pour le personnage que pour le spectateur. Envoûtant, magique, bandant, François Ozon se renouvelle magistralement. Bilan : L’Art de « L’Amant Double » est d’oublier qu’on le regarde. Bravo. Toute la critique et bien plus encore sur Cinephilion.net
Du grand grand mais très grand n'importe quoi !! Pas crédible pour un sou ! Des scènes dignes d'un film d'horreur de série Z qui n'ont rien à faire dans ce type de film. Un mélange des genres complètement raté !
François Ozon s'essaie à nouveau au thriller dans un style très américain des années 90, type "J.F partagerait appartement". Je n'ai jamais apprécié vraiment ce réalisateur que je trouve prétentieux et malhonnête. Pour ce film, l'idée de départ est sympa mais il tente un enrobage de l'intrigue par une mise en scène très appuyée du propos (doubles dans les miroirs, escaliers labyrinthiques etc) déjà vu mille fois. Malheureusement tout ça fait daté, et certaines scènes font sourire (certains riaient dans la salle...). Dommage pour les acteurs, surtout Jérémie Rénier, impeccable.