Mon compte
    L'Amant Double
    Note moyenne
    2,7
    2662 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Amant Double ?

    270 critiques spectateurs

    5
    22 critiques
    4
    55 critiques
    3
    62 critiques
    2
    59 critiques
    1
    33 critiques
    0
    39 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Jonathan M
    Jonathan M

    132 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 janvier 2018
    Assurément le seul cinéaste français, voir international, de sa génération, qui ose la remise en question de son cinéma à chaque film. La femme comme élément centrale du récit, mais dans des genres poussés à l'extrême. Après avoir fait preuve d'un classicisme un peu trop académique dans Frantz, François Ozon retourne dans le subversif. Et c'est délicieux. Le thriller est ce qu'il fait de mieux. Parce que le plaisir qu'il prend à faire du cinéma prend tout son sens ici. Le style Ozon c'est une réalisation épurée, moderne, stylisée; des décors sélectionnées avec minutie; des acteurs sublimés; un ton posé dans les dialogues avec l'ensemble des personnages ayant chacun d'eux leur propre caractère, décris comme des figures de roman. L'amant double, c'est aussi la force d'un scénario qui nous mène toujours là on ne l'attend pas, multi-référencé et en même temps unique. Ozon joue sur la fragilité des âmes et la beauté des corps. C'est un cinéaste sensuel, qui aime ses spectateurs et pose sa caméra de manière intrusive à travers les situations, histoire d'éveiller notre curiosité malsaine. C'est brillant. *TOP 4 FILM 2017*
    Spe64
    Spe64

    26 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2017
    Chloé a un mal au ventre chronique que les médecins ne peuvent résoudre, elle va commencer une thérapie auprès d'un psy, Paul Meyer, une relation amoureuse entre nos deux personnages principaux s'en suivra jusqu’à ce que Chloé se rende compte que Paul n'est pas si honnête que ça...
    Un puzzle psychologique à l'ambiance étrange, mystérieuse, par moment dérangeante, le film est prenant, porté par ses deux acteurs, aidés d'une esthétique agréable et léchée.
    Un film intriguant, réussi et surprenant.
    Alisson G
    Alisson G

    19 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2017
    Un thriller psychologique sombre et saisissant, un brin psychédélique. Les acteurs sont grandioses, tout comme les dialogues. Il y a peu de longueurs, malgré quelques scènes (érotiques) superflues. Une belle réussite !
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    54 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2017
    Vu le 20170601 et avis le 20170602

    Film assez bon qui laisse un peu sceptique toutefois

    Il ne faut pas vraiment chercher de crédibilité au film, à trop vouloir faire original, étrange, perturbant, ..., le film perd l'objectif de rester crédible et compréhensible voire même intéressant. Je pense que le film privilégie souvent l'ostentatoire au détriment du discret, délicat et fin.

    La même actrice qui joue le rôle de la mère de cholé et Mme Schenker, une autre qui joue une gynécologue et une psychiatre. Cela n'ajoute même pas du signifiant intéressant. On comprend bien dans quel rôle elles sont quand on les voit mais ça fait pompeux, gratuit et pueril comme procédé.

    On a souvent le souci de chose qui ne sont faites que pour ajouter de l'étrange, mais comme elles ne servent à rien au fond, elles nuisent au film en le rendant peu intéressant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 mai 2017
    Vomissant : on sort avec la nausée. C'est glauque au possible. Une histoire sans queue ni tête, des images pornographiques qui n'apportent rien au scénario, une réalisation absolument banale. Un film qui n'est ni esthétique ni audacieux ni intéressant. Personnellement aller voir des acteurs qui se font filmer en train de faire l'amour toutes les 10min, dans des délires complètement farfelus, ce n'est pas ce que j'appelle du grand cinéma. Ozon nous a habitués à mieux. Une vraie perte de temps, si ce n'est J.Renier qui sauve le film grâce à son double jeu tout à fait juste.
    Jrk N
    Jrk N

    39 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 octobre 2018
    Il n'y a pas grand chose à ajouter à l'évidence que L'Amant Double (2017) est une catastrophe dans la filmographie d'Ozon qui en compte déjà quelques unes parmi de bons films, voir d'excellents (Frantz, 2015). On voit immédiatement la panique dans les yeux des acteurs (la très belle Marine Vacht et le sous-estimé Jérémie Renier) qui se demandent ce qu'ils font dans cette galère.
    Car c'est une galère : Ozon insère des tranches de trash, gore et porno dans un sandwich indigeste qui pourrait être à la rigueur un film fantastique pas mal construit et mal mené sur le thème éculé du jumeau-double (thème bien mieux traité par exemple récemment par Villeneuve dans Enemy 2014). Et de cette insertion et du double, on ne voit pas la raison (comme par exemple dans La Double vie de Véronique 91), on n'a pas de plaisir à suivre l'intrigue fastidieuse (contrairement à Vertigo 58), on ne ressent jamais le frisson métaphysiques (comme dans Persona 66). Bref, c'est raté et ça dure 2 h !
    A la lecture du scénario, n'importe quel producteur aurait pu s'en douter. Plutôt que de laisser la bride sur le cou à Ozon, dont on sait qu'il ne maîtrise pas totalement les durées et les péripéties (même dans Frantz on aurait pu couper au moins 20 minutes), le producteur aurait dû faire retravailler, réécrire et réduire le scénario, pratique classique et bien rodée à Hollywood.
    On aurait pu penser par exemple qu'un bon script doctor aurait totalement réécrit le scénario et concentré l'intrigue en 1h20 en cherchant un dénouement du type Rosemary's Baby.
    Hélas, la structure de production française ne permet pas ce genre de chirurgie qui pourtant a fait ses preuves et laisse se fourvoyer de très bons réalisateurs.
    rogerwaters
    rogerwaters

    143 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2017
    François Ozon revient au polar et aux atmosphères troubles qui lui vont à ravir. Ici, le thème de la gémellité donne lieu à une œuvre tortueuse où l’on se demande sans cesse où nous emmène le cinéaste. On notera la prestation encore juste de Marine Vacth, mais aussi le formidable double rôle de Jérémie Renier qui parvient à nous tromper à de multiples reprises. On a vraiment le sentiment qu’il incarne deux personnages bien différents et c’est un challenge fort pour un acteur. La réalisation est classieuse, le suspense est véritable et le métrage s’autorise plusieurs dérapages horrifiques qui font vraiment frémir. Le résultat, s’il est un peu vain et tient davantage du jeu de piste, est plutôt enthousiasmant.
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juin 2017
    On sait que François OZON aime nous « balader » avec les images cad nous faire croire à ce qu’on voit à l’écran.
    Avec « L’amant double », il le fait de façon magistrale sur le thème de la gémellité et in fine la manière d’assurer et d’assumer sa personnalité après avoir vécu un traumatisme dans l’enfance (l’héroïne est une enfant non désirée) d’une part et la gestion de ses fantasmes d’autre part.
    Le jeu des acteurs (Marine Vacth et Jérémie Renier) est impeccable tout comme la photo et la lumière ainsi que les décors avec des jeux de miroir venant amplifier cette histoire de dédoublement des personnes / personnalités. Le montage rend ce thriller psychologique voire psycho-pathologique (hystérie voire schizophrénie … aspect renforcé par les œuvres présentées dans le musée où l’héroïne est gardienne avec un parallélisme avec notre propre situation de spectateur / voyeur) qui au début peut sembler tordu voire malsain … mais qui devient vite haletant et oppressant avec des petits clins d’œil à Hitchcock mais aussi à Polanski (« Rosemary’s baby ») et Kubrick (« Shining »), le tout avec une bande son tout à fait adéquate.
    On peut ne pas adhérer à l’histoire ou la touche érotique trop marquée voire perverse spoiler: (scènes d’un cunnilingus sanglant et d’une sodomie au gode-ceinture)
    mais là j’avoue avoir été « leurré » et scotché jusqu’à la fin de ce film y compris en termes de temps étant incapable de dire si cette histoire se déroule sur quelques semaines ou quelques mois ?
    Un film vraiment à voir … mais qui n’a rien de comparable à la « paisibilité » qui se dégageait de son dernier film, « Frantz ».
    Torrance1980
    Torrance1980

    19 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2017
    François Ozon, réalisateur à la carrière éclectique, passant du drame, au récit historique sans broncher avec notamment son dernier film en date « Frantz » mais également à l’aise pour tourner des films populaires comme « 8 femmes » ou « Potiche », le réalisateur français reste une énigme dans le paysage cinématographique français. Avec « L’amant double », Ozon revient au thriller sulfureux auquel il s’était déjà essayé avec « Dans la maison », où il réunit à l’écran celle qu’il avait révélé en 2013 avec son « Jeune et jolie », la troublante Marine Vacth et un habitué de ses films, le belge Jeremy Renier, l’amant double du titre.
    Chloé (Vacth) victime de maux de ventre plutôt acerbes va s’engager dans une thérapie avec Paul Meyer (Renier) avec qui, par des concours de circonstances, elle va s’installer après avoir mis fin à leur relation patient-psy pour les raisons déontologiques connues. Éprise de doutes par rapport à la sincérité de son compagnon et persuadée d’avoir aperçu un homme physiquement similaire à Paul alors que ce dernier nie en bloc, elle décide de mener sa propre enquête. Elle va alors aller à la rencontre de cet homme qu’elle avait prise pour Paul pour découvrir que c’est en réalité son frère jumeau, Louis, également psychothérapeute mais dont les méthodes de travail sont diamétralement opposées à celles de son frangin. Entre eux va très vite s’installer une relation perverse et nocive qui pourrait mettre en péril le couple de Chloé.
    A la lecture de ces lignes et en tant qu’amateur de cinéma, il est aisé d’identifier les différentes influences cinématographiques, allant du « Sisters » de Brian de Palma au « Faux-semblants » de Cronenberg tout en citant également Hitchcock et Argento, Ozon digère toutes ces influences et les dégurgite de manière saisissante en évitant la citation.
    « L’amant double » fait office de véritable ovni dans un cinéma français de plus en plus conformiste et édulcoré, proposant un contenu hybride, à la fois thriller fantastico-érotique, délire psychanalyste et drame psychologique, le film d’Ozon ne cesse de brouiller les barrières entre les genres.
    L’œuvre est, à cet égard, plus d’une fois déstabilisante de par son ambiance continuellement à la lisière du fantastique et du cauchemar éveillé offrant d’ailleurs quelques séquences glaçantes et oniriques que n’aurait renié David Lynch. La mise en scène est également mise à profit de ce sentiment d’étrangeté qui émane du long-métrage, avec l’utilisation d’effets très racoleurs comme le split screen où cette surreprésentation du double que s’amuse à distiller le réalisateur français à travers des jeux de miroir. Le film est très visuel, il s’en dégage une imagerie très forte et évocatrice (notons le tout premier plan qui est une entrée en matière plutôt drastique) donnant parfois l’impression de n’être rien de plus qu’un exercice de style ou une esbroufe. Mais inéluctablement, en posant un regard plus analytique, il devient incontestable que nous avons en face de nous un metteur en scène en pleine maîtrise de son art et que ce qui est montré à l’écran n’a de sens que si nous acceptons que rien n’est évident et que tout est manipulation. De manipulation, il en est d’ailleurs question durant toute la durée du film et c’est là que Ozon se place en digne disciple hitchcockien. Il s’amuse à brouiller les pistes et à jouer avec le spectateur, nous plaçant constamment dans une situation inconfortable où l'illusion des images et donc du cinéma prend le pas sur le récit.
    La psychanalyse, autre thème intrinsèque au long-métrage, qu’Ozon considère comme inhérent au cinéma, va s’exprimer à travers la sexualité comme une forme d’expurgatoire où le personnage de Chloé va s’adonner à des pratiques sexuelles pour se révéler à elle-même parfois pour le meilleur et souvent pour le pire.
    Les explorations, les désillusions et les fantasmes de la jeune femme sont mis à nu dépeignant sa psyché et sa personnalité à double tranchant. Un portrait de femme tortueux, auquel Ozon apporte toute la sensibilité et la subtilité nécessaire pour créer l’identification et nous perdre dans les méandres de son esprit nébuleux et par la même occasion dans ceux de l’intrigue.
    Il serait de mauvais goût de ne pas citer, enfin, les deux acteurs qui sont formidables, Vacth symbolisant l’innocence et la fragilité tout en imposant de par son regard un trouble à la fois affriolant et désorientant et puis Renier dans un double rôle à la fois prédateur et gendre un peu trop idéale qui séduit aussi bien qu’il effraye, à l’instar du film.
    Sam L.
    Sam L.

    19 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2017
    Jeu d'acteur subtil, une intrigue bien menée,
    Ambiance pesante, suspens omniprésent. Excellentes interprétations de Marine Vacth et Jérémie Renier.
    Du grand François Ozon ! A voir absolument.
    Capitaine WILLARD
    Capitaine WILLARD

    8 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 juin 2017
    Dans l'amant double, Ozon signe un thriller psychanalytique aux allures d'un Polanski, mais qui malheureusement sonne creux. Alors oui, la mise en scène du cinéaste est comme toujours très travaillée, très cohérente: l'utilisation des miroirs et des reflets pour exprimer le dédoublement, les décors parfois très organiques, presque vaginaux, et l'usage de couleurs froides pour créer une ambiance parfois clinique. Mais c'est bien trop lourd; le réalisateur laisse trop d'indices sur le dénouement. On anticipe ainsi la chute qui, de plus, rend peu crédible et peu cohérent l'ensemble de l'intrigue.
    Cinéphilion
    Cinéphilion

    59 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 août 2017
    Nommé dans six catégories à Cannes, « L’Amant Double » est une claque cinématographique qui mérite sa place. Tout en finesse, François Ozon ose défier le thriller à la complexité psychologique.
    Premier élément marquant du métrage, l’atmosphère : Tantôt froid, tantôt épuré, le réalisateur laisse prioritairement la place à la complexité du thriller en lissant au maximum les constituantes de la mise en forme, à commencer par la casting.
    Jérémy Renier, sexuellement hypnotique, partage l’affiche aux côtés de l’élégante Marine Vatch, la dominante du métrage. S’en suit seulement trois personnages secondaires.
    C’est ensuite une purge du décor qui est entreprit. Le récit étant sur une réflexion profonde, François Ozon priorise les beaux parquets parisiens et les cabinets médicaux posant l’accent sur une volonté de confrontation entre ces grands espaces et un étouffement psychologique sans issue.
    Chloé, personnage narratif du film, nous fait partager dès les premières minutes son intimité la plus profonde aux côtés de son psychothérapeute. Les désirs malsains de la jeune femme ne sont qu’un subconscient subtilement traduit qui va disparaître au gré de la relation naissante entre ces deux personnages. Mais cet état d’esprit refaisant surface, Chloé entraîne le spectateur dans un tourbillon de tensions passives mais oppressantes.
    A l’image de « Neon Demon » ou de « Nocturnal Animals », ce thriller très esthétique s’inspire des plus grands drames hitchcockien. Entre glamour et érotisme, c’est au travers d’un duo, d’un trio ou d’un quatuor (chacun y tirera son interprétation) que la performance cinématographique nous pénètre.
    « L’Amant Double » est un brillant jeu de manipulation vertigineux. En plus d’une tension sexuelle, la pression psychologique fait de l’oeuvre une chute aussi violente pour le personnage que pour le spectateur. Envoûtant, magique, bandant, François Ozon se renouvelle magistralement.
    Bilan : L’Art de « L’Amant Double » est d’oublier qu’on le regarde. Bravo.
    Toute la critique et bien plus encore sur Cinephilion.net
    fcaponord
    fcaponord

    11 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juin 2017
    la thématique de la gémellité sur fond d'un scénario où les eaux troubles mêlés à la relation passionnelle et compulsive justifient une adhésion addictive d'une histoire à suspens qui laisse libre cours à l'interprétation libre....
    BlakeJesse L
    BlakeJesse L

    29 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2017
    Honnêtement, j'ai adoré. Je conseil fortement. Ont es pris dans le film des le debut.
    Les acteurs portent le film. Du début à la fin. Jusqu'au dernier moment ont s'attache à l'intrigue.
    thucy
    thucy

    4 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juin 2017
    Ohlala, la déception ! Mais comment François Ozon, généralement bien inspiré, a-t-il pu réaliser un film aussi mauvais ? Je ne m'explique pas qu'il ait pu être sélectionné en compétition à Cannes. C'est un faux thriller érotico-psychologique très alambiqué. Clairement, Ozon fait des références à Hitchcock (l'escalier en colimaçon faisant penser au phare de "Vertigo") et surtout à David Lynch et son Mulholland drive (il me semble même avoir entendu un court extrait du thème musical de Mulholland drive dans le film) sur les traces duquel il s'aventure clairement, en mélangeant rêve et réalité. Toutefois n'est pas Hitchcock ou Lynch qui veut, et Ozon se perd et nous perd en chemin dans une intrigue sans queue ni tête, parsemée de scènes de sexe totalement gratuites et qui parfois sont totalement grotesques et glauques. Les thrillers psychanalytiques et labyrinthiques façon Hitchock et Lynch, sont certes parsemés de références érotiques sulfureuses (suggérées chez Hitchcock) mais avec finesse et élégance, et en lien étroit avec l'intrigue. Le dénouement du film de François Ozon est totalement bancale et on se dit que la montagne a accouché d'une souris : tout ce fatras freudien de supermarché pour en arriver là ? Bof bof... ennuyeux à mourir, j'ai failli en partir avant la fin, ce qui ne m'arrive jamais. Un Muholland Drive au rabais, inutile et prétentieux.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top