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Pascal S
3 abonnés
25 critiques
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4,0
Publiée le 15 mai 2021
Intrigue parfaite ,très bons acteurs ,un film agréable malgré qu'il soit tourné dans un cadre unique . Beaux jeux de rôles de la part de l'ensemble de la distribution . Enfin un bon petit film .
" La femme à la fenêtre" promis à une sortie en salle finalement diffusé sur Netflix est un thriller qui se regarde . En effet le scénario n'a rien d'exceptionnel ni original et certains personnages et événements de l'histoire sont peu exploitées c'est dommage, cependant le casting 5 étoiles ( Amy Adams, Julianne Moore, Jennifer Jason Leigh et Gary Oldman ) ainsi que l'ambiance hitchcockienne vaut le détour, c'est tout de même une certaine déception qui l'emporte.
Huit clos qui commence en mode fenêtre sur cour 2.0 et qui dérive sur un thriller psychologique ; jusque-là pas mal, super bien filmé et bons acteurs. Mais ça part rapidement en film plus terrifiant sur fond de bande son totalement nul. Le film est peu cohérent et aurait mérité d'être plus profond.
Ce film est sans rythme et est plus un film psycotique que policier. le huit clos est la prison du scénario et un ''retournement de situation'' non attendue mais ne servant à RIEN car aucune piste pour résoudre l'enquête comme dans un vrais film à la ''A couteaux tirés'' ou "le crime était presque parfait".
Nous nous retrouvons devant un huit clos foireux, "La femme à la fenêtre" est littéralement une défenestration ! à passer !
certes pas le film du siècle mais qui a le mérite de réussir à maintenir un certain niveau de suspense quant à la santé mentale de l'héroÏne et malgré tout quelques surprises vers la fin le spectateur passe par pas mal de questionnements ce qui est pas mal du tout vu sur netflix j'ai fait le choix de le regarder car assez court et sujet qui me convenait
Un bon thriller porté par Amy Adams, psychologie agoraphobe qui assiste à un meurtre, le tout dans un huis clôt sombre. Amy Adams est inspirée et excellente comme à son habitude. A noter aussi les prestations de Julian Moore et Gary Oldman, acteurs qui n'apparaissent que dans des seconds rôles, c'est un peu dommage. Wyatt Russel est assez convaincant en psychopathe. Il y a bien sur des empreints à d'autres films (Fenêtre sur cour), mais est-ce bien grave ? Un bon divertissement, ce n'est pas Hitchock, mais c'est tout de même pas mal.
Bien décevant ! Très théâtralisé (trop), scènes expédiées, l'impression que les différentes plans séquence ne sont pas dans le même film, scénario des plus classiques. Exceptée Amy Adams pour son jeu, le reste n'est qu'ennui. 1.5/5 ! A éviter !!!
Moi qui pensais que ce film allait être un film d’horreur !
Aujourd’hui on s’attaque à:" La Femme a la fenêtre", ou plutôt le titre Original que je trouve glace:" The Woman of the Window".
C’est un film qui est un peu comme un film d’horreur d’un certain point de vue mais si on non, c’est pas vraiment un film d’horreur. Même si il fait peur et on peut se ronger les ongles. J’avais beaucoup d’attentes et je suis pas déçu. Je trouve ça dommage qu’il n’a pas été apprécié par la critique avec un note de 5/10. Le pire défaut du film, c’est le début ou je me suis vraiment ennuyé et j’accroché pas du tout. Mais après 20 minutes environs, c’est devenu génial et je restais abasourdi sur ce film. (Critique pas fini)
Et bien il faut dire qu’il revient de loin ce film à la distribution et l’histoire alléchante. Tourné en 2018, il porte tous les stigmates du projet maudit : rachat de la Fox par Disney qui reporte sa sortie, projections tests catastrophiques qui obligent à retourner des scènes, producteurs dans la tourmente pour scandale sexuel, crise sanitaire qui reporte encore la sortie et finalement rachat par Netflix. La plate-forme a d’ailleurs célébré le huis-clos dans sa programmation de nouveautés de la semaine après l’excellent « Oxygène ». Dans tous les cas « La femme à la fenêtre » ne ressort pas grandi de sa difficile gestation et s’avère être un thriller plutôt raté dans les grandes lignes et surtout terriblement décevant et frustrant. Hommage raté et évident à tout un pan de la filmographie hitchcockienne, « Fenêtre sur cour » en premier lieu évidemment, ce suspense ne fait que valider la grandeur passée des films du maître tant il ne lui arrive pas à la cheville. On pense aussi beaucoup au très bon « Copycat » avec Sigourney Weaver au pitch très similaire mais à l’exécution bien plus prenante et stimulante. Pourtant, toutes les étoiles étaient alignées pour un bon petit thriller domestique dans la même lignée que « La fille du train » ou surtout de l’immense « Gone Girl ». Mais on en est loin, très loin. On ne saura jamais si le montage original faisait plus honneur ou pas mais celui qu’on nous propose pêche par bien trop de défauts et pas assez de qualités pour convaincre pleinement. Cela reste regardable mais vraiment pas exceptionnel.
D’abord la mise en bouche est fastidieuse, tentant de nous plonger dans l’espace clos de cet immense appartement new-yorkais. La présentation des personnages et des enjeux est plutôt maladroite. Les scènes s’enchaînent parfois lentement, parfois trop vite, donnant une drôle de cadence à « La femme à la fenêtre ». Ensuite, le casting quatre étoiles est tellement sous-employé que l’on se demande si tous les seconds rôles de luxe n’ont pas été gardés au montage pour dire de faire vendre sur l’affiche. La palme à Julianne Moore et Anthony Macky qui n’ont qu’une scène. Mais surtout à la pauvre Jennifer Jason Leigh (une seule phrase dans tout le film, un comble). Du jamais vu! Heureusement Amy Adams porte le film sur ses épaules, mais pour tous ces autres grands acteurs dont fait également partie Gary Oldman, on se demande bien ce qu’ils sont venus faire là et quelle était leur réelle place au sein de l’histoire. La mise en scène tente quelques idées originales mais saugrenues au regard du reste et le final tranche complétement. Visuellement composé de superbes plans, il est malheureusement au service d’un dénouement grandguignolesque et surtout grotesque et tiré par les cheveux. Certes, les rebondissements sont étonnants mais vraiment mal amenés et il manque de tension. On est donc devant un drôle d’objet malade dont on se demande s’il était maudit ou si c’est son parcours compliqué qui l’ont amené à un tel résultat. Un cas d’école curieux qu’on pourrait étudier dans une école de cinéma. Mais pour le thriller stressant et mystérieux, on repassera.
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Rien de pire que l'ambition d'un film qui place la barre trop haut, qui voit ses promesses exploser en plein vol, qui fait pschitt en guise de feu d'artifice. Et c'est le cas de cette " femme à la fenêtre", qui démarre pourtant bien, même si le thème de l'agoraphobie a souvent été traité. Et qui dit agoraphobie dit paranoïa. Et qui dit paranoïa dit perte de rationalité. Le voisinage de cette femme cloitrée chez elle, les bruits, son locataire, tout est anxiogène et laisse le spectateur supposer le pire. Hélas, comme souvent lorsqu'un scénario ne sait pas comment s'en sortir, on assiste à un dénouement grand-guignolesque bâclé et nos espoirs sont douchés avec l'impression de s'être fait avoir et d'avoir perdu son temps. Cela me rappelle ces bonnes vieilles rédactions où le professeur insistait sur le fait de soigner sa conclusion. Promesse non tenue.
Une variation affichée et plus poussée de Fenêtre sur cours d'Hitchcock mais pas que. Un récit qui prend une autre direction, une tournure surprenante, notamment en rapport avec le passé de son personnage central. Isolement, paranoïa, peur du monde extérieur, schizophrénie sont autant de thèmes évoqués, appuyés par un climat tendu. Un thriller inquiétant, théâtral par moments (dû au huit clos) et au dénouement tout de même alambiqué! A noter, un casting de renom.
Pendant l'essentiel du film, on craint que tout cela ne soit pas très inspiré. On a pourtant un super casting même si Julianne Moore et Gary Oldman n'y figurent pas très longtemps. Mais la fin confirme nos craintes et valide ainsi la médiocrité du scénario.
Le dénouement (et la principale interrogation) du filmspoiler: (a t'elle vraiment vu un meurtre ou est elle sujette à des hallucinations?) est assez rapidement éventé : quiconque a un minimum d'analyse et d'expérience sur ce type de thriller ne se laisse pas avoir comme un bleu. Le film appuyant lourdement et très rapidement spoiler: sur l'alcoolisme, la dépendance aux médicaments et le trauma lié à la perte du mari et de la fille, on se doute bien qu'on penche plus sur une spoiler: manipulation qu'une hallucination . spoiler: Le mobile et le meurtrier sont eux bien évidemment un peu plus difficile à deviner , mais force est de reconnaitre que l'important n'était plus là. Mou et sans grand surprise au final, avec un scénario bancal. Reste une prestation solide d'Amy Adams