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3,5
Publiée le 2 avril 2020
Un film d’animation Japonais qui s’inspire d’un roman occidental peut-il avoir la magie du pays du soleil levant, MARY ET LA FLEUR DE LA SORCIERE se lance dans ce défi. Et la réponse pour ma part est que l’on sent vraiment la différence avec les création 100% nippone sans pour autant que je remette en cause sa qualité supérieur. En effet, la première production des Studio Ponoc, fondé par d’anciens membres du Studio Ghibli, est inspirée du roman de la britannique Mary Stewart, The Little Broomstick, paru en 1971. Celle-ci a aussi participé à l’écriture du scénario. C’est la troisième réalisation de Hiromasa Yonebayashi habitué à l’adaptions de roman occidental à la sauces nipponnes. Après avoir été intervalliste à l’animation du classique PRINCESSE MONONOKE (1997), il a été créateur de l’animation pour les célèbres LE VOYAGE DE CHIHIRO (2001) & LE CHATEAU AMBULANT (2004). Dans MARY ET LA FLEUR DE LA SORCIERE, on va se retrouver dans le petit village de Manoir Rouge avec la jeune Mary. Celle-ci s’ennuie durant ses vacances chez sa tante, et décide de se balader dans les bois. Un jour, elle découvrira la fleur de la sorcière. Grâce à elle, Mary aura des pouvoirs magiques et fera sont rentré dans une fameuse école de magie. Et malgré cette école et donc la présence de nombreux élèves, la volonté de se ne pas se disperser est marquée par le masque mis sur le visage des autres élèves pour les dépersonnaliser. Comme vous vous en doutez, le côté occidental de MARY ET LA FLEUR DE LA SORCIERE ressort énormément. Voir un peu trop car je m’attendais vraiment à être plongé dans la magie japonaise. On sent la différence de réaction et comportement entre les personnages de ce film et d’autre d’animation nippone. Cela ne l’empêche pas d’être vraiment magnifique visuellement parlant. On est plongé dans un univers magique extraordinaire digne d’un Harry Potter. Après, il reste assez enfantin. On sent qu’il est vraiment tourné pour un jeu public. Mais comment, même adulte, ne pas se laissé émerveiller. Le final est aussi très bien réussit avec une vraie apothéose. Pour une première, c’est donc une réussie pour les Studio Ponoc
Une gamine trouve une fleur qui lui permet de manipuler la magie le temps d'une nuit. Elle découvre une université magique et se heurte à deux savants fous. La délicatesse anglaise est transposée ici en une naïveté japonaise d'une fraîcheur exquise. Si l'histoire est simple, elle est adorable, et les magnifiques dessins contribuent à cette féérie. L'inspiration provient formellement de Myiazaki et c'est tant mieux. A consommer sans modération.
Doté d'une animation bien réussi, ce long-métrage de Hiromasa Yonebayashi mérite clairement d'être visionner par les amateurs du genre d'autant que l'histoire est très agréable à suivre et que les personnages sont particulièrement attachants.
Encore une fois, Hiromasa Yonebayashi a réussi à nous remettre en question en tant que humain. Après Arietty que j'ai mis longtemps à comprendre l'histoire véritable, c'est dans ce même mouvement que l'auteur illustre cette rencontre man vs wild. Il est vrai que le comprendre du premier coup d'œil n'est pas évident d'autant que le rythme du film est assez rapide entre la présentation de la magie et la décision ultime de Mary mais l'interprétation est spectaculaire, moderne et très réaliste. Le message est clair : arrêtons de jouer les apprentis sorciers, les savants-fou avec la nature : il ne nous appartient pas, à nous, humains, de la manipuler à notre guise. On veut parfois faire de notre mieux, mais le mieux est encore de laisser la nature vivre sa vie. L'allégorie de la magie est la même. Les merveilles d' au-delà notre monde n'est pas à abuser également. Seules l'innocence incarnée par la jeunesse et la sagesse incarnée par la vieillesse sont capable de comprendre la coexistence de la nature et de l'homme.
Avant de comprendre cet aspect de l'histoire, Arrietty était pas très plaisant à regarder. Ici, la magie rend la lecture plus candide, plus sympathique. Le message est d'autant plus fort puisque l'humain se mêle à une force encore plus inconnue que la nature et et s'amuse avec encore et encore malgré les sacrifices et les dégâts causés.
Il y a effectivement énormément de clins d'œil apparemment non voulus pour certains de Chihiro, château ambulant, château dans le ciel, ponyo, arrietty, princesse mononoke et bien sûr Kiki. Cest très beau à regarder. Il est difficile de croire que ce studio ait eu du mal à rassembler les ressources nécessaires tellement que le résultat final est agréable à regarder.
Une animation japonaise au passé simple, composée d'une fleur bleue magique enchantée le coup de balais qui mène en direction de l'école des sorciers antérieurs, le renommé institution Endor. L'instant présent ouvre les portes du Manoir Rouge vif enchanteur, l'intrigue éclore de ses pétales des méchants pour mettre des bâtons dans les roues de la fiction.
C'est l'histoire complète de ce dessin animé enfantin et bizarre, surtout en avançant vers son univers, le marché plonge dans la sorcellerie. Le seul maître renard robin des bois à bord de ce navire élevé au ciel, est un enchantement machinal, le capitaine nous doit bien ça pour tenir la compagnie distraction de Mary, c'est une plus jolie critique de lisibilité.
Je n'ai pas vraiment été emporté comme je le souhaite à chaque fois que je vois ce type de film. On peut presque parler de plagiat tant on ressent que le studio a voulu faire du "miazaki" mais sans réellement la magie , l'émotion , des personnages attachants , une sincérité que l'on ne retrouve pas vraiment même le scénario est dépourvu d'intérêt plutôt banal linéaire sans vrai surprise et rebondissement.... l'animation est bonne évidement mais cela ne suffit pas. On peut même dire au final qu'il est banal.
Harry Potter au Japon. Mary est une gamine de onze ans. Un jour elle trouve une fleur rare qui lui donne le pouvoir d’accéder à un monde parallèle. Dans celui-ci, elle va intégrer une école de sorciers. Mais très vite, elle va découvrir que cette école a un terrible secret et de noirs desseins. Bon, le pitch ne brille pas par son originalité. Et d’ailleurs le reste non plus. Tout ça est loin d’être désagréable mais ça ronronne. Visuellement, le contrat est rempli. C’est plutôt joli sans atteindre la finesse du dessin ou de la mise en scène des grands maîtres. L’histoire se suit sans déplaisir mais rappelle constamment autre chose comme si le film était une compilation d’emprunts. Alors voilà, c’est pas mauvais mais ça casse pas trois pattes à un canard magique.
Je n’ai pas grand chose à en dire c’est formellement réussie mais ça ne m’a pas touché. Le monde dépeint est assez merveilleux mais m’a rappelé trop de choses pour vraiment m’emballer.
Ce dessin animé japonais, même s'il souffre de la comparaison avec les productions Ghibli, est tout de même divertissant. L'histoire tout d'abord, qui conte le récit d'une jeune fille rousse manquant de confiance en elle, est très bien troussée avec cette pré adolescente en quête d'un sens à sa vie qui va peu à peu s'émanciper au contact d'une fleur aux propriétés magiques. D'autre part, le monde des sorcières est vraiment féerique, tout comme les scènes de Mary sur son balai sont prenantes ! On regrettera toutefois le manque de caractérisation approfondi des personnages et certaines ressemblances avec l'univers de Miyazaki dont l'influence semble être difficilement évitable pour tout japonais se lançant dans l'animé !
Mignon et esthétiquement très réussi, le nouveau bébé de Hiromasa Yonebayashi fleure bon malgré tout le déjà vu. En effet, le réalisateur connaît et récite son "Miyazaki" sur le bout des doigts mais n'y ajoute jamais aucune touche personnelle ni pire encore... aucune once de poésie ! Une belle coquille vide, en somme...
Dès lors que j'ai vu la Bande annonce de Mary j'ai eu l'impression qu'il s'agissait plus d'un mix de toutes les idées de Miyazaki, que d'un véritable nouveau film. Je m'étais préparé psychologiquement mais je suis extrêmement déçu.
Les points positifs sont vraiment les dessins ainsi que les musiques car tout n'est pas mauvais. Les dessins et l'animation, ben c'est juste excellent, comme par exemple spoiler: la scène avec les animaux qui enfoncent la porte ou les paysages qui sont sublimes. Les musiques également, surtout Night Flight de Takastsugu que j'apprécie particulièrement. Le problème se sont les points négatifs, il y en a plein selon moi. Le plus gros est vraiment le scénario, il y a énormément d'incohérences et il ne me semble pas complet. spoiler: Pourquoi le docteur et la dame veulent faire une expérience pour modifier Peter ? Pourquoi Mary n'achève pas le docteur et la dame? puisque la fleur refleurit tout les 500 ans il me semble ils peuvent bien attendre et refaire des expériences par la suite. Comment Mary fait pour escalader l'arbre à la fin en seulement quelques secondes ?
Bref je pourrai continuer encore longtemps et après c'est moi mais j'ai vraiment beaucoup de mal à accrocher avec l'univers spoiler: mi-technologique mi-magie je ne trouve pas que ça se mélange bien. Pour finir les charas designs et les personnages. Les personnages me paraissent très peu charismatique surtout Peter que je n'aime vraiment pas, et du coup spoiler: lorsqu'il se sacrifie pour se faire kidnapper je me suis plus dit:"ba ten pi cé pa tré grav".
Voilà ce film m'a déçu d'autant plus que j'avais adoré Arrietty et Marnie donc ça me rends triste de voir que son nouveau film a un scénario baclé et si ceci est la relève du studio Ghibli on en est loin selon moi...Je ne conseil vraiment pas de voir ce film.
Un joli conte avec une héroïne attachante dans de somptueux décors. L'histoire est peut-être un peu simpliste, mais la beauté de la nature et la fluidité de l'animation suffisent à nous emporter dans ce monde magique.
Un très beau film d'animation mais une histoire simpliste et finalement peu entrainante. Il lui aurait fallu des personnages plus travaillés et aussi plus de profondeur pour apporter un peu plus au genre . Un peu deçevant par rapport à ces autres films.