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Anonyme M
62 abonnés
1 657 critiques
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2,0
Publiée le 23 décembre 2020
des animation de qualité et des dessins de qualité. le scénario quand a lui, peine a convaincre. le coup de la fleur bleu qui donne des pouvoirs de sorcière est pas crédible ont sent une tentative de dire: tout le monde peux devenir sorcière sauf Que c'est faut. la grand mère qui en était une mais pas elle Pourquoi ??? elle aurait du en hériter au moins un peu. la gentille directrice qui devient méchante a cause de cette puissante fleur bleu, ce n'est pas crédible. une gentille directrice n'aurait jamais succombé a la tentation.
film sympa pour les enfants mais très loin.de la poésie et de la magie de Miyazaki malheureusement ... les personnages n'ont aucun Charmes, l'histoire est nul et on retrouve trop d'inspirations connues ... a par les dessins magnifiques le film n'a pas grand intérêt
Un film d’animation Japonais qui s’inspire d’un roman occidental peut-il avoir la magie du pays du soleil levant, MARY ET LA FLEUR DE LA SORCIERE se lance dans ce défi. Et la réponse pour ma part est que l’on sent vraiment la différence avec les création 100% nippone sans pour autant que je remette en cause sa qualité supérieur. En effet, la première production des Studio Ponoc, fondé par d’anciens membres du Studio Ghibli, est inspirée du roman de la britannique Mary Stewart, The Little Broomstick, paru en 1971. Celle-ci a aussi participé à l’écriture du scénario. C’est la troisième réalisation de Hiromasa Yonebayashi habitué à l’adaptions de roman occidental à la sauces nipponnes. Après avoir été intervalliste à l’animation du classique PRINCESSE MONONOKE (1997), il a été créateur de l’animation pour les célèbres LE VOYAGE DE CHIHIRO (2001) & LE CHATEAU AMBULANT (2004). Dans MARY ET LA FLEUR DE LA SORCIERE, on va se retrouver dans le petit village de Manoir Rouge avec la jeune Mary. Celle-ci s’ennuie durant ses vacances chez sa tante, et décide de se balader dans les bois. Un jour, elle découvrira la fleur de la sorcière. Grâce à elle, Mary aura des pouvoirs magiques et fera sont rentré dans une fameuse école de magie. Et malgré cette école et donc la présence de nombreux élèves, la volonté de se ne pas se disperser est marquée par le masque mis sur le visage des autres élèves pour les dépersonnaliser. Comme vous vous en doutez, le côté occidental de MARY ET LA FLEUR DE LA SORCIERE ressort énormément. Voir un peu trop car je m’attendais vraiment à être plongé dans la magie japonaise. On sent la différence de réaction et comportement entre les personnages de ce film et d’autre d’animation nippone. Cela ne l’empêche pas d’être vraiment magnifique visuellement parlant. On est plongé dans un univers magique extraordinaire digne d’un Harry Potter. Après, il reste assez enfantin. On sent qu’il est vraiment tourné pour un jeu public. Mais comment, même adulte, ne pas se laissé émerveiller. Le final est aussi très bien réussit avec une vraie apothéose. Pour une première, c’est donc une réussie pour les Studio Ponoc
Sans être exceptionnel, Mary et la fleur de la sorcière est un très bon divertissement qui saura enchanter un public familial. On a hâte de découvrir les prochaines productions du Studio Ponoc, en espérant qu'elles retrouvent un peu de la poésie propre à l'animation japonaise tout en se démarquant de son grand maître Miyazaki.
Enchanté par ce dessin animé de 2017 dans la lignée du Studio Ghibli, premier film des studio Ponoc très coloré et dont l'histoire est superbe. Les personnages sont européens car c'est une adaptation du roman The Little Broomstick (le petit balai) de 1971 de la britannique Mary Stewart (1916-2014). Il est question d'une école de magie aussi l'on pense à Harry Potter mais rien à voir dans le déroulé et le principe et même c'est plutôt l'inverse. spoiler: Au final Mary la jeune fille se débarrasse de la magie, hormis son petit balai, car elle n'apporte rien sinon de mauvaises intentions . Une merveille pour enfants à découvrir. Beaucoup de joie et autres sentiments positifs dans l'histoire et les personnages principaux.
MARY ET LA FLEUR DE LA SORCIERE (2018): Non, ce n'est pas une production GHIBLI, on pourrait s'y tromper, mais une production PONOC. D'anciens élèves animateurs des studio GHIBLI (fermé fin 2014) se sont regroupés pour la réalisation de ce film. Le savoir faire sera bien là, la patte d'Hayao Miyazaki et d'Isao Takahata (les formateurs) se fera ressentir à tous les niveaux. Mary, aura une personnalité qui ressemblera à Kiki la petite sorcière, une aventurière de 8/10 ans évoluant dans un univers à la Harry Potter. Encore une pépite de l'animation qui épatera par tous ses décors rayonnants de couleurs et de détails, mais aussi par un monde magique rempli de créativités. Un scénario bien dynamique aux personnages attachants, mais manquera peut-être d'un soupçon de charme et d'un zeste d'émotion, à mon avis dû à une bande-son acceptable mais pas très expressif. Bref! Ce film est très agréable et devrait plaire à toute la famille.
Mary et la fleur de la sorcière est l’adaptation du livre anglais The Little Broomstick de Mary Stewart paru en 1971. Elle a elle-même participé à l’écriture du scénario. Mary est une petite fille qui n’a pas vraiment confiance en elle et qui s’ennuie beaucoup à la campagne, va vivre des aventures extraordinaires. Le scénario aborde des thématiques universelles comme la différence et l’acceptation de soi. Ce qui n’est pas toujours simple quand on est une petite fille maladroite et à la couleur de cheveux atypique.
Inconsciemment le style est assez proche de leurs pères spirituels avec lesquels ils ont travaillé pendant de nombreux années. Pour autant la magie opère toujours. Il y a aussi ce chat, Tib, trop mignon qui a fait fondre mon cœur, mais ça c’est une autre histoire. Petit balais est un personnage à part entière qui lui sera d’une grande utilité.
Le mélange d’animation traditionnelle et de 3D est parfait. Jamais on n’est gêné par une quelconque différence. Les décors sont magnifique, c’est un régal pour les yeux. Certains artistes sont directement issus du Studio Ghibli qui avait arrêté ses activités sur des longs-métrages. Hiromasa Yonebayashi raconte qu’il a eu beaucoup de mal à monter ce projet. Le studio Ponoc est récent et n’avait pas fait ses preuves. Mais ils ont réussi à convaincre les financiers à travers le monde notamment aux US, mais aussi en Grande-Bretagne, à Taïwan ou encore en Corée du sud.
La partie musicale n’est pas en reste. Le compositeur Takatsugu Muramatsu a déjà travaillé sur Souvenirs de Marnie de Hiromasa Yonebayashi. Il offre une partition unique, vraiment belle et délicate. C’est Joshua Messick, le plus grand joueur de dulcimer (sorte de cithare à cordes frappées) au monde, qui rythme le film. Je vous conseille d’aller l’écouter sur sa page youtube. Le générique de fin, Rain, est interprété par le groupe Sekai No Owari. C’est une petite pépite, dont le refrain se retient instantanément. Le générique étant assez court n’hésitez pas à rester pour l’écouter et admirer les dessins plutôt que de partir. Prenez le temps de digérer le film en écoutant cette jolie ritournelle.
Mary et la fleur de la sorcière m’a beaucoup plu. Il est beau, vif et plein de vie. On suit sa petite héroïne pleine de vie jusqu’au bout du monde. N’hésitez pas à monter avec elle sur son balais pendant les vacances scolaires et même après !
Feu d’artifice inaugural pour les studios Ponoc, héritiers les plus directs de Ghibli puisque fondés par d’anciens animateurs et réalisateurs autrefois sous les ordres de Myazaki et Takahata, et qui semblent plus que jamais inspirés par la littérature britannique pour enfants du milieu du 20ème siècle. L’analogie la plus évidente à établir, avec ‘Kiki la petite sorcière’ ou même avec la saga Harry Potter en raison de la présence d’une école de magie, est sans objet puisque le roman de Mary Stewart dont il s’inspire, ‘The little broomstick’, a été écrit à la fin des années 60. En revanche, à tous les autres niveaux, on se retrouve très clairement en terrain familier : le mélange de Fantasy et de haute technologie, le vol (fut-il sur un balais), la possibilité d’habiter dans le ciel, la nature verdoyante et enchanteresse, curieux mélange de ruralité anglaise et d’éléments nippons, les animaux qui ressemblent à ceux de ‘Princesse Mononoke’, les créatures magiques qui semblent tirées de ‘Ponyo sur la falaise’ ou du ‘Voyage de Chihiro’, l’empowerment de la petite Mary, complexée par sa chevelure rousse et sa maladresse, qui finira par se muer en héroïne courageuse,...à ce stade, on n’est plus dans l’influence ou l’hommage mais dans le vol de données ! Les couleurs et la bande sonore participent à ce sentiment de familiarité et malgré une personnalité moins marquée et de moindres aptitudes à aller à l’essentiel que Miyazaki, Yonebayashi livre tout de même des visuels d’une grande beauté, qui fourmillent de détails et de nuances, à l’image du ‘Arriety et le petit monde des chapardeurs’ qu’il avait réalisé pour le compte de Ghibli. Quant à l’histoire de Mary et de cette fleur de sorcière, elle est plaisante, pleine de fantaisie et adaptée aux enfants dès 5 ou 6 ans...mais obéissant à la même élasticité narrative que les productions Ghibli, elle n’atteint pas encore cet incroyable degré de poésie qui faisait que Totoro ou Ponyo “racontaient� des sensations avant de raconter une histoire. En tout cas, techniquement, Ponoc semble déjà plus qu’au point : il ne lui reste qu’à développer sa propre personnalité, au lieu d’acharner à ressusciter un esprit trop indissociablement lié celui de ses deux fondateurs pour que cela puisse fonctionner correctement.
Un bon film d'animation japonais sur le thème de la magie et de la sorcellerie où l'on retrouve l'esprit du studio Ghibli. Malheureusement, ce film est un peu trop centré sur l’héroïne et les autres personnages sont quelque peu insipides (notamment Peter). Au final, il manque quelques ingrédients pour rendre ce film plus réussi.
L’histoire est superbe avec un scénario plein de rebondissements . Poétique, les dessins sont juste à couper le souffle avec des couleurs travaillée. Enfin les personnages principaux et secondaires sont attachant. Quand à gib et tib c’est mes chouchou. Courrez-y
On croirait presque que c'est du Gibli, j'ai bien aimé ! La bande annonce était un peu mitigée, mais en fin de compte c'est un beau film d'animation à l'ancienne : espiègle, poétique, non violent.
Un bon film qui conviendra aux petits comme aux grands. On s'attache rapidement aux personnages, et alors que parfois on s'attend à voir venir le scénario on est au final bien surpris. Les dessins sont en plus toujours très beau et la morale cachée est très bien amenée. Je suis allé le voir deux fois et cela ne m'a pas dérangé !
Une histoire vraiment sympathique, et toujours des dessins tels que seuls les japonais savent le faire. Ce n'est pas du Ghibli, mais c'est tout aussi remarquable. Pour petits et grands.
Mary et la fleur de la sorcière brille par son animation , son audio et son dessin remarquable. On sent la patte du réalisateur.
Le film possède une poésie qui lui est propre et une multitude de thématiques aussi pertinentes les une que les autres (le mal être du personnage, la double identité, une dimension écologique,...)
Mais pour moi ça ne suffit pas. L'écriture est forcée, ça ne marche pas. L'histoire n'avance uniquement qu'à grand coup de scénarium, les dialogues sont plats et omniprésent, on essaye de construire des relations intenses entre des personnages qui se connaissent a peine (Mary et Peter ne se connaissent que depuis un où deux jours, et ne partait pas du bon pied. Leur relation amicale me semble abusée) On a aussi l'impression que le film est un fourre tout, un ensemble de scène qu'il fallait placer car on avait envie de les mettre.
Enfin à titre personnel, Je n'accroche pas au personnage principal. sa manie de personnifier tout et n'importe quoi est horripilante. Le personnage se veut innocent mais agit comme une peste dans l'ensemble du film. Elle est un cliché entre la magical girl et la princesse disney
En clair Mary et la fleur de la sorcière c'est beau, mais ça veut tellement bien retranscrire la poésie d'un Ghibli tout en ayant sa propre identité que ça se perd.