Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) le charme de son héroïne est digne des meilleures enchanteresses miyazakiennes.
CNews
par La rédaction
Grâce à un mé- lange de technique traditionnelle à la main et d’images numériques, Yonebayashi réussit un récit initiatique joyeux à l’animation spectaculaire.
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Ce film modeste, allègre, profondément sympathique, énonce un « avant », un « après » et un « au-delà » Harry Potter : il traverse et transgresse les hiérarchies, passant des nuages aux herbes folles, dans les fourrés où jouent les gosses et où, justement, se fournissent sorciers et sorcières – entre plantes vénéneuses et guérisseuses.
Femme Actuelle
par La rédaction
Un joli conte initiatique enchanteur et poétique.
Le Figaro
par La rédaction
Yonebayashi n'a pas la poésie de son maître Miyazaki. Mais il a le goût de l'action et des personnages hauts en couleur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Deuxième film d’animation d’un ex-disciple du grand Hayao Miyazaki, ce long-métrage japonais est une réussite totale.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marius Chapuis
Le somptueux film d’animation de Hiromasa Yonebayashi renoue avec l’innocence et la joie des premières œuvres du studio de Miyazaki.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gaël Golhen
Émotion, pureté stylistique : le réalisateur du remarqué "Arrietty, le petit monde des chapardeurs", Hiromasa Yonebayashi, signe un film aux couleurs magnifiques et au trait simple qui rappelle souvent son maître, l'immense Miyazaki.
Télé 2 semaines
par Jérémy Mingot
Un joli conte pour les plus jeunes.
Critikat.com
par Axel Scoffier
Malgré tout son charme et sa fantaisie, son élan narratif plus marqué et sa représentation plus spectaculaire de l’action l’éloignent parfois de la qualité fondamentale de ses modèles : la poésie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Déséquilibré et ne sachant pas vraiment ce qu'il veut raconter, "Mary et la fleur de la sorcière" nous réserve cependant quelques très beaux moments et saura plaire au public le moins exigeant. Le fan averti s'énervera par contre de cet entêtement qu'a le réalisateur de vouloir copier son ancien Maître alors qu'il ne s'intéresse, au fond, pas du tout aux mêmes thématiques.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Des bémols qui n'entravent pas la beauté de "Mary et la fleur de la sorcière", auquel on prend plaisir, dans son esthétique fidèle à l'exigence de l’animation japonaise.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
IGN France
par Erwan Lafleuriel
Le premier film du Studio Ponoc est une belle démonstration technique mais l'histoire manque de magie, ironiquement.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Ecran Fantastique
par Véronique Trouillet
En dépit de ses quelques qualités, "Mary et la fleur de la sorcière" demeure un peu le Canada Dry d'un film Ghibly et aurait grandement besoin de se singulariser dans sa créativité.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Initiatique, féerique, caustique et mélancolique, son récit, bien qu'un peu prévisible, et sa mise en scène virtuose attestent néanmoins un indéniable talent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Techniquement virtuose, le film excelle dans des scènes de poursuite à travers une nature luxuriante ou des cieux à la nébulosité exacerbée, le tout animé avec une fluidité bluffante. Mais l’ensemble souffre d’un air de déjà-vu (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit foisonnant et dynamique, complexe et poétique, qui évoque la découverte de l’identité et la puissance de la nature.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Après une ouverture époustouflante d’allant romanesque et de dynamisme pictural (l’échappée d’une sorcière hors de l’enceinte d’Endor), la suite retombe sur un territoire plus balisé, coincé quelque part entre l’héritage du Studio Ghibli (...) et une destination plus ouvertement commerciale, (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Si la complexité du scénario - fondé sur des luttes entre forces du mal et du bien, pour simplifier - repose sur une surenchère spectaculaire facile, une certaine fantaisie subsiste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Bernard Génin
(...) c'est presque un "quiz Miyazaki" tant abondent les coïncidences avec son oeuvre, de "Kiki la petite sorcière" à "Ponyo sur la falaise", le tout mâtiné de clins d'oeil à "Harry Potter".
Première
par Christophe Narbonne
Le récit initiatique un peu prévisible (mais à l’enchantement communicatif) ne permet pas (encore) à Ponoc de se poser en alternative crédible à Ghibli où se prépare le prochain –et dernier ?- Miyazaki. On suivra néanmoins avec attention son évolution.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Personnages charmants ou pittoresques, nature luxuriante et enchantée, rien ne manque au tableau, sauf, peut-être, une touche d’originalité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Divertissant, fantastique et tendant vers une philosophie proche du darwinisme, ce premier long-métrage marque un début confortable pour le Studio Ponoc, bien qu’encore largement influencé par l’esprit du Studio Ghibli.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
(...) le charme de son héroïne est digne des meilleures enchanteresses miyazakiennes.
CNews
Grâce à un mé- lange de technique traditionnelle à la main et d’images numériques, Yonebayashi réussit un récit initiatique joyeux à l’animation spectaculaire.
Cahiers du Cinéma
Ce film modeste, allègre, profondément sympathique, énonce un « avant », un « après » et un « au-delà » Harry Potter : il traverse et transgresse les hiérarchies, passant des nuages aux herbes folles, dans les fourrés où jouent les gosses et où, justement, se fournissent sorciers et sorcières – entre plantes vénéneuses et guérisseuses.
Femme Actuelle
Un joli conte initiatique enchanteur et poétique.
Le Figaro
Yonebayashi n'a pas la poésie de son maître Miyazaki. Mais il a le goût de l'action et des personnages hauts en couleur.
Le Parisien
Deuxième film d’animation d’un ex-disciple du grand Hayao Miyazaki, ce long-métrage japonais est une réussite totale.
Libération
Le somptueux film d’animation de Hiromasa Yonebayashi renoue avec l’innocence et la joie des premières œuvres du studio de Miyazaki.
Ouest France
Émotion, pureté stylistique : le réalisateur du remarqué "Arrietty, le petit monde des chapardeurs", Hiromasa Yonebayashi, signe un film aux couleurs magnifiques et au trait simple qui rappelle souvent son maître, l'immense Miyazaki.
Télé 2 semaines
Un joli conte pour les plus jeunes.
Critikat.com
Malgré tout son charme et sa fantaisie, son élan narratif plus marqué et sa représentation plus spectaculaire de l’action l’éloignent parfois de la qualité fondamentale de ses modèles : la poésie.
Ecran Large
Déséquilibré et ne sachant pas vraiment ce qu'il veut raconter, "Mary et la fleur de la sorcière" nous réserve cependant quelques très beaux moments et saura plaire au public le moins exigeant. Le fan averti s'énervera par contre de cet entêtement qu'a le réalisateur de vouloir copier son ancien Maître alors qu'il ne s'intéresse, au fond, pas du tout aux mêmes thématiques.
Franceinfo Culture
Des bémols qui n'entravent pas la beauté de "Mary et la fleur de la sorcière", auquel on prend plaisir, dans son esthétique fidèle à l'exigence de l’animation japonaise.
IGN France
Le premier film du Studio Ponoc est une belle démonstration technique mais l'histoire manque de magie, ironiquement.
L'Ecran Fantastique
En dépit de ses quelques qualités, "Mary et la fleur de la sorcière" demeure un peu le Canada Dry d'un film Ghibly et aurait grandement besoin de se singulariser dans sa créativité.
L'Obs
Initiatique, féerique, caustique et mélancolique, son récit, bien qu'un peu prévisible, et sa mise en scène virtuose attestent néanmoins un indéniable talent.
La Croix
Techniquement virtuose, le film excelle dans des scènes de poursuite à travers une nature luxuriante ou des cieux à la nébulosité exacerbée, le tout animé avec une fluidité bluffante. Mais l’ensemble souffre d’un air de déjà-vu (...).
Le Journal du Dimanche
Un récit foisonnant et dynamique, complexe et poétique, qui évoque la découverte de l’identité et la puissance de la nature.
Le Monde
Après une ouverture époustouflante d’allant romanesque et de dynamisme pictural (l’échappée d’une sorcière hors de l’enceinte d’Endor), la suite retombe sur un territoire plus balisé, coincé quelque part entre l’héritage du Studio Ghibli (...) et une destination plus ouvertement commerciale, (...).
Les Inrockuptibles
Si la complexité du scénario - fondé sur des luttes entre forces du mal et du bien, pour simplifier - repose sur une surenchère spectaculaire facile, une certaine fantaisie subsiste.
Positif
(...) c'est presque un "quiz Miyazaki" tant abondent les coïncidences avec son oeuvre, de "Kiki la petite sorcière" à "Ponyo sur la falaise", le tout mâtiné de clins d'oeil à "Harry Potter".
Première
Le récit initiatique un peu prévisible (mais à l’enchantement communicatif) ne permet pas (encore) à Ponoc de se poser en alternative crédible à Ghibli où se prépare le prochain –et dernier ?- Miyazaki. On suivra néanmoins avec attention son évolution.
Télérama
Personnages charmants ou pittoresques, nature luxuriante et enchantée, rien ne manque au tableau, sauf, peut-être, une touche d’originalité.
aVoir-aLire.com
Divertissant, fantastique et tendant vers une philosophie proche du darwinisme, ce premier long-métrage marque un début confortable pour le Studio Ponoc, bien qu’encore largement influencé par l’esprit du Studio Ghibli.