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Sayônara raconte la fin d’un monde et le déclin d’une existence dans une esthétique solaire faite de teintes ocres et de la poésie contemplative empruntées au cinéma de Tarkovski. Car plus qu’à Fukushima, c’est à Tchernobyl que ce Japon contemporain fait écho.
La simple présence parlante à l’écran d’une véritable gynoïde suffirait à en captiver plus d’un-e, mais Fukada, loin d’en faire une facilité, déploie une myriade de problématiques dont cette figure est le centre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Avec une rare économie de moyens et de brillantes idées de mise en scène, Koji Fukada réussit un film unique en son genre comme si Ingmar Bergman s'était essayé à la SF apocalyptique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'action se transforme en contemplation immobile, en cérémonie crépusculaire, telle une agonie douce, presque sereine. Fukada filme le vent dans les graminées, la prairie, le ciel. Certaines images sont des hommages à "Mère et fils", d'Alexandre Sokourov. Et la fin, source d'espérance dans l'humanité, est sublime.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Visuellement magnifique (en particulier le dénouement), cette fable nihiliste et poétique tend vers l’abstraction. Mais l’ennui s’installe, la faute à un rythme languissant.
Un androïde handicapé ? C’est l’une des rares trouvailles de ce pensum, uchronie aux images sépulcrales qui nous achève à coups de longs dialogues explicatifs et vains, quand ils ne sont pas risibles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
Sayônara raconte la fin d’un monde et le déclin d’une existence dans une esthétique solaire faite de teintes ocres et de la poésie contemplative empruntées au cinéma de Tarkovski. Car plus qu’à Fukushima, c’est à Tchernobyl que ce Japon contemporain fait écho.
Cahiers du Cinéma
Ce que nous fait éprouver Fukada est un état rarement atteint dans le cinéma de science-fiction, celui d’un monde libéré de la présence humaine.
Critikat.com
La simple présence parlante à l’écran d’une véritable gynoïde suffirait à en captiver plus d’un-e, mais Fukada, loin d’en faire une facilité, déploie une myriade de problématiques dont cette figure est le centre.
Culturopoing.com
Filmant avec la même attention actrice et androïde, Kôji Fukada compose un Memento Mori aussi original que profond.
L'Humanité
Un grand film philosophique sur l’altérité.
La Septième Obsession
En adaptant la pièce d’Oriza Hirata, le cinéaste confronte l’actrice à l’androïde et imagine le monde d’après.
Paris Match
Avec une rare économie de moyens et de brillantes idées de mise en scène, Koji Fukada réussit un film unique en son genre comme si Ingmar Bergman s'était essayé à la SF apocalyptique.
Télérama
L'action se transforme en contemplation immobile, en cérémonie crépusculaire, telle une agonie douce, presque sereine. Fukada filme le vent dans les graminées, la prairie, le ciel. Certaines images sont des hommages à "Mère et fils", d'Alexandre Sokourov. Et la fin, source d'espérance dans l'humanité, est sublime.
Le Monde
Koji Fukada invente un film inclassable et poétique, dans un Japon rendu invivable par l’explosion de centrales nucléaires.
Libération
C’est le paradoxe de ce drôle de film que d’émouvoir en constatant le dessèchement de l’émotion.
Le Journal du Dimanche
Visuellement magnifique (en particulier le dénouement), cette fable nihiliste et poétique tend vers l’abstraction. Mais l’ennui s’installe, la faute à un rythme languissant.
L'Obs
Un androïde handicapé ? C’est l’une des rares trouvailles de ce pensum, uchronie aux images sépulcrales qui nous achève à coups de longs dialogues explicatifs et vains, quand ils ne sont pas risibles.
Le Figaro
Une fin du monde plus ennuyeuse que spectaculaire.