Note moyenne
3,3
13 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

13 critiques presse

Les Inrockuptibles

par Bruno Deruisseau

Sayônara raconte la fin d’un monde et le déclin d’une existence dans une esthétique solaire faite de teintes ocres et de la poésie contemplative empruntées au cinéma de Tarkovski. Car plus qu’à Fukushima, c’est à Tchernobyl que ce Japon contemporain fait écho.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Cahiers du Cinéma

par Stéphane du Mesnildot

Ce que nous fait éprouver Fukada est un état rarement atteint dans le cinéma de science-fiction, celui d’un monde libéré de la présence humaine.

Critikat.com

par Olivia Cooper Hadjian

La simple présence parlante à l’écran d’une véritable gynoïde suffirait à en captiver plus d’un-e, mais Fukada, loin d’en faire une facilité, déploie une myriade de problématiques dont cette figure est le centre.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

Culturopoing.com

par Pierre Guiho

Filmant avec la même attention actrice et androïde, Kôji Fukada compose un Memento Mori aussi original que profond.

La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

L'Humanité

par Vincent Ostria

Un grand film philosophique sur l’altérité.

La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

La Septième Obsession

par Gaël Martin

En adaptant la pièce d’Oriza Hirata, le cinéaste confronte l’actrice à l’androïde et imagine le monde d’après.

Paris Match

par Yannick Vely

Avec une rare économie de moyens et de brillantes idées de mise en scène, Koji Fukada réussit un film unique en son genre comme si Ingmar Bergman s'était essayé à la SF apocalyptique.

La critique complète est disponible sur le site Paris Match

Télérama

par Jacques Morice

L'action se transforme en contemplation immobile, en cérémonie crépusculaire, telle une agonie douce, presque sereine. Fukada filme le vent dans les graminées, la prairie, le ciel. Certaines images sont des hommages à "Mère et fils", d'Alexandre Sokourov. Et la fin, source d'espérance dans l'humanité, est sublime.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Le Monde

par Mathieu Macheret

Koji Fukada invente un film inclassable et poétique, dans un Japon rendu invivable par l’explosion de centrales nucléaires.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Libération

par Marcos Uzal

C’est le paradoxe de ce drôle de film que d’émouvoir en constatant le dessèchement de l’émotion.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Le Journal du Dimanche

par Stéphanie Belpêche

Visuellement magnifique (en particulier le dénouement), cette fable nihiliste et poétique tend vers l’abstraction. Mais l’ennui s’installe, la faute à un rythme languissant.

L'Obs

par Nicolas Schaller

Un androïde handicapé ? C’est l’une des rares trouvailles de ce pensum, uchronie aux images sépulcrales qui nous achève à coups de longs dialogues explicatifs et vains, quand ils ne sont pas risibles.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

Le Figaro

par La Rédaction

Une fin du monde plus ennuyeuse que spectaculaire.

La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
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