Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Un modèle d'écriture. Un film qui a du souffle et qui fait résonner fort son profond humanisme.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
VSD
par Bernard Achour
Prodige d’énergie visuelle, d’intelligence et de tension, le film et ses magnifiques acteurs plantent dès le début leurs crocs dans la conscience pour ne plus jamais relâcher leur étreinte.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un plaidoyer puissamment intelligent en faveur de la réconciliation des peuples.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
Jamais manichéen, et considérant les deux personnages avec même attachement, sans prendre davantage parti pour l'un ou l'autre, Ziad Doueiri propose un film résolument optimiste sur un conflit qui semble sans fin, et une œuvre à la portée universelle.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
(...) une dramaturgie puissante qui invite le spectateur, non pas à prendre parti, mais à s’interroger.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Mise en scène tenue, tendue, qui laisse de la place aux comédiens, formidables, et, surtout, par sa maîtrise, impose un point de vue, dénonce l'engrenage de l'aveuglement pour affirmer l'obligation de l'écoute de l'autre.
La Croix
par La Rédaction
Sélectionné pour l’Oscar du meilleur film étranger, ce long métrage intelligent signé par le réalisateur de L’Attentat sonde avec délicatesse les séquelles de la guerre civile libanaise.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
La façon dont Ziad Doueiri élargit son sujet et fait d’un film de prétoire, passionnant et qui n’a rien à envier au cinéma de genre américain, expert en la matière, un film politique, rend celui-ci d’autant plus passionnant que le cinéaste a la bonne idée d’équilibrer constamment les choses et de montrer que chacun des deux protagonistes a des raisons de penser qu’il a raison.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
La force du film de Ziad Doueiri est de mettre au jour la violence et la haine dans le cadre d'un tribunal, où la réalité historique prend une valeur symbolique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Le propos est fort, et le film le met en œuvre avec une belle intégrité, sans manichéisme.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Tout cela est parfaitement mené, efficace, jamais manichéen. Ancré dans un contexte précis, ce film n’en a pas moins une portée universelle.
Le Parisien
par Catherine Balle
Quelkle claque !
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film âpre, lucide, dérangeant, bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Une oeuvre universelle.
Paris Match
par Yannick Vely
(...) les mots [...] s'entrechoquent comme les lames dans des combats au corps à corps au fond d'une tranchée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Cheze
Un film indispensable pour comprendre le Liban d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Sans prendre parti ou chercher l'équilibre à chaque instant, sa réalisation dynamite les carcans habituels du film de procès.
Télérama
par Jacques Morice
Le film n’épouse aucun camp, préférant éclairer les effets pervers de toute cause. Il œuvre pour la vérité, même si elle est blessante. Ce n’est pas si courant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Si Ziad Doueiri privilégie l'efficacité à la nuance dans son écriture comme dans sa mise en scène, sa manière frontale de lier les tensions du présent aux blessures du passé éclaire avec force le bourbier idéologique qu'est le Moyen-Orient, avec son communautarisme délétère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Ziad Doueiri est le réalisateur de la série "Baron Noir", tournée dans le Dunkerquois. On reconnaît d’ailleurs sa patte dans ce film tourné au Liban, son pays d’origine, avec une caméra fiévreuse et toujours mobile, trop sans doute, mue par l’urgence de nous sensibiliser à une poudrière ultrasensible qui s‘appelle Beyrouth.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Malgré son point de vue très minoritaire dans le monde arabe, le film de Doueiri n'est absolument pas manichéen, fait état de tous les arguments contradictoires, et donne toute sa digne place au protagoniste palestinien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film est une idée sur le papier, qui réclame trop d’ajustements pour ne pas quitter la salle avec le sentiment que le jeu n’en valait pas la chandelle.
Critikat.com
par Alain Zind
Si le sujet constituait une grande attente, le traitement est désespérément conformiste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
On suppose que le cinéaste invoquera pour justifier sa conclusion la fameuse réplique de La Règle du jeu (Jean Renoir, 1939) : « Tout le monde a ses raisons. » Mais si cette excellente généralité reste indispensable pour construire des personnages complexes, elle n’est plus que platitude si l’on s’en sert pour analyser l’Histoire.
Bande à part
Un modèle d'écriture. Un film qui a du souffle et qui fait résonner fort son profond humanisme.
VSD
Prodige d’énergie visuelle, d’intelligence et de tension, le film et ses magnifiques acteurs plantent dès le début leurs crocs dans la conscience pour ne plus jamais relâcher leur étreinte.
aVoir-aLire.com
Un plaidoyer puissamment intelligent en faveur de la réconciliation des peuples.
Culturopoing.com
Jamais manichéen, et considérant les deux personnages avec même attachement, sans prendre davantage parti pour l'un ou l'autre, Ziad Doueiri propose un film résolument optimiste sur un conflit qui semble sans fin, et une œuvre à la portée universelle.
Franceinfo Culture
(...) une dramaturgie puissante qui invite le spectateur, non pas à prendre parti, mais à s’interroger.
L'Express
Mise en scène tenue, tendue, qui laisse de la place aux comédiens, formidables, et, surtout, par sa maîtrise, impose un point de vue, dénonce l'engrenage de l'aveuglement pour affirmer l'obligation de l'écoute de l'autre.
La Croix
Sélectionné pour l’Oscar du meilleur film étranger, ce long métrage intelligent signé par le réalisateur de L’Attentat sonde avec délicatesse les séquelles de la guerre civile libanaise.
Le Dauphiné Libéré
La façon dont Ziad Doueiri élargit son sujet et fait d’un film de prétoire, passionnant et qui n’a rien à envier au cinéma de genre américain, expert en la matière, un film politique, rend celui-ci d’autant plus passionnant que le cinéaste a la bonne idée d’équilibrer constamment les choses et de montrer que chacun des deux protagonistes a des raisons de penser qu’il a raison.
Le Figaro
La force du film de Ziad Doueiri est de mettre au jour la violence et la haine dans le cadre d'un tribunal, où la réalité historique prend une valeur symbolique.
Le Figaroscope
Le propos est fort, et le film le met en œuvre avec une belle intégrité, sans manichéisme.
Le Journal du Dimanche
Tout cela est parfaitement mené, efficace, jamais manichéen. Ancré dans un contexte précis, ce film n’en a pas moins une portée universelle.
Le Parisien
Quelkle claque !
Les Fiches du Cinéma
Un film âpre, lucide, dérangeant, bouleversant.
Ouest France
Une oeuvre universelle.
Paris Match
(...) les mots [...] s'entrechoquent comme les lames dans des combats au corps à corps au fond d'une tranchée.
Première
Un film indispensable pour comprendre le Liban d’aujourd’hui.
Studio Ciné Live
Sans prendre parti ou chercher l'équilibre à chaque instant, sa réalisation dynamite les carcans habituels du film de procès.
Télérama
Le film n’épouse aucun camp, préférant éclairer les effets pervers de toute cause. Il œuvre pour la vérité, même si elle est blessante. Ce n’est pas si courant.
L'Obs
Si Ziad Doueiri privilégie l'efficacité à la nuance dans son écriture comme dans sa mise en scène, sa manière frontale de lier les tensions du présent aux blessures du passé éclaire avec force le bourbier idéologique qu'est le Moyen-Orient, avec son communautarisme délétère.
La Voix du Nord
Ziad Doueiri est le réalisateur de la série "Baron Noir", tournée dans le Dunkerquois. On reconnaît d’ailleurs sa patte dans ce film tourné au Liban, son pays d’origine, avec une caméra fiévreuse et toujours mobile, trop sans doute, mue par l’urgence de nous sensibiliser à une poudrière ultrasensible qui s‘appelle Beyrouth.
Les Inrockuptibles
Malgré son point de vue très minoritaire dans le monde arabe, le film de Doueiri n'est absolument pas manichéen, fait état de tous les arguments contradictoires, et donne toute sa digne place au protagoniste palestinien.
Cahiers du Cinéma
Le film est une idée sur le papier, qui réclame trop d’ajustements pour ne pas quitter la salle avec le sentiment que le jeu n’en valait pas la chandelle.
Critikat.com
Si le sujet constituait une grande attente, le traitement est désespérément conformiste.
Le Monde
On suppose que le cinéaste invoquera pour justifier sa conclusion la fameuse réplique de La Règle du jeu (Jean Renoir, 1939) : « Tout le monde a ses raisons. » Mais si cette excellente généralité reste indispensable pour construire des personnages complexes, elle n’est plus que platitude si l’on s’en sert pour analyser l’Histoire.