Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par Marcos Uzal
Entre l’harmonie parfaite d’une chanson adolescente et le pire de la réalité adulte, Villaverde s’immisce, en équilibre, promenant un regard à la fois lucide et délicat, par la seule force de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Malgré son humeur engourdie, le film est habité par une force qui tient tout à la fois à la beauté de ses plans ancrés dans le sol et à son héroïne se tenant droite (…).
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
Un film qui s’empare d’une cabane de pêcheur isolée avec une caméra qui joue du sac et du ressac, épousant les aléas de la vie, la douleur et l’ennui.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Mettant au jour les douleurs muettes et enfouies, le cinéma de Teresa Villaverde peut sembler au premier abord d’une tristesse insondable. Mais il faut bien voir le mélange singulier de douceur et de douleur qui constitue en vérité l’essentiel de sa poésie.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Alors que le Centre Pompidou lui consacre une rétrospective, la cinéaste portugaise revient avec le récit sobre mais triste d’une famille déchirée par les problèmes d’argent et le manque de communication. Édifiant mais un peu long.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Frédéric Strauss
Une famille lisboète se disloque sous le poids de la pauvreté. La mise en scène, sans concession, est au diapason de leur souffrance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Clara Vincent
Car, bien que porté par une sensibilité politique qui ne laisse pas indifférent, le film, par la longueur de ses séquences, dégage une certaine froideur qui risque, parfois, de perdre l’attention du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Au faux cinéma-vérité de la caméra à l’épaule, Teresa Villaverde préfère une mise en scène réfléchie et esthétique (magnifiques clairs-obscurs dans l’appartement privé d’électricité) pour filmer la défection du père chômeur, le renoncement de la mère et la résilience de leur fille, Marta, superbement interprétée par Alice Albergaria Borges.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
On pourra reprocher à "Contre ton cœur" son formalisme glacé ou sa tendance à laisser couler ses figures sans les réchauffer d’un regard empathique. Discret plus que distant, le film distille néanmoins quelques touches de poésie et de drôlerie à même d’en diluer la tristesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Erwan Saver
Ce monde décharné ne saurait se réaliser à l'écran ; il résultera donc aux yeux des spectateurs d'un parti pris inexplicable de mise en scène, plutôt que du constat qu'il veut être.
Première
par Thierry Chèze
Sa mise en scène tout en précision et rigueur l’éloigne certes de la facilité misérabiliste. Mais son refus de toute dramaturgie saillante finit par rendre son récit artificiellement étouffant et faire rimer langueur et longueurs jusqu’à l’ennui, au terme de ses 2 h 16.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
Entre l’harmonie parfaite d’une chanson adolescente et le pire de la réalité adulte, Villaverde s’immisce, en équilibre, promenant un regard à la fois lucide et délicat, par la seule force de sa mise en scène.
Cahiers du Cinéma
Malgré son humeur engourdie, le film est habité par une force qui tient tout à la fois à la beauté de ses plans ancrés dans le sol et à son héroïne se tenant droite (…).
La Septième Obsession
Un film qui s’empare d’une cabane de pêcheur isolée avec une caméra qui joue du sac et du ressac, épousant les aléas de la vie, la douleur et l’ennui.
Le Monde
Mettant au jour les douleurs muettes et enfouies, le cinéma de Teresa Villaverde peut sembler au premier abord d’une tristesse insondable. Mais il faut bien voir le mélange singulier de douceur et de douleur qui constitue en vérité l’essentiel de sa poésie.
Les Fiches du Cinéma
Alors que le Centre Pompidou lui consacre une rétrospective, la cinéaste portugaise revient avec le récit sobre mais triste d’une famille déchirée par les problèmes d’argent et le manque de communication. Édifiant mais un peu long.
Télérama
Une famille lisboète se disloque sous le poids de la pauvreté. La mise en scène, sans concession, est au diapason de leur souffrance.
L'Humanité
Car, bien que porté par une sensibilité politique qui ne laisse pas indifférent, le film, par la longueur de ses séquences, dégage une certaine froideur qui risque, parfois, de perdre l’attention du spectateur.
L'Obs
Au faux cinéma-vérité de la caméra à l’épaule, Teresa Villaverde préfère une mise en scène réfléchie et esthétique (magnifiques clairs-obscurs dans l’appartement privé d’électricité) pour filmer la défection du père chômeur, le renoncement de la mère et la résilience de leur fille, Marta, superbement interprétée par Alice Albergaria Borges.
Les Inrockuptibles
On pourra reprocher à "Contre ton cœur" son formalisme glacé ou sa tendance à laisser couler ses figures sans les réchauffer d’un regard empathique. Discret plus que distant, le film distille néanmoins quelques touches de poésie et de drôlerie à même d’en diluer la tristesse.
Positif
Ce monde décharné ne saurait se réaliser à l'écran ; il résultera donc aux yeux des spectateurs d'un parti pris inexplicable de mise en scène, plutôt que du constat qu'il veut être.
Première
Sa mise en scène tout en précision et rigueur l’éloigne certes de la facilité misérabiliste. Mais son refus de toute dramaturgie saillante finit par rendre son récit artificiellement étouffant et faire rimer langueur et longueurs jusqu’à l’ennui, au terme de ses 2 h 16.