Mon compte
    Call Me By Your Name
    Note moyenne
    4,2
    11259 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Call Me By Your Name ?

    653 critiques spectateurs

    5
    232 critiques
    4
    179 critiques
    3
    103 critiques
    2
    76 critiques
    1
    33 critiques
    0
    30 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    christophe gomes
    christophe gomes

    9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2019
    Belles images qui donnent envie de partir en vacances et de mettre sa vie entre parenthèse pour s’évader le temps d’un été a un flirt !
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2019
    Dans une Italie bucolique et pittoresque, Call me by your name de Luca Guadagnino nous raconte avec fièvre les premiers émois de deux démiurges. Le film est aussi solaire qu’un premier été, aussi sensuel et fougueux qu’une première fois. Un fantasme filmique élégant et sublime.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 janvier 2019
    Call me by your name est un chef d'oeuvre, une perle. Il est différent de tous les films romantiques niais ou les films LGBT parlant plus de l'homophobie que du réel amour entre deux personnes .(je ne blâme pas ces films, attention). Il reste très vrai, pur et honnête de par sa réalisation juste splendide mais aussi par l'histoire en général qui ne rajoute pas des caisses et se laisse finalement porter naturellement. Le cast est juste bluffant, que ce soit les acteurs principaux ou même secondaires. Pour certains, ce film (surtout la 1ère partie) peut sembler long et ennuyeux personnellement je le trouve passionnant, magnifique et attachant. J'ai évidemment eu un sacré pincement au coeur lors de la dernière partie où l'émotion que transmet Elio (Timothee Chalamet) est tellement puissante que l'on arrive à la ressentir.
    Call me by your name a tout pour plaire et restera longtemps pour moi un des meilleurs films. 5/5.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2022
    Pour l’italien Luca Guadagnino, il existe une affinité entre la sensualité et la sexualité. Il le puise avec tendresse, comme il a su le faire dans « Amore ». Cette fois-ci, il adapte le roman d’André Aciman, où le fruit d’une passion va naître dans une grande subtilité. Les humains font face à des contradictions qu’ils ne peuvent refouler très longtemps, du moins intérieurement. Et c’est sur cette frontière que le film applique son point de vue méthodique, sur ce que le fantasme génère et sur ce que la réalité nous laissera pour nous consoler. Mais passer derrière « Le Secret de Brokeback Mountain », « 120 Battements Par Minutes » ou le récent « Moonlight », il serait difficile d’étudier davantage le fond d’un amour tabou depuis quelques générations. Mais à présent, cueillir la liberté de vivre et la vivre immédiatement, voilà où se situe le parcours des héros.

    Le récit ne s’attarde pas sur les valeurs de l’homosexualité, comme nous pourrions l’attendre. On insiste sur le message universel de l’éveil de l’amour. On conte cette confusion qui s’empare d’une chair, de cette hésitation qui s’empare d’un souvenir brûlant. Le jeune Elio (Timothée Chalamet) est victime de cet artifice, de ce premier amour qui orientera à jamais son cœur vers son âme sœur. Cependant, ce personnage est mis à l’épreuve avant de pouvoir prétendre à ce sentiment qu’il ne saurait contrôler et c’est ce qu’il y a de jubilatoire dans le développement de sa psychologie. Sa personnalité prend aussi un coup afin de s’aventurer dans les prémices de la maturité. Mais ce qui nous intéresse, c’est bien le passage dans la folie, où il tente toutes les expériences afin de sortir du registre pudique qui le protégeait. C’est sans compter sur l’arrivée du doctorant Américain auprès de son père qu’il adoptera une vision bien simpliste de ce que représente l’amour à l’état pur. Sans concessions, sans contraintes, sans gêne, c’est le coup de foudre.

    L’œuvre se souhaite sensorielle, donc il faudra de l’ouverture d’esprit afin de marquer chaque esprit. À partir de là, il sera possible de sentir le soleil italien nous caresser. Nous nous remettrons alors en question sur les pulsions qui nous ont guidées au moins une fois dans cette vie et encore dans plein d’autres. Il est question de savoir s’assumer et d’ajuster ses désirs à l’autre moitié. C’est ce qu’on découvre auprès de l’expérience d’Oliver (Armie Hammer), qui a beau souffrir des mêmes sentiments qu’Elio, mais qui aura une certaine retenue, ce qui rendra leur relation plus poignante. Chacun partage son ressenti, à travers une leçon de piano ou d’une sortie de pêche. On trouvera certes des longueurs qui ne renforcent pas toujours le non-dit, mais lorsqu’il est très efficace, il n’y aura que la respiration et le regard surchargé de chacun pour nous faire comprendre que rien ne peut les arrêter dans cette bulle intemporelle.

    Il n’est donc pas difficile de comprendre l’audace de « Call Me By Your Name », mais le sujet peut tourner en rond en sa défaveur, faute de timing ou de narration qui perd en intensité à ces moments où le seuil du flirt est largement dépassé. Il faudra tout de même s’accorder sur le dénouement qui sublime ce temps passé, à visionner cette intrigue qui aura fait tout son possible de nous ressemble autour de l’arbre de la passion. On en viendrait à regretter, en se remémorant ce qui est perdu et ce qui nous a plu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    J’étais prêt pour la fin être très très triste, mais je n’étais jamais prêt pour la fin ils sont nous donnés. La cinématographie? Magnifique! J’aime pas seulement un scène en tout le film, alors je peux voir pourquoi toute le monde l’aime!
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    52 abonnés 298 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 décembre 2018
    Un joli film contemplatif comme peuvent l'être les films se passant en Toscane l'été (Beauté volée par exemple).
    Une belle histoire d'amour dans un milieu tolérant, hypercultivé et privilégié, dans une belle maison avec un grand parc.
    On y apprécie et pratique la musique, la poésie, on y parle parfaitement l'italien, l'anglais, le français et un peu d'allemand, de grec ancien et de latin. Les liens familiaux sont forts, l'amour et l'intelligence font bon ménage. Les fruits du verger semblent délicieux. Les souffrances sont de chagrin d'amour.
    C'est un bon moment, mais c'est un peu lent
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2018
    un pur chef d'oeuvre, magnifique du début à la fin, d'une simplicité. je le recommande à tous.Une poésie sublime
    Tony L'Ambassadeur
    Tony L'Ambassadeur

    35 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 novembre 2018
    Je n’ai jamais ressenti un film aussi intimement que Call Me By Your Name. Du début à la fin, j'ai été transporté, tantôt dans la vie d’adolescent d’Élio tantôt dans la mienne. Un va-et-vient incessant qui m’a fait perdre pied. Je n'étais pas prêt à écrire mon avis sur le film lors du premier visionnement, car j’étais trop chamboulé. Au second, je n'arrivais pas à expliquer mon ressenti correctement. Finalement, au troisième visionnement, j'ai lâché prise, car finalement je n'avais pas besoin d'épiloguer pour exprimer à quel point j'ai aimé ce fil : les chefs d’œuvre ne se racontent pas, ils se vivent.
    jean-baptiste L
    jean-baptiste L

    13 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2018
    Film idéal et délicieux où les vacances d'été d'une famille italienne bienveillante et d'un invité universitaire américain sont propices aux amours adolescentes sans vulgarité. Le fils et l'invité tombent amoureux l'un de l'autre et vivent leur romance.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 octobre 2018
    Mais quelle honte ! Et quel ennui ! Film ultra prétentieux qui tombe dans tous les travers du film d'auteur, sans en avoir le talent! Longuissime, on s'écoute parler bien comme il faut , on ne se prend pas pour de la m... Manque de simplicité, de générosité, pauvre petit chou qui tombe amoureux d'un garçon c'est trop dur alors , ( mais qui saute une nana à tout va ! Demandez à un gay si il se reconnaît là dedans !! Lol ) c'est auto centré, on ne dépasse jamais l'ordre de l'anecdote. Pauvre petit fils de riche ( pardon mais c'est vraiment cela ) le scénario est d'une vacuité hors norme ( Mr le réalisateur heu ? ) ce film d'un ennui considérable et le symbole du snobisme au cinéma ( encensé par Quotidien bien-sûr)
    Le personnage se masturbe aisément dans le film : je crois qu'il en fut de même avec le réalisateur et son cerveau ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 octobre 2018
    Malgré des critiques élogieuses je suis resté sur ma fin à cause de la longueur, ou plutôt des longueurs. C'est un sujet délicat traité avec intelligence ( quelques métaphores bien senties ) et les dialogues père_ fils sont plus que brillants.
    Film pour un public avertis au vu de son sujet.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 octobre 2018
    Spoiler: La scène où le père fait sa confession sur son homosexualité cachée est sensé d'être le clou du film. Au lieu de le filmer d'une manière simple on voit le père qui se tord son visage et avec des grimaces, faire une logorrhée.

    Tout le problème du film est la. Artificiel, prétentieux et présomptueux.

    J'ai beaucoup aimé A Bigger Splash. Un film ou les personnages ne sont pas tous sympathiques . Mais ça collait très bien avec l'intrigue.

    Ici on a l' impression de se retrouver avec le même type de personnages.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 octobre 2018
    Tout simplement un chef d'oeuvre ! Un des plus beau film d'amour que j'ai pu voir ! Les personnages sont attachants, les lieux de tournage sont magnifiques et le jeu des acteurs est bluffant. Bravo et merci à Luca Guadagnino pour ce film !
    PIERRE-QUI-ROULE
    PIERRE-QUI-ROULE

    62 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 octobre 2018
    Tout le monde est bilingue voire trilingue. Beaucoup de name dropping : Héraclite, Liszt, Busoni, Bach et je passe. On parle de la philosophie, de la littérature et de l'histoire grecque. On jouent au piano et on écrit des poèmes. Je me sens tout petit devant ces demis-dieux. Mais je rêve !

    Un film sans prétention ? Torch Song Triology.
    Philippe P
    Philippe P

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 octobre 2018
    Non, ce n’est pas la lenteur du film qui m’a gêné – ce serait même plutôt à mes yeux une de ses seules qualités – ; ce ne sont pas les références et propos culturels ou intellectuels, qui en eux-mêmes auraient pu apporter de la profondeur… mais qui ici, dans leur artificialité travestie restent vains et insipides ; ce n’est pas l’été italien, qui fait ce qu’il peut pour sauver une ambiance tellement affectée et lui donner une sensualité qui lui manque essentiellement ; ce n’est pas la bande son, quoi qu’elle participe souvent de l’esthétisme convenu, bridé et peu honnête de l’ensemble… C’est surtout justement ce manque d’honnêteté, artistique et esthétique avant tout, mais peut-être psychologique aussi. Je ne parle pas de morale.
    Je parle d’acteurs qui ne sont pas des acteurs, mais des poseurs – sans que je leur en attribue la responsabilité : on les a dirigés ainsi et ils se sont acquittés de leur tâche le moins mal possible. Je parle d’une pudeur calculée jusqu’à en être obscène, qui parcourt tout le film, dans les cadrages, dans les dialogues, et puis qui laisse la place de temps en temps à un propos pictural et scénaristique d’autant plus vulgaire qu’il prétend justement échapper à la vulgarité. Je parle de l’absence de sensualité authentique, de passion authentique, d’intelligence authentique… ce qui en tient lieu : des postures et des gestes de statues faussement sexuées, des propos sentimentaux aux rares non-dits tellement criants qu’ils sonnent tout aussi faux, des clins d’œil artistico-culturels dont le naturel purement apparent est pire qu’une pédanterie assumée. Je parle de la vacuité quasi constante des dialogues….
    Le film a été encensé. Sans doute souvent avec sincérité et conviction. Mais au fond, même derrière cette conviction sincère, ne faut-il pas faire la part de l’opinion bienpensante et de l’air du temps ? Un film explicite mais clean sur l’homosexualité, esthétique et apparemment cultivé, cela ne pouvait qu’entraîner l’adhésion du plus grand nombre ! Une histoire d’amour fine et belle… Eh bien non, ce n’est pas du tout ce que j’ai vu, mais une histoire d’hormones, sous plusieurs couches de vernis bon marché… Adèle, Brokeback ou Dolan, par exemple, ont plus d’âme !
    Et qu’on ose comparer ça à l’intelligence de Rohmer ! Rohmer atteint la légèreté et la profondeur à travers les dehors de la superficialité et de l’artifice apparemment maladroit. Ici, le film suit en quelque sorte le chemin inverse. Je ne sauverai de cette débâcle que l’ultime plan, sur le générique de fin… spoiler: Ce visage pour une fois moins poseur, ce dos tourné à l’hiver et au quotidien que sera le futur d’Elio dans une société pas encore prête, ces yeux brûlés encore par le feu de ce que j’ai eu toutefois bien du mal à identifier à celui de la passion tout au long du film… ce visage et ces yeux tournés vers ce feu, mais dans une position qu’il ne saurait tenir désormais bien longtemps…
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top