Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Derrière l'exquise carte postale italienne façon "Dolce Vita", un des films les plus bouleversants et les plus sexy sur la naissance du désir et le premier amour.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Une sublime éducation sentimentale, sophistiquée et pourtant universelle, hyper sensuelle et littéraire qui colle des frissons et des larmes.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Fabien Reyre
Le film entier ressemble à ses fabuleux décors de la campagne italienne : porté par une indolence qui ne se laisse jamais écraser par la paresse, il irradie d'une beauté pure et sans efforts, dont la simplicité même est la source d'une multitude d'émotions.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
La subtilité de l’approche de Luca Guadagnino se développe sur la durée, l’habillage bourgeois cèdant peu à peu le pas à un flux bouillonnant qui évoque le sexe sans détours et capte les infimes manifestations du désir amoureux jusqu’à son point d’incandescence.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Call Me by Your Name" n'est pas le petit mélodrame classique : c'est une parenthèse magnifique d'une finesse éblouissante, dont le sens et la beauté résonnent longtemps après.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Plus qu’un ravissement, cette chronique passionnément déchirante nous enflamme.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film magnifique et sensuel sur le désir et l'éclosion du sentiment amoureux.
LCI
par Romain Le Vern
De l'intensité de l'interprétation à la sensibilité de l'exécution, c'est un éblouissement.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par Jérôme D’Estais
La réussite du film est d’autant plus miraculeuse et les mérites de Guadagnino multiples, que le projet, sur le papier, avait toutes les caractéristiques pour mener celui- ci directement au naufrage flamboyant […] "Call Me By Your Name" a le goût âpre et doux de la solitude des petits héros bertolucciens ou comenciniens dans un monde protecteur mais étouffant, du deuil de ce qu’on a perdu à jamais.
Le Figaro
par Constance Jamet
Un bijou de délicatesse et d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Une chronique mémorable et bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Jérémy Mingot
Une romance aussi belle que passionnée, aussi lumineuse que sensible. Coup de coeur !
VSD
par Bernard Achour
Constamment magnifique à regarder, à entendre et à ressentir, ce n’est cependant qu’à la toute fin de son ultime plan-séquence que « Call me by your name » libère la charge émotionnelle qui l’irriguait jusque-là avec une sorte de pudeur souterraine aussi admirable que légèrement insatisfaisante.
Voici
par La Rédaction
Un mélodrame romantique, solaire et touché par la grâce.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
L’éloge de la passion et de la nécessaire douleur qui s’ensuit, au cœur d’un film lumineux, magnifiquement interprété, qui bouscule les préjugés, pour s’immiscer in fine au panthéon des œuvres traitant du désir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Tiré du roman d’André Aciman, "Call Me By Your Name" offre au public un récit initiatique sensible, qui met en lumière le talent prometteur de Timothée Chalamet, nommé à l’oscar du meilleur acteur.
L'Express
par Antoine Le Fur
Il y a longtemps que le désir n'avait pas été si bien montré au cinéma, avec un raffinement et une élégance très viscontiens.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Mélancolique et vibrant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Tout, dans ce film, dont le dernier tiers aurait gagné à plus de concision, est sensualité, quête de beauté dans une campagne italienne où l'on passerait volontiers le restant de nos jours.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Une histoire d’amour émouvante et sensible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On a rarement vu romance estivale aussi émouvante, à la lumière de cette incandescente séquence finale, un long plan fixe sur le visage de Thimotée Chalamet balayant finalement tous les registres du mélo.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur le thème de l'apprentissage de l'amour, un film révélation, où l'intimité, portée par la finesse, l'émotion et la sensualité, s'éclaire de la lumière radieuse de l'Italie.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
S’appuyant sur l’écriture subtile et lucide de James Ivory, au scénario, Luca Guadagnino fait preuve d’une sensibilité et d’une douceur inouïes en mettant en scène des cœurs qui battent à l’unisson, des corps qui succombent à la tentation, incapables de résister à la déflagration des sentiments.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Adapté du roman d’André Aciman, le film de Guadagnino sublime la rencontre entre un adolescent et un jeune chercheur en archéologie.
Le Parisien
par Catherine Balle
Le long-métrage est brillamment mis en scène et interprété par des acteurs solaires et naturels (Chalamet, Armie Hammer, Esther Garrel…). Délicat, érotique, bouleversant, il fait partie de ces films qui laissent un souvenir brûlant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Conçu comme un havre où le temps semble suspendu, le film (...) est tout entier dévolu à l’éclosion du sentiment amoureux. Et à la brûlure du désir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Adrien Gombeaud
"Call Me By Your Name" offre à la fois le spectacle d'une séduction et d'une lutte entre deux personnages et deux comédiens stupéfiants.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Leur histoire, son déploiement au long des chemins de terre où les deux garçons vont à vélo à travers les champs, fait tout le prix de ce récit d’initiation adapté d’un roman d’André Aciman et tourné par Luca Guadagnino.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Loin de tout manifeste, cette belle histoire, magnifiquement interprétée par Armie Hammer et le jeune Timothée Chalamet, est une bouleversante ode à l'amour.
Télérama
par Louis Guichard
Luca Guadagnino trace une voie singulière, entre une fidélité italienne au néoréalisme (vérité des décors et des corps, durée des plans) et un tropisme hollywoodien — tout concourt à séduire. Call me by your name, tourné dans la région où il vit, est à ce jour son film le plus accompli, fascinant (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Luca Guadagnino s’empare ici des codes du film d’initiation pour mieux affirmer sa romance gay comme étant, avant tout, une histoire comme les autres.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
"Call Me by Your Name" se donne comme un grand film d’amour - cette prétention n’est pas un problème, au contraire : seules sa grandiloquence et sa recherche obstinée, souvent victorieuse, de la beauté, de l’émotion et de l’empathie le sauvent de la mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Un déploiement de précautions, de corrections, de bon goût tient lieu d’âme à ce film de premier de la classe qui ressemble à une table bien mise.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Le film se veut si chic (citations grecques, allusions à Bunuel, style singeant le Rohmer des années 80) qu’il en paraît d’abord factice puis finalement kitsch.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ces jeunes gens sont beaux mais pédants et superficiels. Quelle mouche a donc piqué la critique mondiale qui a adoré cette bluette dorée ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
BIBA
Derrière l'exquise carte postale italienne façon "Dolce Vita", un des films les plus bouleversants et les plus sexy sur la naissance du désir et le premier amour.
CinemaTeaser
Une sublime éducation sentimentale, sophistiquée et pourtant universelle, hyper sensuelle et littéraire qui colle des frissons et des larmes.
Critikat.com
Le film entier ressemble à ses fabuleux décors de la campagne italienne : porté par une indolence qui ne se laisse jamais écraser par la paresse, il irradie d'une beauté pure et sans efforts, dont la simplicité même est la source d'une multitude d'émotions.
Culturopoing.com
La subtilité de l’approche de Luca Guadagnino se développe sur la durée, l’habillage bourgeois cèdant peu à peu le pas à un flux bouillonnant qui évoque le sexe sans détours et capte les infimes manifestations du désir amoureux jusqu’à son point d’incandescence.
Ecran Large
"Call Me by Your Name" n'est pas le petit mélodrame classique : c'est une parenthèse magnifique d'une finesse éblouissante, dont le sens et la beauté résonnent longtemps après.
Elle
Plus qu’un ravissement, cette chronique passionnément déchirante nous enflamme.
Femme Actuelle
Un film magnifique et sensuel sur le désir et l'éclosion du sentiment amoureux.
LCI
De l'intensité de l'interprétation à la sensibilité de l'exécution, c'est un éblouissement.
La Septième Obsession
La réussite du film est d’autant plus miraculeuse et les mérites de Guadagnino multiples, que le projet, sur le papier, avait toutes les caractéristiques pour mener celui- ci directement au naufrage flamboyant […] "Call Me By Your Name" a le goût âpre et doux de la solitude des petits héros bertolucciens ou comenciniens dans un monde protecteur mais étouffant, du deuil de ce qu’on a perdu à jamais.
Le Figaro
Un bijou de délicatesse et d'humanité.
Rolling Stone
Une chronique mémorable et bouleversante.
Télé Loisirs
Une romance aussi belle que passionnée, aussi lumineuse que sensible. Coup de coeur !
VSD
Constamment magnifique à regarder, à entendre et à ressentir, ce n’est cependant qu’à la toute fin de son ultime plan-séquence que « Call me by your name » libère la charge émotionnelle qui l’irriguait jusque-là avec une sorte de pudeur souterraine aussi admirable que légèrement insatisfaisante.
Voici
Un mélodrame romantique, solaire et touché par la grâce.
aVoir-aLire.com
L’éloge de la passion et de la nécessaire douleur qui s’ensuit, au cœur d’un film lumineux, magnifiquement interprété, qui bouscule les préjugés, pour s’immiscer in fine au panthéon des œuvres traitant du désir.
CNews
Tiré du roman d’André Aciman, "Call Me By Your Name" offre au public un récit initiatique sensible, qui met en lumière le talent prometteur de Timothée Chalamet, nommé à l’oscar du meilleur acteur.
L'Express
Il y a longtemps que le désir n'avait pas été si bien montré au cinéma, avec un raffinement et une élégance très viscontiens.
L'Humanité
Mélancolique et vibrant.
L'Obs
Tout, dans ce film, dont le dernier tiers aurait gagné à plus de concision, est sensualité, quête de beauté dans une campagne italienne où l'on passerait volontiers le restant de nos jours.
La Croix
Une histoire d’amour émouvante et sensible.
La Voix du Nord
On a rarement vu romance estivale aussi émouvante, à la lumière de cette incandescente séquence finale, un long plan fixe sur le visage de Thimotée Chalamet balayant finalement tous les registres du mélo.
Le Dauphiné Libéré
Sur le thème de l'apprentissage de l'amour, un film révélation, où l'intimité, portée par la finesse, l'émotion et la sensualité, s'éclaire de la lumière radieuse de l'Italie.
Le Journal du Dimanche
S’appuyant sur l’écriture subtile et lucide de James Ivory, au scénario, Luca Guadagnino fait preuve d’une sensibilité et d’une douceur inouïes en mettant en scène des cœurs qui battent à l’unisson, des corps qui succombent à la tentation, incapables de résister à la déflagration des sentiments.
Le Monde
Adapté du roman d’André Aciman, le film de Guadagnino sublime la rencontre entre un adolescent et un jeune chercheur en archéologie.
Le Parisien
Le long-métrage est brillamment mis en scène et interprété par des acteurs solaires et naturels (Chalamet, Armie Hammer, Esther Garrel…). Délicat, érotique, bouleversant, il fait partie de ces films qui laissent un souvenir brûlant.
Les Inrockuptibles
Conçu comme un havre où le temps semble suspendu, le film (...) est tout entier dévolu à l’éclosion du sentiment amoureux. Et à la brûlure du désir.
Positif
"Call Me By Your Name" offre à la fois le spectacle d'une séduction et d'une lutte entre deux personnages et deux comédiens stupéfiants.
Sud Ouest
Leur histoire, son déploiement au long des chemins de terre où les deux garçons vont à vélo à travers les champs, fait tout le prix de ce récit d’initiation adapté d’un roman d’André Aciman et tourné par Luca Guadagnino.
Télé 7 Jours
Loin de tout manifeste, cette belle histoire, magnifiquement interprétée par Armie Hammer et le jeune Timothée Chalamet, est une bouleversante ode à l'amour.
Télérama
Luca Guadagnino trace une voie singulière, entre une fidélité italienne au néoréalisme (vérité des décors et des corps, durée des plans) et un tropisme hollywoodien — tout concourt à séduire. Call me by your name, tourné dans la région où il vit, est à ce jour son film le plus accompli, fascinant (...).
Les Fiches du Cinéma
Luca Guadagnino s’empare ici des codes du film d’initiation pour mieux affirmer sa romance gay comme étant, avant tout, une histoire comme les autres.
Libération
"Call Me by Your Name" se donne comme un grand film d’amour - cette prétention n’est pas un problème, au contraire : seules sa grandiloquence et sa recherche obstinée, souvent victorieuse, de la beauté, de l’émotion et de l’empathie le sauvent de la mièvrerie.
Cahiers du Cinéma
Un déploiement de précautions, de corrections, de bon goût tient lieu d’âme à ce film de premier de la classe qui ressemble à une table bien mise.
Transfuge
Le film se veut si chic (citations grecques, allusions à Bunuel, style singeant le Rohmer des années 80) qu’il en paraît d’abord factice puis finalement kitsch.
L'Humanité
Ces jeunes gens sont beaux mais pédants et superficiels. Quelle mouche a donc piqué la critique mondiale qui a adoré cette bluette dorée ?