Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Un suspense psychologique glaçant.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film haletant et dérangeant.
L'Express
par Christophe Carrière
Michel Franco, capable du meilleur (le très inconfortable Después de Lucia, sur une ado harcelée à l'école) et du pire (le très ennuyeux Chronic, à propos d'un aide-soignant handicapé des sentiments), est cette fois au mieux de sa forme. Ce qui veut dire, chez lui, un art consommé du malaise doublé d'une montée en puissance anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film magnifiquement interprété, notamment par la sensuelle Emma Suarez.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Avec "Les Filles d’Avril", sans renier son esthétique très directe, Franco attendrit un peu son cinéma et signe son film le plus lumineux, le moins cruel de tous, le plus mûr. (…) C’est à ce jour, sans nul doute, son meilleur film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
Michel Franco livre un thriller vénéneux sur le retour d’une femme manipulatrice auprès de ses enfants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
L'originalité du film consiste à épouser les trois points de vue féminins de ce quatuor où seul l'homme frappe par sa passivité. A dire vrai, dans ce tableau de famille déviant, chacun, fort ou faible, trimballe sa névrose et fait tout pour se faire aimer et ne pas être seul.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Ce portrait fascinant d'une femme prête à tout pour vivre une seconde jeunesse est traité sous la forme d'un thriller psychologique des plus malfaisants.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
C’est ce cheminement vers la névrose et la perfidie la plus abjecte qui fait du scénario de Franco une proposition cinématographique intéressante, mais l’austérité de sa mise en scène vient, encore une fois, peser sur le ressenti. (...) Ceci ne nous empêche évidemment pas de profiter pleinement du talent des deux actrices principales (...).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Pas de quoi sauter non plus au plafond : le film s’en tient à ce simple programme et ne va pas beaucoup plus loin, mais il faut reconnaître que le chemin emprunté ici par Franco est un peu plus habile qu’à l’accoutumée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
Mentir pour le bien de l’autre est-il si différent que mentir pour arriver a ses fins ? Mentir pour étouffer l’autre si distinct que mentir pour s’évader ? Anéantie par sa propre mère, la ténacité de Valeria pour reprendre possession de sa vie apporte une réponse finale aussi dérangeante que lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Laetitia Drevet
En bord de mer d’abord, puis dans les rues de Mexico City, Michel Franco pose un regard délicat sur ses actrices. On le sent réticent à porter un jugement trop sévère sur celles qu’il met en scène. Dans leur cas, la polysémie du mot "peine" – la sanction ou la tristesse – trouve pleinement à s’incarner…
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Au-delà de la relation mère fille, Michel Franco dresse avec habileté le portrait d’une femme perverse, habitée par un malaise aussi profond que destructeur. Emma Suárez y livre une partition plus que remarquable.
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Plus accessible, le nouveau Michel Franco reste une œuvre atone, sur une trame à la savoureuse perversité.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le ton est là mais le scénario brouillon nous laisse avec plus de points d'interrogation que de clés sur les personnages.
Première
par Christophe Narbonne
La vérité qui éclate progressivement éclaire sous un jour nouveau les scènes inaugurales et certains comportements a priori "normaux". Glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Film assez plat, sans émotion, "Les Filles d’Avril" révèle ce qui se cache sous la posture du petit malin de festival : juste un metteur en scène banal.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le problème avec Michel Franco ("Después de Lucía"), c’est son talent de metteur en scène. Cette distance avec laquelle il filme les choses, simulant la neutralité alors que rien ne semble davantage justifier les actes de ses personnages que son désir pervers de déranger et son absence de compassion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Rien ne sera donc épargné à Valeria, qui n’a pas pour autant dit son dernier mot ! Rien ne sera non plus épargné au spectateur, pas même les cris continus d’un bébé qui n’arrête pas de pleurer et qui donne envie de retrouver un peu de calme et de prendre l’air. C’est d’ailleurs ce que se dit pour finir Valeria, qui prend la poudre d’escampette, et le spectateur ne manque pas de faire de même.
Le Figaro
par La Rédaction
Michel Franco, le Haneke mexicain, confirme sa vision peu joyeuse de l'humanité. Le spectateur, confronté à tant de médiocrité, n'a pas grand-chose à gagner.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le spectateur est donc prié de se contenter de ce déprimant tableau clinique, et de jouir, ou pas, de la séduction hystérique que le talent d’Emma Suarez parvient à lui conférer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Vincent Thabourey
L’histoire, implacable jusqu’à la déraison, semble uniquement destinée à prouver la maîtrise d’un cinéaste dont le savoir-faire tourne ici à vide. On trouvera heureusement quelque réconfort du côté de l’interprétation rigoureuse de ses actrices.
Télé 2 semaines
Un suspense psychologique glaçant.
Elle
Un film haletant et dérangeant.
L'Express
Michel Franco, capable du meilleur (le très inconfortable Después de Lucia, sur une ado harcelée à l'école) et du pire (le très ennuyeux Chronic, à propos d'un aide-soignant handicapé des sentiments), est cette fois au mieux de sa forme. Ce qui veut dire, chez lui, un art consommé du malaise doublé d'une montée en puissance anxiogène.
Le Parisien
Un film magnifiquement interprété, notamment par la sensuelle Emma Suarez.
Les Inrockuptibles
Avec "Les Filles d’Avril", sans renier son esthétique très directe, Franco attendrit un peu son cinéma et signe son film le plus lumineux, le moins cruel de tous, le plus mûr. (…) C’est à ce jour, sans nul doute, son meilleur film.
Libération
Michel Franco livre un thriller vénéneux sur le retour d’une femme manipulatrice auprès de ses enfants.
Télérama
L'originalité du film consiste à épouser les trois points de vue féminins de ce quatuor où seul l'homme frappe par sa passivité. A dire vrai, dans ce tableau de famille déviant, chacun, fort ou faible, trimballe sa névrose et fait tout pour se faire aimer et ne pas être seul.
Voici
Ce portrait fascinant d'une femme prête à tout pour vivre une seconde jeunesse est traité sous la forme d'un thriller psychologique des plus malfaisants.
aVoir-aLire.com
C’est ce cheminement vers la névrose et la perfidie la plus abjecte qui fait du scénario de Franco une proposition cinématographique intéressante, mais l’austérité de sa mise en scène vient, encore une fois, peser sur le ressenti. (...) Ceci ne nous empêche évidemment pas de profiter pleinement du talent des deux actrices principales (...).
Critikat.com
Pas de quoi sauter non plus au plafond : le film s’en tient à ce simple programme et ne va pas beaucoup plus loin, mais il faut reconnaître que le chemin emprunté ici par Franco est un peu plus habile qu’à l’accoutumée.
Culturopoing.com
Mentir pour le bien de l’autre est-il si différent que mentir pour arriver a ses fins ? Mentir pour étouffer l’autre si distinct que mentir pour s’évader ? Anéantie par sa propre mère, la ténacité de Valeria pour reprendre possession de sa vie apporte une réponse finale aussi dérangeante que lumineuse.
La Croix
En bord de mer d’abord, puis dans les rues de Mexico City, Michel Franco pose un regard délicat sur ses actrices. On le sent réticent à porter un jugement trop sévère sur celles qu’il met en scène. Dans leur cas, la polysémie du mot "peine" – la sanction ou la tristesse – trouve pleinement à s’incarner…
Le Journal du Dimanche
Au-delà de la relation mère fille, Michel Franco dresse avec habileté le portrait d’une femme perverse, habitée par un malaise aussi profond que destructeur. Emma Suárez y livre une partition plus que remarquable.
Les Fiches du Cinéma
Plus accessible, le nouveau Michel Franco reste une œuvre atone, sur une trame à la savoureuse perversité.
Ouest France
Le ton est là mais le scénario brouillon nous laisse avec plus de points d'interrogation que de clés sur les personnages.
Première
La vérité qui éclate progressivement éclaire sous un jour nouveau les scènes inaugurales et certains comportements a priori "normaux". Glaçant.
Cahiers du Cinéma
Film assez plat, sans émotion, "Les Filles d’Avril" révèle ce qui se cache sous la posture du petit malin de festival : juste un metteur en scène banal.
L'Obs
Le problème avec Michel Franco ("Después de Lucía"), c’est son talent de metteur en scène. Cette distance avec laquelle il filme les choses, simulant la neutralité alors que rien ne semble davantage justifier les actes de ses personnages que son désir pervers de déranger et son absence de compassion.
Le Dauphiné Libéré
Rien ne sera donc épargné à Valeria, qui n’a pas pour autant dit son dernier mot ! Rien ne sera non plus épargné au spectateur, pas même les cris continus d’un bébé qui n’arrête pas de pleurer et qui donne envie de retrouver un peu de calme et de prendre l’air. C’est d’ailleurs ce que se dit pour finir Valeria, qui prend la poudre d’escampette, et le spectateur ne manque pas de faire de même.
Le Figaro
Michel Franco, le Haneke mexicain, confirme sa vision peu joyeuse de l'humanité. Le spectateur, confronté à tant de médiocrité, n'a pas grand-chose à gagner.
Le Monde
Le spectateur est donc prié de se contenter de ce déprimant tableau clinique, et de jouir, ou pas, de la séduction hystérique que le talent d’Emma Suarez parvient à lui conférer.
Positif
L’histoire, implacable jusqu’à la déraison, semble uniquement destinée à prouver la maîtrise d’un cinéaste dont le savoir-faire tourne ici à vide. On trouvera heureusement quelque réconfort du côté de l’interprétation rigoureuse de ses actrices.