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23 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Top !
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette chronique bienveillante fonctionne, car elle touche à l’amour d’un père pour son enfant.
L'Express
par Christophe Carrière
Il y a aussi une belle maîtrise du récit, mené par un cinéaste venu du documentaire. D'une neutralité bienveillante, le film est une peinture naturaliste où rien ne dépasse, où chaque plan est utile.
L'Humanité
par Vincent Ostria
La description du clash entre deux cultures, presque deux civilisations distinctes – d’un côté l’Amérique moderne, de l’autre un microcosme archaïque –, fait la singularité de ce film aux accents documentaires, qui capte à merveille l’ambiance de la ville.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce film délicat de Joshua Z. Weinstein, récompensé du prix du Jury au Festival de Deauville, un juif ultra-orthodoxe se trouve privé de son fils comme l’impose une règle du hassidisme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
La religion, dans sa rigidité et ses excès, ne fait pas de discrimination. Le discours n'a rien de théorique. Il est incarné par l'incroyable Menashé. Le plus beau personnage de cinéma qu'on ait vu depuis longtemps. Un miracle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Original et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
À travers cette touchante chronique, sans juger, mais avec une réelle empathie pour son héros, Weinstein révèle les différents aspects d'une branche du judaïsme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Les tribulations new-yorkaises d’un hassidim non conforme, dans un premier film d’inspiration cassavetienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Alain Masson
La réussite du film tient donc à la finesse de l'observation, à la justesse des détails, c'est-à-dire à la perfection de leur ajustement réciproque.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Une telle maîtrise entre le fond et la forme, saluée un peu partout (Sundance, Deauville, Berlin) est en tous points bluffante. On va désormais suivre le travail de Joshua Z. Weinstein de très près.
Transfuge
par Sidy Sakho
Un portrait d'homme subtil et émouvant.
Télérama
par Frédéric Strauss
(...) voilà un duo possible. Leur relation fragile, menacée, est mise en scène, avec modestie et délicatesse, comme un trésor. Et l’émotion, très retenue, devient finalement l’atout de cet étonnant film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Cette humanité donne au film, au-delà de sa spécificité culturelle, une dimension universelle, transformant ce « conte juif » en une fable morale souvent bouleversante.
Critikat.com
par Thomas Choury
En rejetant le sermon, "Brooklyn Yiddish" réinjecte de l’humain dans un lieu géographique et sociétal a priori claquemuré.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
Joshua Weinstein signe un film très lumineux, à la photographie magistrale, qui épouse les corps et dessine le contour des êtres et des âmes.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La justesse de son regard, sa mise en scène épidermique, son sens de la ponctuation musicale, nous convainquent qu’un cinéaste est né et qu’il est de notre devoir de l’exposer en pleine lumière, loin des démons de l’obscurantisme.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
À travers le portrait d’un brave type qui n’a pas inventé la poudre, une plongée quasi documentaire, non dénuée d’ironie et de chaleur humaine, au sein de la communauté très fermée des juifs hassidiques new-yorkais.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Venu du documentaire, Joshua Weinstein nous embarque au cœur d’une communauté qui vit au rythme de la Torah, et filme, sans jamais juger, les affres d’un homme désemparé et tiraillé entre sa foi, son caractère entier et son amour paternel.
Première
par Christophe Narbonne
“Le Talmud dit que l’homme a besoin de trois choses pour s’épanouir : une belle femme, une belle maison, de la belle vaisselle”. Cette phrase prononcée par son rabbin devant Menashé, dépourvu de tout, indique le ton de Brooklyn Yiddish, entre austérité et ironie.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Au sein d’une communauté ultra-religieuse, une fiction moins saisissante que son approche documentaire dont le réalisateur semble mieux maîtriser le format.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
On a parfois l'impression d'un film inachevé, un peu foutraque, mais l'empathie est totale. Impossible de ne pas aimer Menashé (nom du personnage et de l'acteur, Ménashé Lustig), confus, gros, mal dans sa peau, et d'une sincérité totale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce premier film de fiction tourné en yiddish doit son originalité à son immersion dans un milieu peu souvent montré au cinéma, observant avec soin ses moeurs et ses rites. (... ) Son défaut tient peut-être à son excessive modestie, qui ne lui permet pas de décoller vraiment.
Voici
Top !
20 Minutes
Cette chronique bienveillante fonctionne, car elle touche à l’amour d’un père pour son enfant.
L'Express
Il y a aussi une belle maîtrise du récit, mené par un cinéaste venu du documentaire. D'une neutralité bienveillante, le film est une peinture naturaliste où rien ne dépasse, où chaque plan est utile.
L'Humanité
La description du clash entre deux cultures, presque deux civilisations distinctes – d’un côté l’Amérique moderne, de l’autre un microcosme archaïque –, fait la singularité de ce film aux accents documentaires, qui capte à merveille l’ambiance de la ville.
La Croix
Dans ce film délicat de Joshua Z. Weinstein, récompensé du prix du Jury au Festival de Deauville, un juif ultra-orthodoxe se trouve privé de son fils comme l’impose une règle du hassidisme.
Le Figaro
La religion, dans sa rigidité et ses excès, ne fait pas de discrimination. Le discours n'a rien de théorique. Il est incarné par l'incroyable Menashé. Le plus beau personnage de cinéma qu'on ait vu depuis longtemps. Un miracle.
Le Figaroscope
Original et émouvant.
Les Fiches du Cinéma
À travers cette touchante chronique, sans juger, mais avec une réelle empathie pour son héros, Weinstein révèle les différents aspects d'une branche du judaïsme.
Les Inrockuptibles
Les tribulations new-yorkaises d’un hassidim non conforme, dans un premier film d’inspiration cassavetienne.
Positif
La réussite du film tient donc à la finesse de l'observation, à la justesse des détails, c'est-à-dire à la perfection de leur ajustement réciproque.
Studio Ciné Live
Une telle maîtrise entre le fond et la forme, saluée un peu partout (Sundance, Deauville, Berlin) est en tous points bluffante. On va désormais suivre le travail de Joshua Z. Weinstein de très près.
Transfuge
Un portrait d'homme subtil et émouvant.
Télérama
(...) voilà un duo possible. Leur relation fragile, menacée, est mise en scène, avec modestie et délicatesse, comme un trésor. Et l’émotion, très retenue, devient finalement l’atout de cet étonnant film.
Cahiers du Cinéma
Cette humanité donne au film, au-delà de sa spécificité culturelle, une dimension universelle, transformant ce « conte juif » en une fable morale souvent bouleversante.
Critikat.com
En rejetant le sermon, "Brooklyn Yiddish" réinjecte de l’humain dans un lieu géographique et sociétal a priori claquemuré.
La Septième Obsession
Joshua Weinstein signe un film très lumineux, à la photographie magistrale, qui épouse les corps et dessine le contour des êtres et des âmes.
La Voix du Nord
La justesse de son regard, sa mise en scène épidermique, son sens de la ponctuation musicale, nous convainquent qu’un cinéaste est né et qu’il est de notre devoir de l’exposer en pleine lumière, loin des démons de l’obscurantisme.
Le Dauphiné Libéré
À travers le portrait d’un brave type qui n’a pas inventé la poudre, une plongée quasi documentaire, non dénuée d’ironie et de chaleur humaine, au sein de la communauté très fermée des juifs hassidiques new-yorkais.
Le Journal du Dimanche
Venu du documentaire, Joshua Weinstein nous embarque au cœur d’une communauté qui vit au rythme de la Torah, et filme, sans jamais juger, les affres d’un homme désemparé et tiraillé entre sa foi, son caractère entier et son amour paternel.
Première
“Le Talmud dit que l’homme a besoin de trois choses pour s’épanouir : une belle femme, une belle maison, de la belle vaisselle”. Cette phrase prononcée par son rabbin devant Menashé, dépourvu de tout, indique le ton de Brooklyn Yiddish, entre austérité et ironie.
aVoir-aLire.com
Au sein d’une communauté ultra-religieuse, une fiction moins saisissante que son approche documentaire dont le réalisateur semble mieux maîtriser le format.
L'Obs
On a parfois l'impression d'un film inachevé, un peu foutraque, mais l'empathie est totale. Impossible de ne pas aimer Menashé (nom du personnage et de l'acteur, Ménashé Lustig), confus, gros, mal dans sa peau, et d'une sincérité totale.
Le Monde
Ce premier film de fiction tourné en yiddish doit son originalité à son immersion dans un milieu peu souvent montré au cinéma, observant avec soin ses moeurs et ses rites. (... ) Son défaut tient peut-être à son excessive modestie, qui ne lui permet pas de décoller vraiment.