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Votre avis sur A Ghost Story ?
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Manger une tarte, c'est bien, le faire sur un plan fixe de 25 minutes, c'est mieux. Mais on atteint l’art quand on enchaîne sur un magnifique travelling de 7km800 en slow motion. J’exagère mais a peine.
Dommage il y a de bonnes idées, et le film arrive malgré tout a nous transmettre quelque chose, mais c'est lent.. lent... encore un peu, et ça devient une photo.
Je pense que ce film est en fait un court métrage, un court métrage qui s'éternise. 2.5/5
Dommage il y a de bonnes idées, et le film arrive malgré tout a nous transmettre quelque chose, mais c'est lent.. lent... encore un peu, et ça devient une photo.
Je pense que ce film est en fait un court métrage, un court métrage qui s'éternise. 2.5/5
Théo Pouillet
Une heure et demie de pure poésie avec une magnifique histoire d'amour à travers le temps qui saura nous faire voyager au plus près des sentiments d'un couple brisé trop tôt.
Ce film parait au départ déroutant. Après avoir vu de nombreux extraits et critiques soulignant de trop récurrentes longueurs conduisant à l'ennui, j'étais parti avec une étrange et paradoxale envie de vite voir "a ghost story". Finalement je n'ai pas été déçu. Le premier tiers est assez long, avec une caméra fixe, de longs plans imposants un rythme lent, mais une fois les vingt premières minutes digérées (et le plan-séquence de 6 minutes où M ne fait que manger), le film réussi parfaitement à imposer son rythme. On ne s'ennuie pas, bien au contraire, le film réussi à nous captiver et à nous fasciner (en tout cas pur ma part) avec une belle photographie très travaillée et un émerveillement qui s'installe en suivant tel le spectateur que nous sommes le voyage de ce fantôme à travers le temps. On découvre alors de simples moments pris par si et là de l'existence humaine. Ce film marque par sa beauté au plan esthétique mais aussi philosophique. On reste ému devant cette expérience sensorielle, très bien mise en avant par cette ambiance créée qui nous emporte loin jusqu'à la fin aussi bouleversante qu'intelligente...
Ah la la il est tout à fait compréhensible de dire que le film est ennuyeux à mourir car les ingrédients sont là: des plans interminables et des paroles philosophiques incompréhensibles pour les simples d’esprits. Pour ma part j’ai trouvé le film absolument fascinant et touchant. Le film est un chef d’œuvre, il ne ressemble a aucun autre films, il respire la nostalgie la philosophie.
Je conseille donc ce film aux philosophes et aux cinéphiles, les amateurs de Fast and Furious 2 3 et 5 passez votre chemin.
Je conseille donc ce film aux philosophes et aux cinéphiles, les amateurs de Fast and Furious 2 3 et 5 passez votre chemin.
Un moment de cinéma hors-norme, avec un film troublant mais captivant, qui nous laisse rêveur, à nos pensées les plus lointaines.
Je suis fasciné par les critiques mêmes vaguement positives. A part un ennui profond, je n'ai rien éprouvé... Ah si, une irrépressible envie de dormir. Il paraît que le film est empreint de poésie... Certes, chacun trouve ses états de langueur poétique où il peut. Là, même en me forçant, rien n'est venu. L'histoire est sans intérêt. Les idées loufoques, le cinéma américain contemporain en est plein. Certains réalisateurs réussissent à rendre leur idée de départ crédible ou à faire oublier à quel point elle ne l'est pas. Il semble que Hollywood ait usé les sujets plausibles jusqu'à la corde pour avoir recours à des scenarii aussi tordus. Enfin, le film n'a pas dû coûter bien cher. C'est probablement l'argument qui a enlevé le morceau, auprès des producteurs...
Que d'émotions à travers ce film poétique à souhait. Les longues séquences qui composent ce film sont des concentrés de beauté et de sentiments. C'est minimaliste, mais le plaisir éprouvé est pour le coup énorme. Le cinéma c'est quand même bien.
Le reflet de la place de l'Homme sur Terre, l'absence d'un être aimé, tant de choses évoquées dans "A Ghost Story". Prétentieux diront certains, d'autres clameront au génie. Je me rapproche ainsi plus de la 2ème catégorie, tant l'expérience était unique en salles. Souvent juste, un film donc fascinant et qui porte à la réflexion. Cependant, difficile de ne pas en sortir assez démoralisé (chose qui n'est en soit pas mal).
Présenté en 2017 lors du festival de Sundance, A ghost story a obtenu trois prix (Jury, Critique et Révélation) lors du festival de Deauville. Dans ce film, David Lowery met en œuvre un dispositif simple, prodigieux, prodigieusement simple et simplement prodigieux duquel émane une profonde singularité qui n’a d’égale que le minimalisme assumé qui l’anime. À charge aux spectateurs d’effectuer le grand saut dans le vide, là où la dimension spatiotemporelle n’existe plus. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
Ils sont rares ces films où je ne sais pas trop quoi penser après visionnage, et bien celui-ci en fait partie.
Si l’idée de départ était franchement intéressante bien que déjà expérimentée avec Ghost sous des travers plus joyeux, il va s’en dire qu’ici ce n’est pas très “fun� ni causant façon Whoopi Goldberg. Et surtout, cette langueur, cette attente devient parfois insupportable même si elle est joliment filmée.
En effet, la photographie est esthétique et frôle le sublime, la musique ne l’est pas moins, et il se dégage une ambiance complètement hors du temps, décalée, flirtant entre burlesque, contemplation mélancolique, tristesse...Le plus fort je crois dans ce film, c’est que l’on arriverait presque à deviner des émotions sur un drap, vous l’aurez compris, notre fantôme, en errance monotone.
Au final un film singulier, séduisant dans sa forme mais parfois trop précieux, et surtout, je dois l’avouer, un film qui m’a perdu car je n’ai pas tout compris : la vie, la mort, la vie après la mort, la mort qui meurt, la solitude, l’attente, l’oubli et la mort ... Bref une histoire de fantôme à dormir tout court sauf pour ceux qui seront touchés par cette expérience sensorielle poétique mêlant philosophie et métaphysique. Moi je n’ai été touché mais qu’à moitié. Alors, vous en reprendrez bien une part...ou non ?!!
Mon blog de critiques de films : clemapquito.tumblr.com
Si l’idée de départ était franchement intéressante bien que déjà expérimentée avec Ghost sous des travers plus joyeux, il va s’en dire qu’ici ce n’est pas très “fun� ni causant façon Whoopi Goldberg. Et surtout, cette langueur, cette attente devient parfois insupportable même si elle est joliment filmée.
En effet, la photographie est esthétique et frôle le sublime, la musique ne l’est pas moins, et il se dégage une ambiance complètement hors du temps, décalée, flirtant entre burlesque, contemplation mélancolique, tristesse...Le plus fort je crois dans ce film, c’est que l’on arriverait presque à deviner des émotions sur un drap, vous l’aurez compris, notre fantôme, en errance monotone.
Au final un film singulier, séduisant dans sa forme mais parfois trop précieux, et surtout, je dois l’avouer, un film qui m’a perdu car je n’ai pas tout compris : la vie, la mort, la vie après la mort, la mort qui meurt, la solitude, l’attente, l’oubli et la mort ... Bref une histoire de fantôme à dormir tout court sauf pour ceux qui seront touchés par cette expérience sensorielle poétique mêlant philosophie et métaphysique. Moi je n’ai été touché mais qu’à moitié. Alors, vous en reprendrez bien une part...ou non ?!!
Mon blog de critiques de films : clemapquito.tumblr.com
Je poste plutôt une critique sur certaines critiques. Comment peut on reprocher au film d'être long et de s’éterniser alors que c'est exactement son but ? Ce film, en plus d'être magnifique esthétiquement, ose dans son rythme, qui sert complètement l'histoire, ce que peu ont eu le courage d'oser. Je peux comprendre qu'on s'ennuie, non pas parce que le film est mauvais mais juste parce qu'il n'est pas intellectuellement et artistiquement accessible à certains.
Contrairement à ce que peut laisser sous-entendre le titre, "A Ghost Story", même s'il en explore certains thèmes, n'est pas un film d'épouvante. Il est d'ailleurs, après visionnage, assez vain d'essayer de cataloguer le film dans telle ou telle catégorie tant il s'écarte des sentiers battus. Ce qui est sûr en tout cas, c'est que ce projet semblait revêtir une certaine importance pour le cinéaste David Lowery car, au regard de l'originalité et du sens apportés à chacune des images composant ce film, "A Ghost Story" est un véritable OVNI cinématographique.
Film sur le deuil mais aussi trip existentialiste sur l'immuabilité d'un univers avançant contre vents et marées tout en étant une relecture assez bien trouvée de certains poncifs du cinéma d'horreur, la 3ème réalisation du metteur en scène américain brasse les thèmes en un temps record (environ 1h30) . On peut reprocher au film un certain repli sur soi-même qui peut dérouter (une progression narrative parfois chaotique) voir agacé (certains discours assez pompeux sur le rôle de l'être humain dans le grand ordre des choses) mais on ne peut pas retirer au réalisateur la volonté de proposer quelque chose de nouveau à travers une démarche audacieuse beaucoup plus universelle que certains des derniers films de Terrence Malick par exemple ("The Tree of Life" notamment).
Pourtant, certains parti-pris du réalisateur semblent assez discutables, principalement au niveau du rythme de l'ensemble. Choisissant clairement la contemplation à toute autre forme d'artifice, Lowery se perd parfois complètement dans sa propre introspection ce qui donne naissance à des séquences parfois trop longues où l'on observe pendant plusieurs minutes les protagonistes effectuer des gestes aussi banals que manger une tarte. Alors certes, rien n'est laissé au hasard et chacune de ces scènes renvoient toujours à quelque chose de plus grand mais on se lasse parfois du manque d'énergie transmis par l'ensemble.
Pour certains de ses plans, véritablement magnifiques, pour le caractère très personnel et à la fois universel de l'oeuvre, "A Ghost Story" mérite d'être vu même si l'homme derrière la caméra se laisse parfois aller à une contemplation un peu trop intense de son nombril.
Film sur le deuil mais aussi trip existentialiste sur l'immuabilité d'un univers avançant contre vents et marées tout en étant une relecture assez bien trouvée de certains poncifs du cinéma d'horreur, la 3ème réalisation du metteur en scène américain brasse les thèmes en un temps record (environ 1h30) . On peut reprocher au film un certain repli sur soi-même qui peut dérouter (une progression narrative parfois chaotique) voir agacé (certains discours assez pompeux sur le rôle de l'être humain dans le grand ordre des choses) mais on ne peut pas retirer au réalisateur la volonté de proposer quelque chose de nouveau à travers une démarche audacieuse beaucoup plus universelle que certains des derniers films de Terrence Malick par exemple ("The Tree of Life" notamment).
Pourtant, certains parti-pris du réalisateur semblent assez discutables, principalement au niveau du rythme de l'ensemble. Choisissant clairement la contemplation à toute autre forme d'artifice, Lowery se perd parfois complètement dans sa propre introspection ce qui donne naissance à des séquences parfois trop longues où l'on observe pendant plusieurs minutes les protagonistes effectuer des gestes aussi banals que manger une tarte. Alors certes, rien n'est laissé au hasard et chacune de ces scènes renvoient toujours à quelque chose de plus grand mais on se lasse parfois du manque d'énergie transmis par l'ensemble.
Pour certains de ses plans, véritablement magnifiques, pour le caractère très personnel et à la fois universel de l'oeuvre, "A Ghost Story" mérite d'être vu même si l'homme derrière la caméra se laisse parfois aller à une contemplation un peu trop intense de son nombril.
J’ai reçu une claque. Une claque lente, certes, mais une claque quand même.
A ghost story se lance dans le quotidien d’un fantôme observant le vivant de sa veuve. On y découvre alors le quotidien d’un fantôme qui se traduit surtout par une (très) longue attente et une incapacité à interagir avec le vivant.
A ghost story est un film lent, très lent. Tout le monde se souvient de la scène de la tarte qui dure 5 bonnes et longues minutes. À mon sens, ce parti pris est indispensable pour assurer la cohérence avec la narration qui souhaite mettre en avant le temps qui passe tranquillement mais des sentiments qui restent. Il s’agit d’une lenteur indispensable à la fois frustrante et nécessaire pour découvrir la dimension poétique de l’œuvre, qui nous pousse à remettre en question la notion de vie, de temps et de mort, bien entendu. La mise en scène du fantôme est très enfantine et symbolique de l’idée que nous nous faisons du fantôme au cinéma. Une façon de faire passer une idée sans l’exprimer verbalement. De surcroît, l’émotion du fantôme est totalement absente : on ne voit pas son visage, sa gestuelle est très limitée et il est bien entendu muet. Dans cette démarche, Lowery nous pousse à nous identifier à ce personnage, à se demander ce que le défunt ressent en tant que spectateur des scènes qu’il aurait pu/du vivre.
Sans tomber ni dans le voyeurisme ni dans une niaise romance post-mortem, j’ai ressenti une forme de douceur couplée avec un brin d’angoisse en essayant d’imaginer l’impuissance des personnages.
Techniquement, A ghost story brille par sa simplicité et par une parfaite maîtrise des plans qui donnent beaucoup de sens à la narration. Le format presque carré reste surprenant nous rappelle sans cesse que ce film fait preuve d’une singularité assumée. J’ai pu lire sur une autre critique que ce format rappelait le Polaroïd, photographie donc qui amplifie l’idée du temps qui se fige mais de l’image qui traverse les âges.
A ghost story assume parfaitement ses choix, c’est sans doute pour cela que la critique a autant de mal à trouver un terrain d’entente. C’est à mon sens ce qui rend l’œuvre d’autant plus intéressante car elle alimente le débat.
Un film à voir donc car il ne laissera personne insensible.
Une mention spéciale pour la musique qui est excellente et colle parfaitement avec l’ambiance du film.
A ghost story se lance dans le quotidien d’un fantôme observant le vivant de sa veuve. On y découvre alors le quotidien d’un fantôme qui se traduit surtout par une (très) longue attente et une incapacité à interagir avec le vivant.
A ghost story est un film lent, très lent. Tout le monde se souvient de la scène de la tarte qui dure 5 bonnes et longues minutes. À mon sens, ce parti pris est indispensable pour assurer la cohérence avec la narration qui souhaite mettre en avant le temps qui passe tranquillement mais des sentiments qui restent. Il s’agit d’une lenteur indispensable à la fois frustrante et nécessaire pour découvrir la dimension poétique de l’œuvre, qui nous pousse à remettre en question la notion de vie, de temps et de mort, bien entendu. La mise en scène du fantôme est très enfantine et symbolique de l’idée que nous nous faisons du fantôme au cinéma. Une façon de faire passer une idée sans l’exprimer verbalement. De surcroît, l’émotion du fantôme est totalement absente : on ne voit pas son visage, sa gestuelle est très limitée et il est bien entendu muet. Dans cette démarche, Lowery nous pousse à nous identifier à ce personnage, à se demander ce que le défunt ressent en tant que spectateur des scènes qu’il aurait pu/du vivre.
Sans tomber ni dans le voyeurisme ni dans une niaise romance post-mortem, j’ai ressenti une forme de douceur couplée avec un brin d’angoisse en essayant d’imaginer l’impuissance des personnages.
Techniquement, A ghost story brille par sa simplicité et par une parfaite maîtrise des plans qui donnent beaucoup de sens à la narration. Le format presque carré reste surprenant nous rappelle sans cesse que ce film fait preuve d’une singularité assumée. J’ai pu lire sur une autre critique que ce format rappelait le Polaroïd, photographie donc qui amplifie l’idée du temps qui se fige mais de l’image qui traverse les âges.
A ghost story assume parfaitement ses choix, c’est sans doute pour cela que la critique a autant de mal à trouver un terrain d’entente. C’est à mon sens ce qui rend l’œuvre d’autant plus intéressante car elle alimente le débat.
Un film à voir donc car il ne laissera personne insensible.
Une mention spéciale pour la musique qui est excellente et colle parfaitement avec l’ambiance du film.
Thibault F.
Une claque. Qu'on aime ou qu'on déteste, comment pouvons-nous rester insensibles face à A Ghost Story ? On peut lui soutirer tous les défauts du monde : trop "Sundance", trop "philosophique", trop "gnagnan", trop "Terrence Malick"... Mais on ne peut pas lui reprocher d'apporter - avec une trame narrative classique - un vent de fraîcheur dans le cinéma indépendant. Par exemple, si on retrouve des thématiques similaires chez Malick (la famille dans un sens global, la vie et la mort...), je constate que l'exécution est plus intelligente et prometteuse du côté de l'illustre inconnu, David Lowery. Personnage dont mon attention sera plus conséquente avec ses productions futures. Ce film véhicule une telle émotion qu'on ressent une certaine douleur. Celle de se dire que cela va nous arriver. A tout les êtres vivants. Un moment ou un autre, la séparation. Une douleur immense. Ce que j'apprécie aussi, c'est le fait de le raccrocher au quotidien et non à la religion. Un piège dont beaucoup de cinéaste font l'erreur. En effet, la religion n'est pas universel et donc plus difficilement atteignable pour les spectateurs comme moi - sans identité religieuse à proprement parlé. De plus, l'adoption d'un point de vue unique - celui de Casey Affleck - renforce le côté atypique mais aussi très personnel de l'expérience. L'image du fantôme - peint comme le constitue la mémoire collective - est une réussite artistique et émotionnelle sans égard. Sans la parole, ni le regard, nous nous prenons d'affection pour lui. Une prouesse. Du côté de la technique, plusieurs plans sont sublimés par une photographie émouvante et qui ne tombe jamais dans la facilité. Les émotions sont bien présentes mais ne sont jamais forcés. A Ghost Story est donc une fable aussi fascinante que troublante sur la séparation d'un proche. Emportant avec lui des atouts techniques indéniables et ce, malgré quelques confessions économiques, c'est une oeuvre magistrale, touchante qui marque avec certitude le cinéma de cette décennie. Un chef d'oeuvre en tout point d'une qualité rarissime.
putain c'est pas possible je l'ai vu cette après midi et bordel j'aurai tellement aimé voir ce film au cinéma je regrette énormément, ce film m'a retourné le cerveau et le coeur aussi j'arrête pas de penser depuis tout à l'heure j'arrête pas de pleurer aussi. Je n'ai jamais reçu autant d'émotions durant un film. Il m'a complètement détruit je peut pas penser à autre chose j'y arrive pas.
C'est magnifique les acteurs sont géniaux, la mise en scène les plans.
J'ai eu des frissons, j'ai versé des larmes surtout durant, pour moi l'une des meilleures scènes du cinéma la scène avec le casque et la musique là putain ça m'a brisé le coeur.
Je peux pas comprendre qu'on n'aime pas ce film il y a tellement de truc qui s'est passé dans ma tête quand je l'ai vu des pensées sur la vie sur l'humanité et sur tout se que l'écrivain à voulu dire.
Beaucoup de gens ont juste dit "c'est de la merde c'est long, puis la scène avec la tarte j'me suis fait chier"
oh mon dieu c'est pas possible je comprend pas les gens comme ça c'est incroyable alors ok il n'y avait pas beaucoup de dialogue mais les images suffisent à elles mêmes putain. Puis la scène avec la tarte perso j'ai adoré.
Ce sont ce genre de film qui me font tomber amoureuse du cinéma. Regardez le svp laisser tout, votre téléphone, les réseaux sociaux, votre vie et juste appréciez et laissez vous emporter.
C'est magnifique les acteurs sont géniaux, la mise en scène les plans.
J'ai eu des frissons, j'ai versé des larmes surtout durant, pour moi l'une des meilleures scènes du cinéma la scène avec le casque et la musique là putain ça m'a brisé le coeur.
Je peux pas comprendre qu'on n'aime pas ce film il y a tellement de truc qui s'est passé dans ma tête quand je l'ai vu des pensées sur la vie sur l'humanité et sur tout se que l'écrivain à voulu dire.
Beaucoup de gens ont juste dit "c'est de la merde c'est long, puis la scène avec la tarte j'me suis fait chier"
oh mon dieu c'est pas possible je comprend pas les gens comme ça c'est incroyable alors ok il n'y avait pas beaucoup de dialogue mais les images suffisent à elles mêmes putain. Puis la scène avec la tarte perso j'ai adoré.
Ce sont ce genre de film qui me font tomber amoureuse du cinéma. Regardez le svp laisser tout, votre téléphone, les réseaux sociaux, votre vie et juste appréciez et laissez vous emporter.
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