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    A Ghost Story
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    266 critiques spectateurs

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    yohanaltec
    yohanaltec

    97 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2018
    A Ghost Story est probablement le film le plus fou de l’année 2017. Au vu du pitch et de la bande annonce, on se demande si le film est une caricature ou un film sérieux. C’est en réalité un long-métrage profond sur la fuite du temps, sublimé par sa magnifique photographie. On regrettera le fait que le film soit presque complètement silencieux et que les personnages soient aussi abstraits. Néanmoins , le pari d’utiliser un drap pour illustrer la figure du fantôme est un pari réussi, provoquant chez le spectateur des sentiments contrastés par rapport à cet être invisible. Un projet original bien que souffrant de défauts évidents.
    Eric MarceL
    Eric MarceL

    69 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2018
    L'idée me semblait rafraichissante... reprendre l'imagerie puérile du fantôme sous drap et nous parler d'amour.... et puis le casting aussi, ils sont beaux les deux, ils sont modernes... Et puis doucement mais sûrement ce n'est pas une histoire que je vois se dérouler c'et une mise en imagé et en son (beau par ailleurs) d'un réalisateur, ce n'est pas une histoire racontée par des personnages mais des comédiens qui jouent, qui ne parlent pas ou beaucoup... En fait j'ai assisté à un étalage de savoir faire de techniciens maniérés autour d'un sujet qui aurait pu mais n'a pas fonctionné du tout à mes yeux curieux. Tout sonne faux, le cadre, le montage, les acteurs qui posent et jouent et débitent leurs dialogues sans jamais toucher, émouvoir ou transpercer spoiler: (de longs silences suivi par un monologue narcissique et agaçant)
    ... Et j'en suis bien peiné, j'aurais aimé les aimer comme je les ai aimé s'enlacer au début spoiler: mais voilà tout est déjà dans cette étreinte de début : elle est belle mais sonne faux, elle est maniérée, posée, millimétrée mais ne respire pas la beauté de la vie
    . Les seuls qui respirent la beauté de la vie sont les oiseaux, Leurs chants sont merveilleux et m'ont bercé jusqu'au bout. spoiler: Et au bout il y a tout de même cette fin que j'ai aimé et sauvé le reste d'une déception cousue de fil blanc...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 décembre 2017
    pour psy only !!
    le réalisateur s écoute s écoute s écoute !!
    dommage il manque peu de choses pour en faire un chef chef d oeuvre mais cela ne décolle jamais !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 décembre 2017
    On avait tout vu comme effet pour représenter les fantômes au cinéma, David Lowery décide de revenir à la base : le drap avec deux trous pour les yeux de notre enfance. Basique, mais tellement efficace. FOND : 3,8 – Je parlais de simplicité, en réalité ce n’est qu’une simplicité de surface sur le fond. Le film raconte la quête d’un fantôme venu « hanter » (pas dans le sens horrifique du terme) sa maison pour accompagner sa compagne dans le deuil. Ça, c’est la surface. En profondeur, ce film aborde le deuil, mais également la solitude, la mort et ce qui se passe après, il aborde notre existence sur cette Terre et ses raisons, les traces que nous laissons… spoiler: (bref, tout le discours du prédicateur dans la scène de la fête).
    En réalité ce film est 42, la réponse à la grande question sur la vie, l’univers et tout le reste (d’après le Guide du voyageur galactique de Douglas Adams) ! Ni plus, ni moins. Tout cela enrobé donc de simplicité, surtout dans le traitement des personnages. Ils ont très peu de dialogue, ils n’ont même pas de nom (mis à part M et C) pourtant, ils excellent à exprimer leurs sentiments qu’avec leur gestuelle ou leurs yeux (ou sans d’ailleurs). Casey Affleck (C) arrive à faire passer tellement plus d’émotion avec un drap sur la tête que son frère en costume de Batman, c’est assez fou. Rooney Mara (M) signe une bonne prestation, et ce n’est pas de la tarte ! (ahah) Le personnage du prédicateur (Will Oldham) et son monologue sont aussi très intéressants. Il y a toutefois une incohérence temporelle tout à fait volontaire mais qui est à mon sens, mal amenée ou expliquée. spoiler: Pourquoi cette boucle temporelle ? Pourquoi elle termine lors du saut dans le vide et commence par les pionniers ?
    Pour résumer, A Ghost Story est un 2001 : A Space Odyssey plus concret et (attention, ce n’est que mon avis personnel) beaucoup plus touchant. FORME : 4,0 – Là encore, de la simplicité. C’est un film minimaliste, cela ne signifie pas qu’il s’agit d’un film fait à l’arrache. Au contraire, il y a une recherche créative sur chaque plan et la beauté du film est justement de ne pas vous l’exposer en pleine face et de rendre tout cela si simple. David Lowery a joué la carte du film indépendant, accentuée par le format de l’image : du 4/3 avec des bords légèrement incurvés ce qui donne l’impression de regarder des vignettes de vieux projecteurs ou des polaroids. Cette image quasi-carré compresse les personnages dans leurs environnements, ils sont à l’étroit et nous avec. Il y a énormément de plans fixes (simples mais tellement bien cadrés) et plusieurs (très) longs plans-séquences. Malgré une durée assez courte (1h32), ces techniques donnent une impression de longueur et de lenteur (illustrant évidemment la solitude des personnages, l’expression du temps qui passe etc). La lumière globalement très froide et peu saturée participe à cette atmosphère prenante, tout comme les musiques et les effets sonores de Daniel Hart qui sont sublimes. Malgré les thèmes « surnaturels » abordés dans le film, peu de gros effets spéciaux sont utilisés. David Lowery joue davantage sur les plans de coupe, donnant une nouvelle fois un côté indé et minimaliste. Il y a toutefois cet effet de spoiler: fenêtre dans l’hôpital
    qui m’a laissé perplexe et qui n’est ni réutilisé dans le film, ni même expliqué. Seule fioriture de tout le film, le reste des effets spéciaux (parce qu’il y en a quelque uns évidemment) sont dissimulés sous cette belle couche de simplicité poétique. Bonus acteur : NON ; Malus acteur : NON ; Total : 3,9
    mondidi
    mondidi

    1 abonné 53 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 décembre 2017
    On craint les plans interminables et il y en a un qui vaut sont pesant de cacahuètes, sans doute une épreuve à passer, mais passé cette "épreuve" la récompense, un tourbillon temporel éblouissant au rythme lent d'un fantôme spectateur de sont absence, merveilleux.
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 décembre 2017
    Après un « Peter et Elliott le Dragon » en phase avec nos attentes, David Lowery revient aux commandes d’une surprise de qualité. Il fallait peu de moyen pour mettre en place une dramaturgie aussi forte émotionnellement. Essentiellement concentrer sur l’instinct du spectateur et de sa vue, on partage un sentiment que l’on ressent au moins une fois dans sa vie. La mort est le témoin de l’oubli et du pardon. Tout ce qu’il y a de religieux, nous consentons à en accepter la métaphore et toutes les nuances qui l’accompagnent. Le sens de la vie mérite une étude entière et chaque personne aura droit à sa vision des choses. Lorsqu’il s’agit de déterrer tout ce qu’il y a après la vie, tout n’est qu’utopique. Mais dans ce fossé abstrait, réside une attention plus poétique et le réalisateur s’en empare avec un style bien épuré, sans sombrer dans un gimmick fastidieux. Ainsi, il réinvente ce qu’est un fantôme, il réinvente son histoire.

    Casey Affleck et Rooney Mara forment un couple passionné et mélancolique, aux désirs limités. Leur identité ne nous est pas révélée, mais cela importe peu face à ce qui compte vraiment. Ce n’est pas la complicité qui les lie, c’est bien plus profond. Il s’agit de découvrir les vestiges de souvenirs perdus et l’empreinte qu’on laisse derrière soi. Après la mort de l’homme, son esprit hante les murs de son foyer. Spectateur du désastre que sa disparition a causé, il est devenu, aussi bien un fantôme du passé qu’un fantôme du présent. Le témoignage qu’il laisse est dépourvu de dialogue. Les longues séquences sont ici pour alourdir le fardeau de l’absence, décrivant le malheur laissé sur les individus en général. Au chronomètre, le choix semblerait ambigu, mais le résultat propose une lecture pertinente du deuil permanent de la femme et son mari. Bien que son silence en impose, on peut ressentir le chagrin qu’il partage avec sa partenaire, submergée de tristesse. On parvient peut à peu à se libérer frénétiquement d’une peine insoutenable pour passer davantage à un regard posé sur la réflexion humaine.

    Le temps file et n’attend pas. Il fallait prévoir un voyage sur plusieurs générations afin de mieux accepter les nuances qui préoccupent la solitude de ce fantôme désemparé. Presque intemporel et presque démuni de son identité, ce dernier figure souvent en arrière-plan, afin que l’on fasse passer l’émotion avant tout. L’action que l’on illustre est souvent une fresque de la peine qu’il subit. Inerte, il dévoile pourtant un fort potentiel qui lance une dynamique d’introspection bien réfléchie. L’évolution, c’est tout ce qui change autour de lui. Dans l’esprit, il reste prisonnier de sa conscience et des responsabilités qu’il a perdues. De plus, il reste cloisonné dans un paradoxe, indépendant de sa volonté, comme si son châtiment était de devoir réparer quelque chose ou de se remémorer quelque chose.

    La musique utilisée est loin d’être monolithique. Chaque parole est pesée avec une sensibilité, illustrant tout une impuissance dans le drame. Elle induit, en quelque sorte, un troisième personnage où il narre la déplorable avancée du désespoir et du regret. Cela rend la photographie plus crédible et le format adapte non pas son style par rapport à l’époque. Le temps est à considérer sur sa durée interminable plutôt que sur un événement ponctuel qui n’aura pas de raison d’exister plus longtemps. Que reste-t-il donc après la mort ? Une question qui ne trouvera que d’autres questions en réponse et ainsi de suite.

    Le pari risqué que fait Lowery s’avère payant et « A Ghost Story » devient une histoire émouvante, au-delà de toute la spiritualité qu’elle dégage. Sans épouvante, sans regret, le film convainc autant par sa simplicité d’écriture que dans son effort à combiner les arcs temporels afin de définir le message que recherche le disparu. Au final, le personnage qui se trouve sous le drap blanc déjouent les codes, malgré son dynamisme et sa sensibilité induits dans la passivité. Il n’y a que des mots pour décrire, mais rien ne remplacera un visionnage attentif afin de se laisser surprendre et séduire. Sensoriel au plus haut point, l’évasion de l’esprit est garantie et ouvrira de nouvelles portes que l’on considère peu, alors que le plus petit détail peu changer la donne. Il est rare, en ce moment, de constater un tel niveau d’emprise sur l’émotion. L’expérience vaut le détour et finira par hanter notre âme, qu’il soit cinéphile ou non.
    Shinny
    Shinny

    40 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2017
    Un début très difficile à accrocher puis au tiers du film on commence à rentrer dedans à ne plus le trouver prétentieux mais intrigant jusqu'à la fin .... j'en ressors avec l'envie d'y repenser d'y réfléchir pr saisir le sens caché. des acteurs superbes et de très belles mises en scène même si parfois un peu trop à la mode du moment.
    FFabienRR
    FFabienRR

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 janvier 2018
    Je poste rarement un commentaire Mais cette fois-ci c'est pour protester contre Les critiques qui ne voient visiblement pas Les mêmes films que nous !

    C'est très moyen cette histoire de fantôme ... voire mauvais Mais comme il y a une ambiance quand même (un peu), une belle actrice et La critique qui m'a fait espérer un truc tout le long ... ah oui voilà c'est pour ça que je n'ai pas mis 1 ou 1/2 !!

    Bref, ceux qui aiment les films qui font peur à cause d'un fantôme, n'y allez pas !

    En plus le pauvre fantôme n'est pas logique ou cohérent - pourquoi se manifester envers ceux qui n'ont pas d'importance ?

    Rien compris je suppose si ce n'est le sous titre du filme : avec le temps tout finit par arriver ? Oui même dès full nuls finissent par avoir du succès !
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    54 abonnés 420 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 décembre 2017
    Un jeune couple amoureux vit dans une maison auquel Il tient et qu'Elle voudrait quitter. Lorsqu'il meurt, victime d'un accident de voiture, il est condamné à rester dans cette maison, sans elle, en l'état de fantôme.

    Lowery donne à son histoire de fantôme une esthétique faussement épurée qui s'avère très marquée. Elle sert ou dessert le film selon qu'on trouvera cette dernière bienvenue ou lourde et ridicule. A ghost story, pauvre en dialogue (à l'exception d'un monologue indigeste), sans événement et d'une grande lenteur narrative, repose essentiellement sur elle. Avec ce dépouillement plus prétentieux que puissant, le réalisateur semble miser beaucoup sur l'imaginaire du spectateur pour donner un peu d'épaisseur à son film.

    C'est un peu court pour ce film qui semble aussi long qu'une vie passée à hanter le passé.
    Cindy B
    Cindy B

    13 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 novembre 2020
    un film époustouflant. une fois qu'on se met au rythme du film, on entre dans l'histoire pour ne plus avoir envie qu'elle se termine. ce film est triste mais d'une tristesse réconfortante, telle la mélancolie. cette histoire, il fallait y penser, parler des fantômes sans aller dans le cinéma d'horreur.
    C'est de l'émotion à l'état pur et c'est une proposition cinématographique unique!
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    46 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 décembre 2017
    C'est la première fois que je vois sortir des spectateurs au bout de 30 minutes de film et pour dire vrai c'est un véritable somnifère les scènes sont longues et peu actractives je ne le recommande pas,
    Requiemovies
    Requiemovies

    205 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2017
    Après s’être fait remarqué avec Les Amants du Texas, David Lowery s’est vu offrir par les studios Disney l’adaptation de Peter et Elliott le Dragon. Etrange décision d’accepter pour un auteur indépendant les clés d’une adaptation mainstream, encore plus étrange quand David Lowery revient avec insistance au cinéma d’auteur en cette fin d’année, avec Ghost Story, film mystique et drapé d’émotions hypnotisantes. Le film puise sa force à travers la simplicité d’un récit où l’émotion valse avec la condition humaine. Le minimalisme et la lenteur de la mise en scène composent ce long-métrage que certains commentateurs auraient préférés voir comme un court, voire faire lorgner l’ambition de Lowery vers celle de Malick (réducteur ! Et, facilité d’un raccourci « made in Texas ») Or, c’est justement tout l’art de cette méditation métaphysique, emprunte de sincérité et simplicité que propose David Lowery. Les nappes sonores du film remplacent de longs dialogues qui auraient été inutiles et le côté contemplatif sié parfaitement au film, quitte à le rapprocher de la performance vidéo. Ici, chaque cadre (on est qui plus en format 1.33) est parfait dans l’équilibre qu’il contient entre la photographie élégante de chaque plan et une composition de mise en scène fantomatique et envolée. Passé la première moitié, les quelques ellipses majeures et impressionnantes du film appuient encore plus l’ampleur de la lecture du deuil que propose le réalisateur. A travers son procédé minimaliste, un drap, deux trous, David Lowery formalise l’essentiel de son récit et invite le spectateur à la contemplation comme à la réflexion. En outre, la grâce que déploie le duo d’acteurs Affleck-Mara ne fait qu’accroître et contribuer à la réussite de ce conte philosophique sur « l’après ». Passé les (magnifiques) longs premiers plans séquences, l’invitation acceptée, le récit proposé hypnotise par sa singularité, sa douceur et sa poésie si originales, tant et si bien que ce Ghost Story finit par s’imposer comme un des films les plus touchants de 2017 et probablement un des meilleurs films tout court en cette fin d’année.
    requiemovies.over-blog.com
    lericou34
    lericou34

    3 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 décembre 2017
    Voilà le film de fantôme le plus soporifique que j'ai vu même si il y a plus désagréable que de s'endormir devant Rooney Mara. Contemplatif de la première a la dernière image ce film est une arnaque et les intellos qui crieront au génie ses complices. A ne conseiller qu'à ceux qui ont du mal a trouver le sommeil. Une méditation sur la perte de l'être cher, sur la mort ? Peut être mais sans parti pris et quand il veut en prendre un c'est pire. Un Ghost sans Story.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 décembre 2017
    Une vision singulière, un ovni, un objet artistique, un chef d'œuvre. Mais comme tout objet de ce genre on rentre ou pas dans l'univers.
    Reverdy
    Reverdy

    20 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 décembre 2017
    Il y a une poésie dans "a ghost story", une attention à l'essentiel : le temps. Nous sommes du temps sur deux pattes, et le passé, le présent, le futur, forment une durée qui est bien retranscrite dans ce petit chef d’œuvre. Le film ose la contemplation, il prend son temps pour faire précisément une réflexion sur le temps. On pense à Pascal et la misère de l'homme : "l'homme est un roseau, le plus faible de la nature mais un roseau pensant... il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer (pour le personnage du film : un accident de voiture). Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien". C'est donc un film métaphysique, contemplatif, qui marque celui qui le voit, peut-être pour l'éternité...
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