Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le premier film d’Amman Abbasi nous cueille: il trimballe un spleen déchirant et nous balade dans la belle Arkansas, en mariant naturalisme et formalisme…
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Inattendu, pétri d'urgence, de mélancolie, de rage et de spleen, "Stupid Things" est un petit film, doublé d'un petit miracle.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Stupid Things" rappelle que derrière les blockbusters, les superhéros, les superstars, les superbudgets et le superprofessionnalisme, le cinéma américain bouge encore et filme avec fraîcheur, fragilité et sensibilité les habitants oubliés de ce pays.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Le film évite tous les écueils du genre. Court - 1h15 -, émouvant, "Stupid Things" ne quitte jamais son sujet : le travail de deuil que doit mener le jeune Dayveon, douze ans, confronté à la mort de son frère. La violence tant redoutée est laissée hors-champ.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Plutôt que d'arpenter le terrain attendu du réalisme pour traduire ce désoeuvrement, Abbasi préfère celui du vagabondage du récit, ne sacrifiant jamais à l'efficacité facile.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un magnifique drame naturaliste dans la grande tradition des productions suddistes indépendantes qui ont le blues.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Il suffit d’un plan-séquence et de quelques mots scandés pour être d’emblée touché par la mélancolie d’un jeune adolescent dans sa petite ville de campagne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Sur un fil narratif plus classique, car concentré sur un été, Stupid Things se distingue pourtant par une prise de risque plus forte au niveau des choix de photographie et de montage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un regard un peu ironique sur l’"Americana" traditionnelle transcende ce film réaliste et atmosphérique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si le cinéaste refuse de signer un film à message, il n’en montre pas moins la fascination de ces jeunes noirs américains pour les armes à feu dont ils sont les premières victimes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Portrait d’un jeune Afro-Américain désœuvré qui bascule dans la violence malgré lui, ce récit initiatique transcende un sujet rebattu grâce à la puissance de sa mise en scène impressionniste traversée de moments de poésie envoûtants et inespérés.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Grâce à un casting de talentueux acteurs non professionnels, Amman Abbasi signe un premier long métrage réussi autour du mal-être adolescent.
Libération
par Jérémy Piette
Dans un long métrage parfois trop stylisé, Amman Abbasi filme sans caricature l’errance adolescente de Dayveon, attiré par une bande de son quartier.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
(...) Amman Abbassi éprouve le besoin - par le cadrage, par les couleurs, par le format choisi - de célébrer le réel. Certains y voient de l'afféterie, nous préférons y voir une forme de respect.
Première
par Frédéric Foubert
On sent ici ou là les coutures, l'inachèvement, un peu d'amateurisme. Mais quand même : une belle promesse américaine.
Télérama
par Samuel Douhaire
Un peu à la manière de Barry Jenkins dans Moonlight, Amman Abbasi joue sur le contraste entre la violence du contexte social et la douceur de la mise en scène, teintée d’onirisme. Des débuts parfois maladroits — en partie à cause du jeu de certains des comédiens non professionnels — mais prometteurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Amman Abbasi, dont c'est le premier long-métrage, filme la pauvreté, la langueur et la violence sourde de l'Amérique profonde avec une absence de moyens qu'il retourne tant bien que mal à son avantage : l'amateurisme des acteurs leur confère un surcroît de vérité, les embardées lyriques plus ou moins adroites contournent les clichés. Encore vert mais prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce premier long-métrage s’inscrit dans un cinéma indépendant dont il reproduit tics et afféteries visuelles. Sa description d’une ville alanguie et d’une bande de gangsters mal dégrossis offrait pourtant des pistes stimulantes.
L'Express
par A.L.F.
L'archétype du film de festival, au sens négatif du terme.
Le Figaro
par La Rédaction
Pour son premier film, le jeune Amman Abbasi signe une chronique morne et morose.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
CinemaTeaser
Le premier film d’Amman Abbasi nous cueille: il trimballe un spleen déchirant et nous balade dans la belle Arkansas, en mariant naturalisme et formalisme…
Ecran Large
Inattendu, pétri d'urgence, de mélancolie, de rage et de spleen, "Stupid Things" est un petit film, doublé d'un petit miracle.
Les Inrockuptibles
"Stupid Things" rappelle que derrière les blockbusters, les superhéros, les superstars, les superbudgets et le superprofessionnalisme, le cinéma américain bouge encore et filme avec fraîcheur, fragilité et sensibilité les habitants oubliés de ce pays.
Paris Match
Le film évite tous les écueils du genre. Court - 1h15 -, émouvant, "Stupid Things" ne quitte jamais son sujet : le travail de deuil que doit mener le jeune Dayveon, douze ans, confronté à la mort de son frère. La violence tant redoutée est laissée hors-champ.
Studio Ciné Live
Plutôt que d'arpenter le terrain attendu du réalisme pour traduire ce désoeuvrement, Abbasi préfère celui du vagabondage du récit, ne sacrifiant jamais à l'efficacité facile.
aVoir-aLire.com
Un magnifique drame naturaliste dans la grande tradition des productions suddistes indépendantes qui ont le blues.
Bande à part
Il suffit d’un plan-séquence et de quelques mots scandés pour être d’emblée touché par la mélancolie d’un jeune adolescent dans sa petite ville de campagne.
Critikat.com
Sur un fil narratif plus classique, car concentré sur un été, Stupid Things se distingue pourtant par une prise de risque plus forte au niveau des choix de photographie et de montage.
L'Humanité
Un regard un peu ironique sur l’"Americana" traditionnelle transcende ce film réaliste et atmosphérique.
La Croix
Si le cinéaste refuse de signer un film à message, il n’en montre pas moins la fascination de ces jeunes noirs américains pour les armes à feu dont ils sont les premières victimes.
Le Journal du Dimanche
Portrait d’un jeune Afro-Américain désœuvré qui bascule dans la violence malgré lui, ce récit initiatique transcende un sujet rebattu grâce à la puissance de sa mise en scène impressionniste traversée de moments de poésie envoûtants et inespérés.
Les Fiches du Cinéma
Grâce à un casting de talentueux acteurs non professionnels, Amman Abbasi signe un premier long métrage réussi autour du mal-être adolescent.
Libération
Dans un long métrage parfois trop stylisé, Amman Abbasi filme sans caricature l’errance adolescente de Dayveon, attiré par une bande de son quartier.
Positif
(...) Amman Abbassi éprouve le besoin - par le cadrage, par les couleurs, par le format choisi - de célébrer le réel. Certains y voient de l'afféterie, nous préférons y voir une forme de respect.
Première
On sent ici ou là les coutures, l'inachèvement, un peu d'amateurisme. Mais quand même : une belle promesse américaine.
Télérama
Un peu à la manière de Barry Jenkins dans Moonlight, Amman Abbasi joue sur le contraste entre la violence du contexte social et la douceur de la mise en scène, teintée d’onirisme. Des débuts parfois maladroits — en partie à cause du jeu de certains des comédiens non professionnels — mais prometteurs.
L'Obs
Amman Abbasi, dont c'est le premier long-métrage, filme la pauvreté, la langueur et la violence sourde de l'Amérique profonde avec une absence de moyens qu'il retourne tant bien que mal à son avantage : l'amateurisme des acteurs leur confère un surcroît de vérité, les embardées lyriques plus ou moins adroites contournent les clichés. Encore vert mais prometteur.
Le Monde
Ce premier long-métrage s’inscrit dans un cinéma indépendant dont il reproduit tics et afféteries visuelles. Sa description d’une ville alanguie et d’une bande de gangsters mal dégrossis offrait pourtant des pistes stimulantes.
L'Express
L'archétype du film de festival, au sens négatif du terme.
Le Figaro
Pour son premier film, le jeune Amman Abbasi signe une chronique morne et morose.