Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"Fireworks" confirme que le cinéma d’animation japonais récent connaît un renouveau passionnant…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par La Rédaction
Un an après Your Name, Fireworks marque la diffusion en France d’une certaine animation de studio, moins portée sur la beauté graphique comme celle des esthètes de Ghibli que sur le dynamisme et l’ivresse narrative.
L'Humanité
par Vincent Ostria
On a donc, d’un côté, la satisfaction que procure un récit drôle et émouvant ; de l’autre, le plaisir esthétique offert par ces jeux visuels aussi hypnotiques que les feux d’artifice.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Lloyd Chéry
La musique de Satoru Kosaki et la chanson thème du film, Uchiage Hanabi, de Kenshi Yonezu et DAOKO achèvent d'immerger le spectateur dans cette belle fable.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
"C’est le temps de l’amour, le temps des copains et de l’aventure…" Les premières minutes de "Fireworks" évoquent immanquablement le refrain de Françoise Hardy, la chanson comme le film excellant à dépeindre avec tendresse les délices et les tourments de l’adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Voix du Nord
par La Rédaction
Onirique et touchant.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Grâce à ces audaces formelles et à un récit prenant, "Fireworks" confirme la suprématie nippone sur le genre.
Mad Movies
par Laurent Duroche
L'implication des réalisateurs (...) parvient à élever "Fireworks" au-dessus de sa simple condition de "Your Name-like". Sans le génie mélodramatique et la poésie existentielle de Shinkai, certes, mais avec assez de coeur pour exister par lui-même.
Voici
par Lola Sciamma
Norimichi et Yusuke sont secrètement amoureux de Nazuna. Elle leur lance un défi : une course de natation dont le vainqueur assistera avec elle au feu d'artifice dans la soirée. Mais Nazuna cache un secret... Romantique !
La Croix
par Stéphane Dreyfus
De la même manière que Your Name, le film se perd dans une suite alambiquée de rebondissements interminables, au cours desquels les réalisateurs confondent audaces formelles et artifices de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Marius Chapuis
Lesté d’un scénario pas follement original, "Fireworks" souffre de porter tous les stigmates de la crise de l’animation japonaise : effet de 3D plaqués trivialement, réutilisation de plans, abus du flou et de la surexposition en guise de cache-misère, et application au chausse-pied d’un filtre «façon crayonné» en guise d’apprêt poétique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sylvestre Picard
Même l'animation, assez paresseuse, ne réussit pas à sauver l'affaire malgré la présence au générique de Nobuyuki Takeuchi, animateur sur Le Voyage de Chihiro, Le Château ambulant et Ponyo sur la falaise. On est loin de ces modèles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Mélange incertain d’animation numérique et traditionnelle, cette drôle de fable hésite aussi entre fantastique et chronique du spleen adolescent, sans vraiment convaincre ni dans un genre ni dans l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
"Fireworks" confirme que le cinéma d’animation japonais récent connaît un renouveau passionnant…
Cahiers du Cinéma
Un an après Your Name, Fireworks marque la diffusion en France d’une certaine animation de studio, moins portée sur la beauté graphique comme celle des esthètes de Ghibli que sur le dynamisme et l’ivresse narrative.
L'Humanité
On a donc, d’un côté, la satisfaction que procure un récit drôle et émouvant ; de l’autre, le plaisir esthétique offert par ces jeux visuels aussi hypnotiques que les feux d’artifice.
Le Point
La musique de Satoru Kosaki et la chanson thème du film, Uchiage Hanabi, de Kenshi Yonezu et DAOKO achèvent d'immerger le spectateur dans cette belle fable.
Culturopoing.com
"C’est le temps de l’amour, le temps des copains et de l’aventure…" Les premières minutes de "Fireworks" évoquent immanquablement le refrain de Françoise Hardy, la chanson comme le film excellant à dépeindre avec tendresse les délices et les tourments de l’adolescence.
La Voix du Nord
Onirique et touchant.
Les Inrockuptibles
Grâce à ces audaces formelles et à un récit prenant, "Fireworks" confirme la suprématie nippone sur le genre.
Mad Movies
L'implication des réalisateurs (...) parvient à élever "Fireworks" au-dessus de sa simple condition de "Your Name-like". Sans le génie mélodramatique et la poésie existentielle de Shinkai, certes, mais avec assez de coeur pour exister par lui-même.
Voici
Norimichi et Yusuke sont secrètement amoureux de Nazuna. Elle leur lance un défi : une course de natation dont le vainqueur assistera avec elle au feu d'artifice dans la soirée. Mais Nazuna cache un secret... Romantique !
La Croix
De la même manière que Your Name, le film se perd dans une suite alambiquée de rebondissements interminables, au cours desquels les réalisateurs confondent audaces formelles et artifices de mise en scène.
Libération
Lesté d’un scénario pas follement original, "Fireworks" souffre de porter tous les stigmates de la crise de l’animation japonaise : effet de 3D plaqués trivialement, réutilisation de plans, abus du flou et de la surexposition en guise de cache-misère, et application au chausse-pied d’un filtre «façon crayonné» en guise d’apprêt poétique.
Première
Même l'animation, assez paresseuse, ne réussit pas à sauver l'affaire malgré la présence au générique de Nobuyuki Takeuchi, animateur sur Le Voyage de Chihiro, Le Château ambulant et Ponyo sur la falaise. On est loin de ces modèles.
Télérama
Mélange incertain d’animation numérique et traditionnelle, cette drôle de fable hésite aussi entre fantastique et chronique du spleen adolescent, sans vraiment convaincre ni dans un genre ni dans l’autre.