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Catherine G
1 abonné
23 critiques
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4,0
Publiée le 29 mars 2021
Belle histoire qui fait beaucoup de bien Scénario crédible où transparaissent les étapes de deuil et la souffrance de chaque membre de la famille sans mélodrame. Paysages et photos magnifiques
Netflix a besoin d'un catalogue. Taper dans le moteur de recherche: Larrmoyant, Handicap, Jolie Famille Modèle, Pie qui chante: il devrait sortir ce "Penguin Bloom", également digne à remplir une grille de programmes de chaîne télévisée à la recherche de guimauves à diffuser en milieu d'après-midi. G.Ivin (télé)filme sans aucune autre ambition que de respecter un cahier des charges "grand" public qui ravira le spectateur lambda bien perméable et le distributeur de film bien permissif. Pas sûr que traiter de cette condition du soudain handicap est la meilleure manière d'expliquer ce que ressentent réellement les victimes, tant qu'ici tout apparaît clichés et semble sorti de scénaristes spectateur visiblement pas concernés ou renseignés sur le sujet. Et puis, que dire de la rédemption par cette pie, volatile prétexte à guider les spectateur incrédule et les personnages insipides vers la voie salvatrice, pour conclure de manière mignonne et pathétique cette entreprise désastreuse et ridicule. Mais que va donc faire N.Watts dans cette galère? A y regarder de plus près, elle est aussi productrice et donc également coupable. Adapté d'une histoire vraie, n'aurait-il pas été plus audacieux de se concentrer sur la reconstruction sportive du personnage principal qui nous est balancé juste avant le générique et qui aurait pu faire un vrai sujet de film? Une dizaine de lignes pour une critique qui pourrait se résumer en une seule, pour un film à l'image d'un oiseau voleur qui jacasse pour ne rien dire.
Un bon moment de cinéma tiré d’une histoire vraie en Australie, celle d’une championne de surf victime d’un accident la rendant invalide. L’amitié avec une pie tombée de son nid va l’aider à remonter la pente pour, finalement, redevenir sportive en handisport. Belle composition de Naomi Watts, et la pie choisie, parfaitement apprivoisée, est vraiment craquante. Une belle illustration sur l’’intérêt d’ouvrir les yeux sur la nature qui nous entoure. Seul défaut, un ton parfois un peu larmoyant, mais ça passe.
Un beau film ! C'est beau, c'est touchant. Les acteurs sont bons surtout Naomi Watts qui est parfaite. Les plans sur la mer et la nature sont très beaux.
Décidemment Netflix prend de plus en plus de risque dans ses longs métrages en essayant d’aborder des thèmes différents que les films d’action classiques assez basiques.
Ici donc tout part d’une histoire vraie assez glaçante qui ne peut laisser de marbre fasse au drame vécu par cette famille et plus particulièrement donc par cette maman se retrouvant paralysée.
Naomi Watts comme à son habitude est brillante et bouleversante dans ce rôle de femme meurtrie autant physiquement que psychologiquement
J’ai bien aimé aussi la partition d’Andrew Lincoln tout en retenu et qui prouve qu’il peut être un bon acteur loin de son rôle de chérif de Walking Dead.
L’histoire de cette pie est singulière et les scènes avec l’oiseau sont bouleversantes et drôles et superbement mises en scène
Le film ne dure pas longtemps et c’est tant mieux car on évite tout temps mort et ennuie ce qui n’est pas la généralité à notre époque
Les histoires d’amitié, si on peut les appeler ainsi, entre l’homme et l’animal sont légion sur le grand écran comme sur le petit. En effet, on ne compte plus les films qui mettent en scène ces relations toute particulières au point que c’est presque devenu un sous-genre à part entière (et souvent familial), du cinéma. Que ce soit avec le meilleur ami de l’homme et certainement le plus courant (le culte et larmoyant « Hatchi »), avec les chevaux (« L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux ») ou avec des animaux sauvages comme le lion (« Mia et le lion blanc »), les animaux ont souvent fait le bonheur des salles et des spectateurs. Mais il est bien rare de voir un film mettant en scène la relation entre un oiseau et un humain. Et aussi surprenant que cela puisse paraître, l’histoire de ce « Penguin Bloom » est tirée de faits réels, ce qui a dû motiver les producteurs à la raconter. Malheureusement, si elle en vaut n’importe quelle autre, cette évocation dispose d’un scénario un peu mince qui a du mal à tenir sur toute la durée d’un long-métrage de cinéma. Le drame vécu par cette famille est certes tragique mais cela valait-il la peine d’en faire un film? Heureusement « Penguin Bloom » est court et contient assez de qualités pour passer outre ce postulat quelque peu léger.
En effet, les images et la photographie proposées par le cinéaste australien sont magnifiques. Il est certain que le fait que le décor de cette histoire se déroule dans un endroit paradisiaque aide beaucoup mais il parvient à les magnifier encore plus. Certains plans sont même sublimes, baignés dans une lumière somptueuse. Ensuite, la symbolique du rétablissement de cet oiseau mis en parallèle avec celle, davantage psychologique du personnage joué par Naomi Watts, n’est pas trop appuyée. De plus, « Penguin Bloom » aurait pu verser dans la larme facile et le pathos excessif mais il reste relativement sobre et c’est une gageure. Ce qui ne nous empêche pas d’être ému au détour de quelques séquences. Et cette œuvre dégage une douceur qui fait du bien. On pourrait même dire que cette histoire de résilience et d’acceptation s’avère apaisante, comme un feel-good movie malgré la tristesse apparente du sujet, et distille ses bonnes ondes à travers l’écran. On passe donc un moment agréable devant ce joli petit film qui n’en demeure pas moins quelque peu anecdotique et un peu limité sur le fond.
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”Penguin Bloom” est le type même de film qu’on ne peut qu’aimer. L’histoire d’une petite boule de plumes (une pie) qui va redonner goût à la vie à une jeune mère de famille qui, se retrouvant handicapée (paraplégique suite à une chute pendant des vacances en Thaïlande) et tellement meurtrie par son handicap (d’autant qu’elle était très sportive, débordante d’énergie, hyper active, etc.) malgré une famille aimante, sombrait dans la léthargie ne parvenant même plus à trouver aucun attrait à l’existence. C'est l’histoire d’une renaissance, de la ”nouvelle” acceptation d’un soi qui bien que diminué ne va pas, finalement, lui interdire d’être à nouveau heureuse. Il s’agit en plus d’une histoire vraie car le film n’est autre que l’adaptation du livre de Samantha Bloom ”Penguin Bloom : l'extraordinaire histoire du petit oiseau qui a sauvé une famille” L’histoire de Penguin avait inspiré l’actrice Naomi Watts qui en avait acheté les droits pour le cinéma. Elle a réalisé le film et elle interprète le rôle principal. Il est à noter que Samantha Bloom a été très présente sur le tournage, lequel a eu lieu dans son propre domicile. Passionnée de surf, elle a décroché en 2020 le titre de championne du monde de para surf. Un bien joli film, superbement interprété.
Il ne pas plus ému que ça. C’est un beau film sur l’espoir, la persévérance et l’amour, mais après...
Elle ne fait que s’enfoncer et s’apitoyer sur elle même et c’est énervant. Oui, c’est difficile, je peux comprendre, mais cela reste que c’est chiant de regarder un film qui ne se passe pas grand chose, pour juste voir une femme qui n’arrive pas à voir que tout le monde est affecté.
Après, on ne parlera pas des longueurs ou du manque de sécurité sur le toit, mais en soit c’est juste l’oiseau qui a rendu le film agréable.
Beau film , cette pie qui arrive dans cette famille , celle ci au fond du trou suite à l'accident de la mère et son handicap , objectif reconstruction et vivre , à découvrir.
Tiré de l'histoire vraie d'une championne du monde de paracanoë et de Handi Surf, Penguin Bloom revient sur les conséquences tragiques d'un accident au sein d'une famille. Partis en vacances en Thaïlande, les Bloom se voient impactés par une chute accidentelle de la mère, grande sportive épanouie et débordante d'énergie, lui faisant perdre l'usage de ses membres inférieurs. Leur quotidien se transforme du tout au tout, et alors que l'espoir de jours meilleurs s'amenuise, l'arrivée d'une pie tombée de son nid et ne sachant voler va devenir le symbole d'une renaissance. La réalisation de Glendyn Ivin, dont c'est le deuxième long, aborde ce drame sans en faire trop. Penguin Bloom, c'est avant tout le récit d'une reconstruction, un message d'espoir qui s'évertue à montrer que malgré les coups du sort de la vie, il y a toujours possibilité de se relever. L'animal devient alors l'objet d'attention de toute la famille, guérit la détresse, la colère et la culpabilité et fait office de transition thérapeutique pour faire le deuil d'une ancienne vie et avancer pas à pas vers une reconnexion, une réconciliation avec soi-même. Le parallèle entre ces deux êtres est touchant et original, parfois drôle. C'est un joli film, avec une mise en scène solaire garnie de magnifiques paysages australiens qui invite à l'évasion et à la soif de vivre. Naomi Watts, l'atout émotionnel du film, porte avec justesse cet hymne à la guérison via un personnage à fleur de peau et nuancé. Même si Penguin Bloom parvient à planer légèrement au-dessus de la mêlée des mélodrames Netflix, il n'est pas sans défauts et s'oublie rapidement. Faute à une caractérisation banale voire inexistante des protagonistes secondaires et un côté survolé dans le scénario qui a tendance à trop emprunter des raccourcis. Je trouve aussi que le film manque de scènes fortes et marquantes et reste en surface d'une crise qui aurait pu être plus approfondie.
Une très belle histoire ! L'oiseau est poétique. Si bien qu'il donne à l'homme bienfaits et réconfort. À voir ! Petit bémol, ce film manque d'un bon compositeur.
" Penguin Bloom" diffusé sur Netflix est un drame australien touchant. En effet cette histoire inspirée de la vrai vie de Sam Bloom (quasiment morte après un grave accident) brillamment interprétée par Naomi Watts avec la présence également de Jacki Weaver touche au cœur parfois avec des séquences émouvantes et le réalisateur nous démontre qu'il est important de faire preuve de résilience face aux épreuves de la vie même si le film dans son ensemble ne convainc pas tout à fait.