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𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
145 abonnés
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3,5
Publiée le 28 janvier 2021
Encore un film ou vous pourrez préparer les mouchoirs pour les plus sensibles ! Très accrochant, que ce soit le rythme du film, la famille, le petit oiseau, l'histoire, son sujet... Vraiment très bonne mise en scène. Ce sentiment d'impuissance qu'évoque Naomi Watts est parfaitement bien joué, je l'ai très bien ressenti, en particulier grâce à elle, qui est éblouissante, forte et poignante. C'est pas un rôle facile qu'on lui a proposé, mais comme d'habitude on ressort scotché par les différents rôles qu'elle peut s'attribuer. Belle histoire touchante qui mérite amplement d'être découverte et racontée.
Tirée d'une histoire vraie, cette oeuvre est d'une grande sensibilité sur la capacité de résilience d'une mère de famille terrassée dans un fauteuil après une chute terrible. Naomi Watts est éblouissante mais le film a tendance parfois à dégager un côté un peu trop larmoyant. L'ensemble est quand même de qualité avec cette pie volant presque la vedette à notre héroïne. Sortez vos mouchoirs!
Netflix a besoin d'un catalogue. Taper dans le moteur de recherche: Larrmoyant, Handicap, Jolie Famille Modèle, Pie qui chante: il devrait sortir ce "Penguin Bloom", également digne à remplir une grille de programmes de chaîne télévisée à la recherche de guimauves à diffuser en milieu d'après-midi. G.Ivin (télé)filme sans aucune autre ambition que de respecter un cahier des charges "grand" public qui ravira le spectateur lambda bien perméable et le distributeur de film bien permissif. Pas sûr que traiter de cette condition du soudain handicap est la meilleure manière d'expliquer ce que ressentent réellement les victimes, tant qu'ici tout apparaît clichés et semble sorti de scénaristes spectateur visiblement pas concernés ou renseignés sur le sujet. Et puis, que dire de la rédemption par cette pie, volatile prétexte à guider les spectateur incrédule et les personnages insipides vers la voie salvatrice, pour conclure de manière mignonne et pathétique cette entreprise désastreuse et ridicule. Mais que va donc faire N.Watts dans cette galère? A y regarder de plus près, elle est aussi productrice et donc également coupable. Adapté d'une histoire vraie, n'aurait-il pas été plus audacieux de se concentrer sur la reconstruction sportive du personnage principal qui nous est balancé juste avant le générique et qui aurait pu faire un vrai sujet de film? Une dizaine de lignes pour une critique qui pourrait se résumer en une seule, pour un film à l'image d'un oiseau voleur qui jacasse pour ne rien dire.
Naomi watts est une fois de plus exceptionnelle. Très appréciable de voir Andrew Lincoln dans un rôle comme celui là. Il s'agit d'une histoire vrai, d'une histoire dramatique qui finalement est belle et donne du sens à la vie. J'ai versé ma petite larme je l'avoue.
Beau film plein de sensibilité tiré d'une histoire vraie. C'est le chemin vers le retour du sourire et de l'acceptation d'une femme devenue paraplégique après un accident. A l'aide de sa famille (les enfants sont sympathique, surtout le fils ainé), et d'une pie qui adopte cette famille. Et la pie joue très bien !
Décidemment Netflix prend de plus en plus de risque dans ses longs métrages en essayant d’aborder des thèmes différents que les films d’action classiques assez basiques.
Ici donc tout part d’une histoire vraie assez glaçante qui ne peut laisser de marbre fasse au drame vécu par cette famille et plus particulièrement donc par cette maman se retrouvant paralysée.
Naomi Watts comme à son habitude est brillante et bouleversante dans ce rôle de femme meurtrie autant physiquement que psychologiquement
J’ai bien aimé aussi la partition d’Andrew Lincoln tout en retenu et qui prouve qu’il peut être un bon acteur loin de son rôle de chérif de Walking Dead.
L’histoire de cette pie est singulière et les scènes avec l’oiseau sont bouleversantes et drôles et superbement mises en scène
Le film ne dure pas longtemps et c’est tant mieux car on évite tout temps mort et ennuie ce qui n’est pas la généralité à notre époque
Film peut-être un peu trop caricatural. La reconstruction via l'amitié avec une pie sous fond d'entraide familiale, c'est du déjà vu. Et pourtant c'est très bien joué, extrêmement touchant.. On a la larme à l'oeil tout du long.
5 étoiles amplement méritées ! Depuis le Covid, je ne vois très peu de bon films (vu que le cinéma est suspendu) et donc, celui-ci est magnifique, des larmes, de la joie et une histoire sublime. Andrew Lincoln est très bon dans ce rôle d'acteur (ormi l'univers walking dead), il a su avec son talent nous prouver qu'il était bon ailleurs ! Dans un film de ce genre. Bravo et merci de m'avoir fait découvrir ceci.
Tiré de l'histoire vraie d'une championne du monde de paracanoë et de Handi Surf, Penguin Bloom revient sur les conséquences tragiques d'un accident au sein d'une famille. Partis en vacances en Thaïlande, les Bloom se voient impactés par une chute accidentelle de la mère, grande sportive épanouie et débordante d'énergie, lui faisant perdre l'usage de ses membres inférieurs. Leur quotidien se transforme du tout au tout, et alors que l'espoir de jours meilleurs s'amenuise, l'arrivée d'une pie tombée de son nid et ne sachant voler va devenir le symbole d'une renaissance. La réalisation de Glendyn Ivin, dont c'est le deuxième long, aborde ce drame sans en faire trop. Penguin Bloom, c'est avant tout le récit d'une reconstruction, un message d'espoir qui s'évertue à montrer que malgré les coups du sort de la vie, il y a toujours possibilité de se relever. L'animal devient alors l'objet d'attention de toute la famille, guérit la détresse, la colère et la culpabilité et fait office de transition thérapeutique pour faire le deuil d'une ancienne vie et avancer pas à pas vers une reconnexion, une réconciliation avec soi-même. Le parallèle entre ces deux êtres est touchant et original, parfois drôle. C'est un joli film, avec une mise en scène solaire garnie de magnifiques paysages australiens qui invite à l'évasion et à la soif de vivre. Naomi Watts, l'atout émotionnel du film, porte avec justesse cet hymne à la guérison via un personnage à fleur de peau et nuancé. Même si Penguin Bloom parvient à planer légèrement au-dessus de la mêlée des mélodrames Netflix, il n'est pas sans défauts et s'oublie rapidement. Faute à une caractérisation banale voire inexistante des protagonistes secondaires et un côté survolé dans le scénario qui a tendance à trop emprunter des raccourcis. Je trouve aussi que le film manque de scènes fortes et marquantes et reste en surface d'une crise qui aurait pu être plus approfondie.
Pengouin Bloom retrace l'histoire de la famille Bloom qui suite à l'accident de la mère de famille (perte de l'usage de ses jambes), celle-ci garde espoir de pouvoir revivre normallement en prenant d'un oiseau blessé.
Cette histoire est une ode à l'espoir, à la famille mais aussi à la capacité humaine à se relever d'une terrible épreuve. Naomi Watts est parfaite dans ce rôle et campe cette femme à fort caractère. Pengouin Bloom est une très très beau film qui tire malgré tout en longueur sur la fin.
“Penguin Bloom” est l’histoire d’une femme et mère brisée suite à un accident qui l’empêche désormais de se déplacer ou de se laver sans assistance. La paraplégique voit sa famille continuer de vivre et bien qu’ils soient présents pour elle, la dépression la guette chaque jour encore plus. Un matin, son fils aîné Noah trouve une jeune pie blessée et la ramène à la maison pour la soigner. Peu à peu, une relation forte va s’établir entre la famille Bloom et l’oiseau baptisé Penguin. “Penguin Bloom” est un long-métrage sur la reconstruction mentale porté à merveille par Naomi Watts. Les autres comédiens s’en sortent avec simplicité comme Andrew Lincoln qui s’est échappé de la série “The Walking Dead”. Néanmoins, l'œuvre force souvent la sensibilité et ne surprend jamais vraiment. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Les histoires d’amitié, si on peut les appeler ainsi, entre l’homme et l’animal sont légion sur le grand écran comme sur le petit. En effet, on ne compte plus les films qui mettent en scène ces relations toute particulières au point que c’est presque devenu un sous-genre à part entière (et souvent familial), du cinéma. Que ce soit avec le meilleur ami de l’homme et certainement le plus courant (le culte et larmoyant « Hatchi »), avec les chevaux (« L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux ») ou avec des animaux sauvages comme le lion (« Mia et le lion blanc »), les animaux ont souvent fait le bonheur des salles et des spectateurs. Mais il est bien rare de voir un film mettant en scène la relation entre un oiseau et un humain. Et aussi surprenant que cela puisse paraître, l’histoire de ce « Penguin Bloom » est tirée de faits réels, ce qui a dû motiver les producteurs à la raconter. Malheureusement, si elle en vaut n’importe quelle autre, cette évocation dispose d’un scénario un peu mince qui a du mal à tenir sur toute la durée d’un long-métrage de cinéma. Le drame vécu par cette famille est certes tragique mais cela valait-il la peine d’en faire un film? Heureusement « Penguin Bloom » est court et contient assez de qualités pour passer outre ce postulat quelque peu léger.
En effet, les images et la photographie proposées par le cinéaste australien sont magnifiques. Il est certain que le fait que le décor de cette histoire se déroule dans un endroit paradisiaque aide beaucoup mais il parvient à les magnifier encore plus. Certains plans sont même sublimes, baignés dans une lumière somptueuse. Ensuite, la symbolique du rétablissement de cet oiseau mis en parallèle avec celle, davantage psychologique du personnage joué par Naomi Watts, n’est pas trop appuyée. De plus, « Penguin Bloom » aurait pu verser dans la larme facile et le pathos excessif mais il reste relativement sobre et c’est une gageure. Ce qui ne nous empêche pas d’être ému au détour de quelques séquences. Et cette œuvre dégage une douceur qui fait du bien. On pourrait même dire que cette histoire de résilience et d’acceptation s’avère apaisante, comme un feel-good movie malgré la tristesse apparente du sujet, et distille ses bonnes ondes à travers l’écran. On passe donc un moment agréable devant ce joli petit film qui n’en demeure pas moins quelque peu anecdotique et un peu limité sur le fond.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Un bon film dramatique mené par une Naomi Watts convaincante, de même pour Andrew Lincoln !! Ce lien d'amitié avec cet oiseau qui donne de l'espoir peut paraitre bizarre au 1er abord mais ça a du sens malgré tout ... Parfois émouvant, parfois touchant, une belle histoire .....
Un bon moment de cinéma tiré d’une histoire vraie en Australie, celle d’une championne de surf victime d’un accident la rendant invalide. L’amitié avec une pie tombée de son nid va l’aider à remonter la pente pour, finalement, redevenir sportive en handisport. Belle composition de Naomi Watts, et la pie choisie, parfaitement apprivoisée, est vraiment craquante. Une belle illustration sur l’’intérêt d’ouvrir les yeux sur la nature qui nous entoure. Seul défaut, un ton parfois un peu larmoyant, mais ça passe.
”Penguin Bloom” est le type même de film qu’on ne peut qu’aimer. L’histoire d’une petite boule de plumes (une pie) qui va redonner goût à la vie à une jeune mère de famille qui, se retrouvant handicapée (paraplégique suite à une chute pendant des vacances en Thaïlande) et tellement meurtrie par son handicap (d’autant qu’elle était très sportive, débordante d’énergie, hyper active, etc.) malgré une famille aimante, sombrait dans la léthargie ne parvenant même plus à trouver aucun attrait à l’existence. C'est l’histoire d’une renaissance, de la ”nouvelle” acceptation d’un soi qui bien que diminué ne va pas, finalement, lui interdire d’être à nouveau heureuse. Il s’agit en plus d’une histoire vraie car le film n’est autre que l’adaptation du livre de Samantha Bloom ”Penguin Bloom : l'extraordinaire histoire du petit oiseau qui a sauvé une famille” L’histoire de Penguin avait inspiré l’actrice Naomi Watts qui en avait acheté les droits pour le cinéma. Elle a réalisé le film et elle interprète le rôle principal. Il est à noter que Samantha Bloom a été très présente sur le tournage, lequel a eu lieu dans son propre domicile. Passionnée de surf, elle a décroché en 2020 le titre de championne du monde de para surf. Un bien joli film, superbement interprété.