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Un visiteur
3,0
Publiée le 16 juillet 2018
Le film est assez classique au final, mais il se regarde avec plaisir, notamment grâce à sa construction scénaristique en flashbacks qui apporte un peu de légèreté à cette tragique histoire...
Magnifique film ! Je me suis pas ennuyé une seule seconde devant ce chef d'oeuvre ! Je suis passée par tellement d'émotion durant ce film l'inquiétude, la tristesse, le soulagement... L'actrice principale est vraiment parfaite dans ce rôle ! Un film à voir absolument !
Oula alors ce film est vraiment Bon . Tout d'abord le sujet m'intéressait sachant que c'est une histoire vraie. Les images sont magnifiques, La musique également, les deux acteurs jouent vraiment bien l'émotion et leurs amours Et palpable tout au long de la narration qui navigue entre flash-back et présent. Vraiment un bon moment Dans ce film de survie ou il est difficile de retenir ses larmes .
J'aime cette histoire véridique , un bateau et un couple , au milieu l'océan à perte de vue et un cyclone. la croisière idyllique devient l'enfer avec les éléments déchaînés.
Un bon film tout public qui nous tient en haleine. D'abord, une femme à la barre contre vents et marées, et tout cela par amour; mais une histoire d'amour qui est plutôt le fond de l'histoire que la scène principale: ca change agréablement...(mais cela n'engage que moi...). Un courage exemplaire qui compense une expérience limitée de la navigation. On est dans le moment présent, et on tire avec elle les leçons que nous enseigne les éléments: une bonne préparation est indispensable pour fusionner avec le vent et l'océan, car il y a eu aussi des pertes... Une histoire vécue, prise sur le vif; le suspense n'est est que plus grand, même si les scènes flash-back sur le passé donne un peu de répit aux plus sensibles. Sensation rafraîchissante pour le spectateur que de quitter la terre, et dériver avec les acteurs dans un environnement marin.
Avec "A la dérive" apparaît un nouveau genre cinématographique : le romantico-survival. Pas d'action, des dialogues bluettes et une trame des plus linéaire avec un final insoupçonné. Une chose est sûre, beaucoup réfléchiront à deux fois avant de prendre le large...
Traitement classique du film reposant sur un fait divers et une aventure personnelle. Le synopsis résume très mal les événements qui vont être relatés ou plutôt ne dévoile pas l'essentiel. C'est finalement ça qui sera la surprise de ce film sinon on sait à peu-près à quoi s'attendre puisque la bande-annonce et le titre lui-même auront largement dévoilé le tableau de cette aventure marine. Beaucoup d'eau, des vagues, du vent. Le spectateur dérive aussi. Il ne peut s'empêcher d'attendre une fin heureuse, ce sur quoi spoiler: il ne sera pas totalement servi .
A chaud, bien que j'apprécie Shailene Woodley, le film est une déception à cause du postulat déjà vu (le film a beaucoup de points communs avec "L'odyssée de Pi" par exemple) même si l'histoire de base diffère (celle ci est l’adaptation de celle vécue en 1983 par Tami Oldham). Les allers retours incessants entre passé et présent permettent de garder un certain dynamisme mais clairement, ce "À la dérive" ne pourra revêtir un intérêt que pour les novices des films de survie en conditions extrêmes. Pour les amateurs de cinéma éclairés qui écument les salles obscures, il ne sera qu’une perte de temps ...
L'histoire aurait pu être bonne mais le traitement est médiocre.. Les acteurs ne sont pas charismatiques pour un sou et le couple qu'ils forment à l'écran ne fonctionne pas,, les flash-back nous plongent dans un mélo fadasse, et au lieu d'apporter du peps à la mise en scène, la plombe (pas mal de scènes ne servent pas à grand chose), et les scènes de mer ne sont pas des plus crédibles (entre les SF dans la tempête => on le voit qu'on est dans un bassin) et la faim/soif/solitude/folie qui ne sont trop peut abordés pour qu'on s'y laisse prendre...on a presque l'impression qu'ils sont partis faire une petite virée en mer tranquille, avec beurre de cacahuètes, guitare, bières et cigares...alors, on devine spoiler: un peu avant la fin que l’héroïne principale a sans doute beaucoup divagué , mais quand même...ça n'excuse pas tout. Dans le style, préférez "All Is Lost"ou "En Solitaire"!
bidon , un film à la dérive , la bande annonce donne envie et quand on voit le film , patatrac, l'erreur du réalisateur est d'avoir fait un film à flashback incessants qui cassent le rythme du film, pas vraiment de suspens, deux moments d'émotion et circulez y'a rien à voir , 1/5 pour les paysage
Je ne sais pas trop quoi dire au sujet de ce film... L'idée de base est plutôt intéressante, deux passionnée de navigation se rencontre et partent pour un tour du monde. Réuni par leur passion, ils arrivent à nous la transmettre petit à petit même si l'on sait déjà la finalité de ce périple. Mais en dehors des paysages et des décors j'avoue n'avoir pas été transportée comme j'aurais pu l'être par ce cauchemar en mer. Même si l'idée du vase clos est cassé par des flash-back on s'ennuie à cent pied de long par ce récit. Et je pense que le jeu de Shailene Woodley y est pour beaucoup. Je ne suis malheureusement pas convaincue par l'actrice qui m'avait déjà beaucoup déçue dans la franchise "Divergent". Aucune émotion, les rares sont surjouées, et ne convainc pas. Même si je dois reconnaître qu'elle semble beaucoup plus à l'aise que dans ses précédents films. Le twist finale joue également beaucoup dans ma déception, je le trouve très mal amené et a coupé le peu d'intérêt que j'avais pour le film. Malheureusement je pense que d'autres films traitent le sujet de façon plus intéressante.
Je suis tombé par hasard sur ce film. Sa thématique survivaliste agrémenté de son sous-titre "tiré d'une histoire vraie" fini par me convaincre de tenter l'aventure. De fait, j'étais rassuré puisque nous retrouvons comme capitaine de navire, Baltasar Kormakur - un islandais qui perce à Hollywood grâce à ses films où la nature menace et coordonne les choix et actions des hommes. Je pense notamment à l'imparfait mais néanmoins sympathique Everest. A la dérive change radicalement de décors pour prendre place en Océanie, plus largement au coeur du Pacifique où un couple (Tami et Richard) doit affronter un ouragan dévastateur. A titre personnel, je souhaitais comprendre la manière dont 2 genres bien différents - le drame romantique et le film catastrophe - allait s'imbriquer pour convenir d'un équilibre parfait. Malheureusement, la "love story" prend largement le dessus avec des flashbacks inintéressants et brisant un rythme instable. D'autant que l’intérêt s'en retrouve réduit lorsque le casting autour de Shailene Woodley et Sam Claflin devient irritant. En effet, le gros point faible de cette oeuvre réside dans son casting faible, manquant de l'expérience pour amener à une cohérence et un attachement du spectateur à ce couple. Je pense notamment à Woodley qui surjoue dans les moments d'émotion. Cela devient presque drôle. Si le rythme s'étiole et le casting s'approche de l'erreur, A la dérive conserve néanmoins une photographie convaincante, des situations crédibles avec des personnages qui réagissent avec intelligence. Mais cela ne sauve pas le film de la noyade ! Bof.
Baltasar Kormákur semble plus à l'aise en mer que pour gravir des montagnes... Après "Everest" qui ne m'avait fait ni chaud ni froid, le réalisateur islandais revient avec une nouvelle histoire vraie et un nouveau survival en mer près de six ans après "Survivre". Baltasar Kormákur raconte l'histoire de Tami Oldham et Richard Sharp un couple à la dérive qui tente de survivre tant bien que mal dans des situations difficiles. Si l'histoire est relativement classique et sans réelles surprises pour un film de survie de ce genre, le réalisateur évite de faire un récit trop linéaire en incorporant énormément de flashbacks à son histoire. On commence immédiatement avec une scène où le drame a déjà eu lieu puis on revient en arrière pour comprendre comment les deux se sont rencontrés. C'est comme cela pendant tout le film avec les deux parties qui avancent chronologiquement ce qui permet à l'intrigue de gagner en intérêt au fil des minutes. "Adrift" est un film qui mélange bien la survie et la romance. C'est un film fleur bleue et plein de sensibilité qui vise surtout un large public et non pas un public amateur de survie extrême même si cette expérience fut éprouvante pour Tami. Shailene Woodley est très convaincante dans ce rôle et son alchimie avec Sam Claflin est évidente. Pour ce qui est de la production, j'ai trouvé le film crédible et bien réalisé avec surtout une immersion totale au milieu de nulle part. Il n'y a que lors de la scène de la tempête que le film est brouillon visuellement parlant, mais sinon, tout le reste est bien reproduit avec des prises de vue magnifiques et un cadre naturel superbe. Au final, "Adrift" est un bon film qui sans révolutionner le genre arrive à toucher et divertir avec une belle histoire d'amour et de courage.
Si Baltasar Kormákur n'a clairement pas la science du récit des plus grands, au moins a t-il celui de l'image (et du son), comme il le confirme fort joliment ici. Ce récit de survie maritime est ainsi bien emballé, porté par un soin technique indéniable, offrant une immersion réaliste, parfois saisissante de cette (très) longue dérive, notamment les conséquences sur les corps, l'épuisement physique comme moral, s'appuyant sur quelques scènes spectaculaires ne donnant jamais l'impression de combler un vide scénaristique. Bonne idée, également, que de raconter en parallèle l'avant et l'après-naufrage jusqu'à ce que se recoupe les deux récits, évitant la linéarité tout en ajoutant un suspense supplémentaire quant aux circonstances du drame.
Dommage que cette démarche séduisante tire parfois fortement sur la corde du mélo adolescent, cette amourette prenant un peu trop de place au fil des minutes, pas désagréable mais sans grande originalité, rendant paradoxalement moins intense la dimension dramatique de l'œuvre. De plus, je ne suis vraiment pas sûr que ce rebondissement final soit si avisé, donnant plus l'impression d'un « truc » pour émouvoir qu'un réel apport à l'histoire (même s'il a au moins le mérite d'expliquer certains aspects précédents, très peu clairs). Maintenant, bien qu'il eut été préférable de cibler un public moins jeune, « À la dérive » reste un spectacle fait dans les règles de l'art par de vrais professionnels, proposant une narration assez différente de ce qui peut se faire habituellement « en mer » sur grand écran : porté par une Shailene Woodley convaincante, je regrette même de ne pas l'avoir découvert en salles, où l'expérience aurait été assurément plus forte.