Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 12 juillet 2018
Ce film vaut le coup et vaut le détour en plus deux acteurs complémentaires avec une très belle alchimie. Très honnêtement serte c’est une histoire d’amour mais celle ci est hors du commun je veux dire dans un contexte peu courant mais une si belle histoire très émouvant pour les plus sensibles même quelques larmes seront présente
13 920 abonnés
12 474 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 5 mars 2021
"À la dèrive", le film qui porte bien son titre avec un Baltasar Kormàkur qui dèçoit de nouveau (cf. "Everest"). Pour qui ne connait pas ce rèalisateur islandais, son meilleur film est "Survivre", sorti en 2012! Après c'est une carrière en dents de scie à Hollywood qui tape sa frime en ouvrant avec Denzel Washington, Mark Wahlberg, Jake Gyllenhaal ou Josh Brolin. "Adrift", c'est à peu de chose près "All is Lost" au fèminin! Sauf que ce survival, contrairement à celui de J.C. Chandor, sombre dans une rèpètition agaçante de clichès malgrè son histoire vraie! Inutile donc de tirer sur l'ambulance! Physique, Shailene Woodley limite la casse comme elle peut! Mais que c'est dur (et long) sur 96 minutes avec de belles images qui rappellent Thalassa! La romance avec Sam Claflin ne prend pas, les flashbacks n'arrangeant rien à l'affaire. "Adrift" consomme donc le naufrage d'un cinèaste qu'on a connu très prometteur! Revoir "Survivre" pour se remonter le moral! De plus la v.f est totalement ratèe...
Le montage elliptique, s'il réserve une petite surprise finale, est surtout ennuyeux puisqu'il dilue le survival avec quelques flashbacks qui n'apportent pas grand chose. Si l'on voulait filmer la rencontre, on aurait pu se contenter d'un récit chronologique pour mieux se centrer sur la survie. Pas désagréable mais pas passionnant non plus.
Du cinéaste Baltasar Kormakur, j'avais vu en salles lors de sa sortie "Everest" qui m'avait beaucoup plu, une histoire vraie autour de la survie. "A la dérive" datant de 2018 est dans la mème tendance mais pour ma part, la mayonnaise n'a pas pris. Déja, le sujet n'est pas nouveau au cinéma, la survie d'un couple perdu en plein milieu de l'océan après une tempète, on pense à "All is lost" de J.J Chandor avec Robert Redford qui lui était tout seul sans des dialogues de mièvrerie. De plus, les scènes de flashbacks ou l'on voit l'avant et le pendant des évènements entre le couple qui s'aime et le drame, je me suis beaucoup ennuyé, ils auraient du faire normal sans mélanger l'histoire. Reste les deux comédiens principaux, Shailene Woodley (également productrice) et Sam Claflin qui font ce qu'ils peuvent donnant beaucoup physiquement mais cela ne suffit pas à sauver le film du naufrage. Dommage.
Un couple qui s'égare en mer et se retrouve isolé loin de tout. Déjà vu ? Oui. L'idylle tourne au cauchemar avec moult péripéties, espoirs, désespoirs et rebondissements. Le film n'est pas désagréable à regarder, il occupera parfaitement une soirée, mais niveau cinéma on reste sur sa faim. Le duo d'acteurs ne fonctionne pas, Shailene Woodley est charmante mais ne réussit pas à élever le niveau d'un scénario tristement basique. Le romanesque est est aux abonnés absent; le romantique est limite gnangnan. On a très vite la sensation de regarder un vieux film des années 80 que l'on retrouverait avec le plaisir de la nostalgie. Mais il date de 2018.
Au fur et à mesure que le temps passe, je me mets à succomber à cette actrice qu'est Shailene Woodley (que j'avais pu voir sur le plateau du Grand Journal il y a quelques années). En dehors de ses partitions dans les blockbusters, elle parvient à garder le cap à sa carrière et notamment dans ce rôle dans A La Dérive. Dans cette folle aventure à la survie, son duo avec Sam Claflin apparaît comme logique. Plutôt intéressant aussi d'avoir des retours en arrière sur cette histoire d'amour attachante, un peu naïve cependant. Une petite aventure sympatoche où le couple s'advient à être bien miagnon. Malgré cela, A La Dérive perd un peu d'animosité qui aurait pu pousser le film vers plus de prises de risques car on finit par un peu s'ennuyer sur ce bateau, même si les 25 dernières minutes alternent le bon et le moins bon (les plus : des belles images, une osmose certaine, mais des dialogues un peu prévisibles).
En plus d’être un film de survie, « A la dérive » est également un film d’amour. Après le passage dévastateur d’une tempête traversant le Pacifique, le bateau d’un jeune couple est à la dérive. Le personnage de Sam Clafin est blessé. Shailene Woodley qui joue Tami, va devoir se battre pour survivre en mer et sauver son cher et tendre. Pendant 41 jours, elle devra faire preuve de débrouillardise et de courage. Reconstituant le véritable accident survenu en 1983, le réalisateur de « Everest » tombe malheureusement dans la mièvrerie en nous imposant de nombreux flash-back sur la rencontre des deux protagonistes. Ensuite, la scène qui fera tout chavirer n’est pas assez surprenante. Nous attendions un beau spectacle. Heureusement, la dernière partie sauve un peu la mise avec une actrice qui tente de prouver ce qu’est le dépassement de soi. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Film de survie sur un voilier détruit après une tempête d'une femme qui grâce à une extraordinaire persévérance finira par survivre . C'est du déjà vu , tirée d'une histoire réellement vécue bien réalisé dans l'ensemble mais les trop nombreux allers-retours entre le présent et le passé très romancée plombe un peu le film. Shailene Woodley reste très convaincante.
Là où le film de Baltasar Kormakur a tout bon, c’est qu’il alterne entre séquences pré-tempête et séquences post-tempête. Avec toutes les étapes de la romance qui déclencheront une crise d’urticaire aux moins sensibles et feront fondre les plus fleurs bleues (comme nous). L'alchimie entre Shailene Woodley et Sam Claflin est parfaite et nous offre une tempête d'émotion.
4,3 - Comme la grande majorité des films qu'elle porte, c'est une nouvelle fois une grande réussite à travers une belle histoire. Le couple fonctionne très bien et la mise en scène est très réaliste malgré la difficulté liée au thème - Une majoritée de scènes tournées en décors réel renforcent ce réalisme - Un scénario moins "convenu" qu'il ne peut y paraître.. Adapté d'une histoire vraie, le film en est d'autant plus beau, plus prenant, plus angoissant..
Un vrai bon film avec un vrai bon jeu d'acteur ... j'ai enlevé 1 etoile à cause de 2 choses : Attention Spoil pour le point 1...1/ On comprend dés le début du film que Richard est mort la nuit de la tempête et qu'elle hallucine tout le long ce qui est confirmé quand il lui explique ce qui se passe après plusieurs jours seul en mer ! 2/ La tempete est superbement réalisée mais les mouvements du bateau y sont trop calmes et les acteurs ne semblent même pas baloter dans tous les sens ... ce qui est tres surprenant face a cette tempete aux creux enormes ! il merite d'etre vu ... j'ai ete prit dans cette histoire et encore plus en sachant qu'elle est vraie ! Cette femme a fait preuve d'un courage incroyable !
Tami et Richard sont sur un bateau. Richard tombe à l'eau...
"À la dérive" est adapté d'une histoire vraie. En 1983, à Tahiti, Tami Oldham rencontre Richard Sharp. Les deux amoureux décident de convoyer un voilier jusqu'en Californie. Mais le bateau, pris dans un ouragan, démâte et dérive pendant quarante-et-un jours jusqu'à Hawaï.
Réalisateur islandais passé à Hollywood, qui commença sa carrière par des petits films islandais ("Jar City") avant de signer consciencieusement des blockbusters sans âme ("Everest"), Balthasar Kormakur a hésité entre deux affiches. La première montre les deux navigateurs front contre front unis face à l'adversité. La seconde, plus angoissante, photographie l'océan immense et immobile. En choisissant la première, il tire À la dérive vers l'histoire d'amour. Et c'est bien dommage.
Il y a cinq ans, sur un thème similaire, J.C. Chandoor avait réalisé un tour de force : filmer un homme seul à bord d'un bateau qui coule sans voix off ni flashback. "À la dérive" n'a pas la force de "All is lost". Si son premier plan est saisissant, qui filme Tami reprenant conscience à bord d'un bateau dévasté par l'ouragan et y recherchant en vain son compagnon tombé à la mer, le reste n'a pas la même force. On la voit repêcher Richard et tenter avec lui de réparer le bateau et de l'orienter vers la terre. Mais cette histoire est entrecoupée de flashbacks inutiles qui racontent leur rencontre et leur coup de foudre quelques mois plus tôt dans un décor tahitien de carte postale.
Ajouté à cela le tour de passe-passe façon "L'Histoire de Pi", qu'on sent venir à des kilomètres, "À la dérive" n'est pas le survival aquatique qu'on attendait même si Shailene Woodley, son actrice principale, rendue célèbre par "Divergente" et "Nos étoiles contraires", qui a coproduit le film, donne de sa personne avec une bluffante énergie.
Comment rater à ce point un film, basé sur un fait divers doté d'un gros potentiel cinématographique ? La mise en scène et ses allers retours incessants devient très vite agaçante, jusqu'à donner le mal de mer. D'autant plus que les flash backs sont pour la plupart, sans intérêt. On comprend vite que cette construction a été adoptée pour palier au manque d'action. SHAILENE WOODLEY y compose sa pire performance d'actrice. Jamais crédible, ni en navigueuse, ni en séductrice , ni en americaine moyenne. Elle frise même le ridicule quand elle se lance dans de courts solos d'hystérie où elle s'imagine sûrement être oscarisable. Etre productrice lui a visiblement enlever tout sens critique sur sa qualité d'actrice. Au bout de 30mn on a envie de la voir couler avec le bateau... Elle devait être Tami, héroïne vaillante et humble à laquelle on s'attache: elle est un cliché de fausse blonde américaine, ultra fake. Dommage pour son partenaire masculin, bien plus méritant et crédible, mais relégué au 2ème plan. Bref, c'est lourd... Et encore plus lourd dans les dernieres minutes, qu'on espérait plus surprenantes, après tant de longueurs !