Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
"À genoux les gars" est à ce point réussi parce qu'il est totalement sidérant.
Libération
par Luc Chessel
Un jour quelqu’un va dire peut-être, parce que du temps aura passé, qu’"À genoux les gars" est un des plus beaux portraits de la France de la fin des années 2010.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ecran Large
par Simon Riaux
Mêler féminisme, politique, questionnement sexuel et comédie gouailleuse ressemblait à un impossible défi, que Desrosières relève avec un humour décapant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Jérôme Garcin
Ici, le mauvais goût est assumé, et l'humour est une arme de dissuasion massive : le réalisateur d'"A la belle étoile" et de "Banqueroute", qui réconcilierait Doillon et Kechiche, se moque bien d'être inélégant, il ne craint pas d'en rajouter, de jongler avec les clichés, de provoquer de la gêne, pourvu que passe, in fine, l'idée que le féminisme et Me Too vaincront.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Quel bonheur et quelle pétillance dans ce quatrième long-métrage d’Antoine Desrosières ! On peut prédire que cette salutaire et décomplexée absence d’hypocrisie, bourrée d’énergie, d’humour et de pertinence, parlera comme jamais aux jeunes générations des cités.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par F.B-P.
Porté par la gouaille de ses comédiens, Antoine Desrosières pose un regard tendre et lucide sur les relations sexuelles d’un quatuor d’adolescents, et pose la dure question de la banalisation du viol. Un film troublant, mais à la construction brouillonne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
D'une crudité rare à l'écran, "À genoux les gars" lève le voile sur la sexualité des adolescent(e)s avec une belle énergie.
Télérama
par Guillemette Odicino
Dans ce film qui porte si bien son titre et qui a, grâce à son humour, une indéniable force éducative, ce sont, donc, les filles qui gagnent. Mais respect total pour les jeunes acteurs Sidi Mejai et Mehdi Dahmane pour avoir accepté d’incarner, sans rougir, ces deux petits dindons machistes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une comédie culottée et positive.
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Trois ans après son court métrage "Haramiste", Antoine Desrosières retrouve les formidables Inas Chanti et Souad Arsane pour "À genoux les gars", comédie sexuelle inégale et piquante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Une thématique actuelle à l’ère du mouvement #MeToo et de la libération de la parole des femmes.
Critikat.com
par Axel Scoffier
"A genoux les gars", comme laissé en roue libre, s’enferre dans un point de vue et un propos pour le moins ambigu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Pamela Pianezza
Antoine Desrosières signe avec cette tragicomédie un teen movie profondément français : un marivaudage du XXIe siècle.
Le Figaro
par La Rédaction
Plus Marivaux des cités que metteur en scène d'envergure, Antoine Desrosières a eu l'intelligence de s'appuyer sur des interprètes qui ont joué le jeu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce pamphlet pertinent qui milite pour la liberté de la femme bouscule le spectateur et gagne son soutien inconditionnel.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Allégé d’une partie de ses prérogatives, Desrosières applique à la lettre une morale voltairienne, contournant tabous et regard surplombant : cette liberté d’esprit ne sacrifie pas les victimes aux bourreaux, bien au contraire, elle finira par se jouer d’eux, sans cynisme, en mêlant ruse, raillerie et chant féminin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Souad Arsane et Inas Chanti (...) sont le sel de ce marivaudage bavard qui, s'il peut tourner parfois à vide à force de joutes, se révèle aussi nécessaire à l'ère post-Weinstein.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Entre la naïveté de certains dialogues et la crudité des situations, le comique ne surgit que rarement, d’autant que la mise en scène, assez invisible (champs-contrechamps, plans séquences frontaux), ne le soutient pas.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Porté par deux excellentes interprètes et coscénaristes, Souad Arsane et Inas Chanti, ce film très cru qui vise à dénoncer les abus sexuels dérange aussi par sa tonalité comique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Christophe Narbonne
(...) le film pêche par une interprétation inégale et par un excès de bavardage (beaucoup d’impros qu’on dirait captées, peu de cinéma). À genoux les gars fait cependant souffler un vent d’air frais sur une production auteuriste frileuse et autocentrée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
par Maryline Alligier et Olivier Rossignot
Avec "À Genoux les gars" la méthode Desrosières s'écroule, troquant la subversion contre l'obscénité (...) Il y a de quoi s'étrangler lorsque (..) Desrosières définit son oeuvre comme féministe voire préventive contre les abus sexuels, tant son contenu est à mille lieues de son discours.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Coécrit avec ses deux actrices, le film d’Antoine Desrosières dérange plus qu’il n’amuse.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Antoine Desrosières a le mérite d'aborder le sexe cru d'une génération YouPorn, voire Youtube, mais c'est sur l'autel du machisme des banlieues et d'une image dégradante des femmes.
L'Express
"À genoux les gars" est à ce point réussi parce qu'il est totalement sidérant.
Libération
Un jour quelqu’un va dire peut-être, parce que du temps aura passé, qu’"À genoux les gars" est un des plus beaux portraits de la France de la fin des années 2010.
Ecran Large
Mêler féminisme, politique, questionnement sexuel et comédie gouailleuse ressemblait à un impossible défi, que Desrosières relève avec un humour décapant.
L'Obs
Ici, le mauvais goût est assumé, et l'humour est une arme de dissuasion massive : le réalisateur d'"A la belle étoile" et de "Banqueroute", qui réconcilierait Doillon et Kechiche, se moque bien d'être inélégant, il ne craint pas d'en rajouter, de jongler avec les clichés, de provoquer de la gêne, pourvu que passe, in fine, l'idée que le féminisme et Me Too vaincront.
Le Parisien
Quel bonheur et quelle pétillance dans ce quatrième long-métrage d’Antoine Desrosières ! On peut prédire que cette salutaire et décomplexée absence d’hypocrisie, bourrée d’énergie, d’humour et de pertinence, parlera comme jamais aux jeunes générations des cités.
Les Fiches du Cinéma
Porté par la gouaille de ses comédiens, Antoine Desrosières pose un regard tendre et lucide sur les relations sexuelles d’un quatuor d’adolescents, et pose la dure question de la banalisation du viol. Un film troublant, mais à la construction brouillonne.
Positif
D'une crudité rare à l'écran, "À genoux les gars" lève le voile sur la sexualité des adolescent(e)s avec une belle énergie.
Télérama
Dans ce film qui porte si bien son titre et qui a, grâce à son humour, une indéniable force éducative, ce sont, donc, les filles qui gagnent. Mais respect total pour les jeunes acteurs Sidi Mejai et Mehdi Dahmane pour avoir accepté d’incarner, sans rougir, ces deux petits dindons machistes.
Voici
Une comédie culottée et positive.
Bande à part
Trois ans après son court métrage "Haramiste", Antoine Desrosières retrouve les formidables Inas Chanti et Souad Arsane pour "À genoux les gars", comédie sexuelle inégale et piquante.
CNews
Une thématique actuelle à l’ère du mouvement #MeToo et de la libération de la parole des femmes.
Critikat.com
"A genoux les gars", comme laissé en roue libre, s’enferre dans un point de vue et un propos pour le moins ambigu.
La Septième Obsession
Antoine Desrosières signe avec cette tragicomédie un teen movie profondément français : un marivaudage du XXIe siècle.
Le Figaro
Plus Marivaux des cités que metteur en scène d'envergure, Antoine Desrosières a eu l'intelligence de s'appuyer sur des interprètes qui ont joué le jeu.
Le Journal du Dimanche
Ce pamphlet pertinent qui milite pour la liberté de la femme bouscule le spectateur et gagne son soutien inconditionnel.
Les Inrockuptibles
Allégé d’une partie de ses prérogatives, Desrosières applique à la lettre une morale voltairienne, contournant tabous et regard surplombant : cette liberté d’esprit ne sacrifie pas les victimes aux bourreaux, bien au contraire, elle finira par se jouer d’eux, sans cynisme, en mêlant ruse, raillerie et chant féminin.
Paris Match
Souad Arsane et Inas Chanti (...) sont le sel de ce marivaudage bavard qui, s'il peut tourner parfois à vide à force de joutes, se révèle aussi nécessaire à l'ère post-Weinstein.
Cahiers du Cinéma
Entre la naïveté de certains dialogues et la crudité des situations, le comique ne surgit que rarement, d’autant que la mise en scène, assez invisible (champs-contrechamps, plans séquences frontaux), ne le soutient pas.
La Croix
Porté par deux excellentes interprètes et coscénaristes, Souad Arsane et Inas Chanti, ce film très cru qui vise à dénoncer les abus sexuels dérange aussi par sa tonalité comique.
Première
(...) le film pêche par une interprétation inégale et par un excès de bavardage (beaucoup d’impros qu’on dirait captées, peu de cinéma). À genoux les gars fait cependant souffler un vent d’air frais sur une production auteuriste frileuse et autocentrée.
Culturopoing.com
Avec "À Genoux les gars" la méthode Desrosières s'écroule, troquant la subversion contre l'obscénité (...) Il y a de quoi s'étrangler lorsque (..) Desrosières définit son oeuvre comme féministe voire préventive contre les abus sexuels, tant son contenu est à mille lieues de son discours.
Le Monde
Coécrit avec ses deux actrices, le film d’Antoine Desrosières dérange plus qu’il n’amuse.
Ouest France
Antoine Desrosières a le mérite d'aborder le sexe cru d'une génération YouPorn, voire Youtube, mais c'est sur l'autel du machisme des banlieues et d'une image dégradante des femmes.