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Ce drame social, premier film de Miransha Naïk, vaut davantage pour les thèmes qu’il aborde (la précarité de populations quasiment réduites en esclavage) que pour son intrigue, souvent malhabile, et l’interprétation de ses acteurs, qui nous laisse à distance.
Avec un réalisme cru (le film montre sans filtres que l’exploitation des pauvres est aussi sexuel), Naik propose une vision terrible de la société indienne, enferrée dans des problématiques d’un autre âge, corrompue jusqu’à la moelle, structurellement incapable de protéger les plus démunis.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le réalisateur présente les mauvais traitements que les locaux réservent aux immigrés comme une survivance terrifiante du système de castes. Ses travellings fluides s’attardent sur les personnages, dans des espaces clos qui ne communiquent pas les uns avec les autres. De sorte que chacun semble irrémédiablement renvoyé à sa solitude.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
Une réussite.
Studio Ciné Live
Il émane de cette chronique une véracité qui la rend étouffante. A voir également pour sa dimension ethnographique.
L'Obs
A la fois critique sociale et aventure individuelle, ce premier film de Miransha Naïk est fondé sur une histoire authentique.
Les Fiches du Cinéma
Ce drame social, premier film de Miransha Naïk, vaut davantage pour les thèmes qu’il aborde (la précarité de populations quasiment réduites en esclavage) que pour son intrigue, souvent malhabile, et l’interprétation de ses acteurs, qui nous laisse à distance.
Positif
Comme souvent en Inde c'est le cinéma indépendant qui dénonce le plus fortement les maux dont souffre le pays.
Première
Avec un réalisme cru (le film montre sans filtres que l’exploitation des pauvres est aussi sexuel), Naik propose une vision terrible de la société indienne, enferrée dans des problématiques d’un autre âge, corrompue jusqu’à la moelle, structurellement incapable de protéger les plus démunis.
Télérama
Le réalisateur présente les mauvais traitements que les locaux réservent aux immigrés comme une survivance terrifiante du système de castes. Ses travellings fluides s’attardent sur les personnages, dans des espaces clos qui ne communiquent pas les uns avec les autres. De sorte que chacun semble irrémédiablement renvoyé à sa solitude.
Le Figaro
Une photographie de l'Inde qui contraste avec la réalité touristique. Un peu chargée.
Le Monde
Le film vire à un pénible catalogue d’atrocités. Le « vouloir dire » l’emporte sur le « savoir montrer ».