Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Culturopoing.com
par Antoine Heraly
Le duo Poggi-Vinel impressionne par sa force de frappe émotionnelle. La traversée de "Jessica Forever" — car il s’agit bien là d’expérience — est à la fois dense et éthérée, quelque part entre une cinématique de jeu vidéo et une cérémonie chamanique, entre une messe de Purcell et du vocoder, et vibre avec un humour décalé sur une intensité politique rarement défrichée de la sorte.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
C’est dans [sa] naïveté, [sa] forme d’absolu romantique que "Jessica Forever", qui déborde d’idées et d’envies, trouve sa fulgurante beauté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
[...] les fragments d’un discours adolescent de "Jessica Forever" constituent une mutation inédite à inscrire dans le grimoire des récits, des images et des désirs propres au cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Imparfait et limité par ses petits moyens, "Jessica Forever" mérite pourtant que l'on s'y intéresse de près. OVNI sorti de nulle part, poétique et exigeant, il défie les codes et s'inscrit dans une marge passionnante. De quoi nous donner l'envie de surveiller l'évolution de la carrière de ses deux réalisateurs. A voir quoi qu'il arrive.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Ava Cahen
Le film garde le cap de sa mission du début à la fin : opposer à la guerre la paix, à la violence, le coeur. Un pari remporté puisque les émotions circulent comme le sang dans le corps.
Le Figaro
par La Rédaction
Pour leur premier long-métrage, Vinel et Poggi mettent le doigt sur la gâchette. En ressort un étrange objet cinématographique SF fait maison où l’amour et la candeur fusent à pleines balles.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
Objet hybride avec son scénario de film d’action et son esthétique dépouillée, ce premier longmétrage est une perche tendue à des publics que l’on voit rarement réunis : le film peut séduire des adolescents en quête d’univers inquiétants, mais aussi des cinéphiles et amateurs de nouvelles écritures.
Transfuge
par Marie Campistron
A la croisée de l’ultra-réel et du fantastique, du sombre et de l’étrange, Jonathan Vinel et Caroline Poggi livrent pour leur premier long-métrage, un conte moderne et inspiré sur une jeunesse désenchantée.
Télérama
par Jacques Morice
Un premier film audacieux et radical, mêlant heroic fantasy et jeu vidéo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce conte prend son temps, quitte à désorienter par son univers à la fois réaliste et mystique, cruel et poétique. Une audace rafraîchissante au milieu des drames naturalistes et des comédies populaires.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
En filmant une bande d’outsiders dépassionnés, le duo Poggi-Vinel façonne un premier long qui tourne avidement autour de la question de la déréliction adolescente sans jamais y pénétrer - ni violemment, ni tendrement. Le résultat est aussi charmant qu’assez rebattu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par William Le Personnic
Si un certain charme opère dans les scènes fantomatiques et languissantes – les rites des siestes collectives – le film souffre de creux et de ponctuations.
Première
par Thomas Baurez
Dommage cependant que Caroline Poggi et Jonathan Vinel aient tout misé sur l’esthétique de l’ensemble, moins sur l’écriture des personnages.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Le film reconduit sans même s’en rendre compte, le pire de ce que le 21e siècle nous offre : l’infantilisme et le militarisme.
Critikat.com
par Anthony Moreira
Cette immaturité, comme la violence qu’elle charrie, n’est pourtant traitée qu’à moitié, la faute à une approche qui double l’imaginaire de la lutte d’une autre imagerie, celle de l’adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
Le duo Poggi-Vinel impressionne par sa force de frappe émotionnelle. La traversée de "Jessica Forever" — car il s’agit bien là d’expérience — est à la fois dense et éthérée, quelque part entre une cinématique de jeu vidéo et une cérémonie chamanique, entre une messe de Purcell et du vocoder, et vibre avec un humour décalé sur une intensité politique rarement défrichée de la sorte.
Les Inrockuptibles
C’est dans [sa] naïveté, [sa] forme d’absolu romantique que "Jessica Forever", qui déborde d’idées et d’envies, trouve sa fulgurante beauté.
Libération
[...] les fragments d’un discours adolescent de "Jessica Forever" constituent une mutation inédite à inscrire dans le grimoire des récits, des images et des désirs propres au cinéma français.
Ecran Large
Imparfait et limité par ses petits moyens, "Jessica Forever" mérite pourtant que l'on s'y intéresse de près. OVNI sorti de nulle part, poétique et exigeant, il défie les codes et s'inscrit dans une marge passionnante. De quoi nous donner l'envie de surveiller l'évolution de la carrière de ses deux réalisateurs. A voir quoi qu'il arrive.
L'Ecran Fantastique
Le film garde le cap de sa mission du début à la fin : opposer à la guerre la paix, à la violence, le coeur. Un pari remporté puisque les émotions circulent comme le sang dans le corps.
Le Figaro
Pour leur premier long-métrage, Vinel et Poggi mettent le doigt sur la gâchette. En ressort un étrange objet cinématographique SF fait maison où l’amour et la candeur fusent à pleines balles.
Le Monde
Objet hybride avec son scénario de film d’action et son esthétique dépouillée, ce premier longmétrage est une perche tendue à des publics que l’on voit rarement réunis : le film peut séduire des adolescents en quête d’univers inquiétants, mais aussi des cinéphiles et amateurs de nouvelles écritures.
Transfuge
A la croisée de l’ultra-réel et du fantastique, du sombre et de l’étrange, Jonathan Vinel et Caroline Poggi livrent pour leur premier long-métrage, un conte moderne et inspiré sur une jeunesse désenchantée.
Télérama
Un premier film audacieux et radical, mêlant heroic fantasy et jeu vidéo.
Le Journal du Dimanche
Ce conte prend son temps, quitte à désorienter par son univers à la fois réaliste et mystique, cruel et poétique. Une audace rafraîchissante au milieu des drames naturalistes et des comédies populaires.
Les Fiches du Cinéma
En filmant une bande d’outsiders dépassionnés, le duo Poggi-Vinel façonne un premier long qui tourne avidement autour de la question de la déréliction adolescente sans jamais y pénétrer - ni violemment, ni tendrement. Le résultat est aussi charmant qu’assez rebattu.
Positif
Si un certain charme opère dans les scènes fantomatiques et languissantes – les rites des siestes collectives – le film souffre de creux et de ponctuations.
Première
Dommage cependant que Caroline Poggi et Jonathan Vinel aient tout misé sur l’esthétique de l’ensemble, moins sur l’écriture des personnages.
Cahiers du Cinéma
Le film reconduit sans même s’en rendre compte, le pire de ce que le 21e siècle nous offre : l’infantilisme et le militarisme.
Critikat.com
Cette immaturité, comme la violence qu’elle charrie, n’est pourtant traitée qu’à moitié, la faute à une approche qui double l’imaginaire de la lutte d’une autre imagerie, celle de l’adolescence.