Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
C'est le syncrétisme religieux, culturel d'une terre habitée et tourmentée par des forces magiques et telluriques que nous dépeint encore ce cinéaste, parmi les plus prometteurs du moment.
BIBA
par Lili Yubari
Un drame déchirant et choquant, toujours d'actualité dans certains pays, qui glace l'échine.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Jayro Bustamante, réalisateur du déjà très remarqué Ixcanul, donne à ce psychodrame suffocant un interprète formidable et subtil : Juan Pablo Olyslager est déchirant dans ce qui est, au fond, une histoire d’amour empêchée.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Express
par A. L. F.
S'il ne brosse pas le spectateur dans le sens du poil, Jayro Bustamante lui offre néanmoins une expérience de cinéma stimulante, faite d'images et de plans léchés, qui ne laisse pas indifférent. Il y a parfois du bon à ce qu'un film nous bouscule.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La puissance du film repose sur la manière dont le récit refuse tout jugement et parti pris.
La Croix
par Céline Rouden
Un film sombre et glaçant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Après Ixcanul, le réalisateur guatémaltèque Jayro Bustamantesigne signe Tremblements, drame de l’homosexualité en milieu bourgeois. Mordant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un film choc sur les thérapies de conversion des homosexuels dans une société imprégnée de religion.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un film magistral, qui explore sans complaisance mais non sans grand talent la société guatémaltèque.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Or, malgré ses tons absolument ternes, "Tremblements", de Jayro Bustamante, conjurant un pauvre étalonnage, perce par endroits, dans notre direction, sa carapace esthétique bien-pensante. Alors son cri de rage nous parvient, comme en écho contre les parois du film lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Loin d'être manichéen, "Tremblements" dresse des portraits complexes d'hommes et de femmes prisonniers de l'archaïsme de la société.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
Sur l’exercice des « thérapies de conversion » au Guatemala, le constat est terrifiant.
Première
par Christophe Narbonne
Un film d’une puissance folle sur l’intolérance, qui fait réellement trembler.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
par Olivier Pélisson
Après Ixcanul, Tremblements. Après la campagne, la ville. Après la nature, le bitume. Après la femme, l’homme. Mais toujours la solitude implacable de l’individu face au collectif et au déterminisme. Jayro Bustamante fait du cinéma comme témoignage de la survie. Mise en scène impressionnante et constat sans appel.
Télérama
par Frédéric Strauss
Si l’accusation contre le pouvoir rétrograde de la religion fait écho à une réalité brûlante dans toute l’Amérique latine, les personnages se figent dans ce tableau de société démonstratif. Reste une atmosphère visuellement superbe, si soignée, évocatrice et vénéneuse qu’elle pourrait presque se suffire à elle-même. Presque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si la description du carcan est terrifiante, celle des victimes qu’il enserre l’est moins, et la raideur de l’interprétation atténue l’impact de ce récit d’un retour à l’ordre.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
A la limite de la fascination pour ces pratiques homophobes, ce film-sujet est une complaisante dénonciation. […] La honte a gagné. Film rance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
C'est le syncrétisme religieux, culturel d'une terre habitée et tourmentée par des forces magiques et telluriques que nous dépeint encore ce cinéaste, parmi les plus prometteurs du moment.
BIBA
Un drame déchirant et choquant, toujours d'actualité dans certains pays, qui glace l'échine.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Jayro Bustamante, réalisateur du déjà très remarqué Ixcanul, donne à ce psychodrame suffocant un interprète formidable et subtil : Juan Pablo Olyslager est déchirant dans ce qui est, au fond, une histoire d’amour empêchée.
L'Express
S'il ne brosse pas le spectateur dans le sens du poil, Jayro Bustamante lui offre néanmoins une expérience de cinéma stimulante, faite d'images et de plans léchés, qui ne laisse pas indifférent. Il y a parfois du bon à ce qu'un film nous bouscule.
L'Obs
La puissance du film repose sur la manière dont le récit refuse tout jugement et parti pris.
La Croix
Un film sombre et glaçant.
Le Figaro
Après Ixcanul, le réalisateur guatémaltèque Jayro Bustamantesigne signe Tremblements, drame de l’homosexualité en milieu bourgeois. Mordant.
Le Journal du Dimanche
Un film choc sur les thérapies de conversion des homosexuels dans une société imprégnée de religion.
Les Fiches du Cinéma
Un film magistral, qui explore sans complaisance mais non sans grand talent la société guatémaltèque.
Libération
Or, malgré ses tons absolument ternes, "Tremblements", de Jayro Bustamante, conjurant un pauvre étalonnage, perce par endroits, dans notre direction, sa carapace esthétique bien-pensante. Alors son cri de rage nous parvient, comme en écho contre les parois du film lui-même.
Paris Match
Loin d'être manichéen, "Tremblements" dresse des portraits complexes d'hommes et de femmes prisonniers de l'archaïsme de la société.
Positif
Sur l’exercice des « thérapies de conversion » au Guatemala, le constat est terrifiant.
Première
Un film d’une puissance folle sur l’intolérance, qui fait réellement trembler.
Bande à part
Après Ixcanul, Tremblements. Après la campagne, la ville. Après la nature, le bitume. Après la femme, l’homme. Mais toujours la solitude implacable de l’individu face au collectif et au déterminisme. Jayro Bustamante fait du cinéma comme témoignage de la survie. Mise en scène impressionnante et constat sans appel.
Télérama
Si l’accusation contre le pouvoir rétrograde de la religion fait écho à une réalité brûlante dans toute l’Amérique latine, les personnages se figent dans ce tableau de société démonstratif. Reste une atmosphère visuellement superbe, si soignée, évocatrice et vénéneuse qu’elle pourrait presque se suffire à elle-même. Presque.
Le Monde
Si la description du carcan est terrifiante, celle des victimes qu’il enserre l’est moins, et la raideur de l’interprétation atténue l’impact de ce récit d’un retour à l’ordre.
Les Inrockuptibles
A la limite de la fascination pour ces pratiques homophobes, ce film-sujet est une complaisante dénonciation. […] La honte a gagné. Film rance.