Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Un amour puissant et chaud en pleine Guerre froide. Mais impossible aussi. C’est le nouveau voyage magnétique auquel invite Pawel Pawlikowski.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Françoise Delbecq
"Cold War" est un film puissant à la grâce infinie.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un petit bijou.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
C’est un éloge de l’épure. Une démonstration de la puissance émotive du minimalisme pour traduire la relation tempétueuse de deux amants. Les deux acteurs, Joanna Kulig et Tomasz Kot, illuminent cette œuvre fascinante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Prix de la mise en scène à Cannes, «Cold War», du réalisateur polonais Pawel Pawlikowski, redonne toutes ses couleurs au drame romantique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un film simple et beau, qui capture l’essence d’un grand drame romanesque dans le petit flacon d’une ritournelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Anne Diatkine
Un film glamour et chaleureux, un noir et blanc proche des photos Harcourt qui cependant chatoie et ne renonce jamais à la profondeur de champ, un passé reconstitué qui ne fige en rien l’histoire, un «réalisme poétique» comme on disait de Marcel Carné plutôt pour fustiger son académisme, mais dont ici la séduction romanesque opère à plein et n’oblitère pas le cœur battant des personnages : est-ce seulement possible ?
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Geneix
En 88 minutes sombres et éclatantes, "Cold War", prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes, réunit tous les thèmes qui hantent et enflamment l'oeuvre de Pawel Pawlikowski.
Télérama
par Jacques Morice
Le cinéaste filme cet amour comme une malédiction, à travers des scènes où le plaisir et la mélancolie ne font qu’un. Des scènes à la fois intenses et un peu irréelles, comme les fragments distanciés d’un rêve ou d’un passé dont on ne voudrait garder que les souvenirs essentiels, douloureux et heureux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Pawel Pawlikowski a un don pour brosser de beaux portraits de femmes et révéler des comédiennes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Benoît Smith
Toute la mise en scène de ce récit de romance contrariée (...) cultive les ruptures, les désunions et les réunions.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
"Cold War" condense une quinzaine d’années, rythmées par des ellipses et des déplacements qui rassemblent les fragments narratifs vers un finale si gracieux qu’il en fait oublier les défauts de la narration.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Cold War" n’en demeure pas moins désespéré, une tragédie prégnante, où le sens et la forme se fondent dans un poème visuel de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Alors oui, on pourra trouver "Cold War" trop austère et trop mécanique. Le réalisateur assume cette distance avec le spectateur. Mais quelques passages (notamment le dernier plan, somptueux) sont si proches d'une certaine idée de la perfection qu'il serait bien dommage de passer à côté de l'histoire bouleversante de Zula et Wiktor.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une somptueuse ballade sensuelle et pudique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Prix de la mise en scène au Festival de Cannes, «Cold War» apparaît comme un roman envoûtant centré autour de deux héros. Filmés sans tricherie dans le Paris bohème des années 1950, ils sont lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La narration, qui procède par ellipses temporelles, peut dérouter, mais elle renforce la dramaturgie et provoque même le vertige quand on découvre ce que sont devenus les héros, les choix qui les ont réunis ou éloignés, sans pour autant détailler leurs motivations.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le noir et blanc et somptueux et la réalisation virtuose.
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur polonais Pawel Pawlikowski signe un sublime mélodrame en noir et blanc à la beauté glacée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Avec une densité exceptionnelle, Pawel Pawlikowski raconte en 1H27 trente ans d’amour fou et tragique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Filmé dans un noir et blanc aussi glacial que la guerre froide qu’il décrit, Cold War mérite largement son prix de la mise en scène remporté à Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Format carré, en noir et blanc, de courte durée : "Cold War" est une pointe sèche, gravure intime et tragique pour dire l’enfermement de l’amour et celui de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par François Bégaudeau
Peu suffit à Pawlikowski pour raconter beaucoup.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Cette romance contrariée et touchante oppose la pureté des sentiments à un système qui tente de broyer toute émotion.
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré quelques scories narratives qui l'empèsent, "Cold War" se déploie avec une grâce visuelle admirable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Thomas Sotinel
La première partie de Cold War, qui met en scène l’appropriation d’un art populaire par un régime, est un modèle de mise en scène politique et historique.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le formalisme empesé de l’auteur de Ida trouve une ample respiration grâce à un récit très romanesque. Celui d’un amour dans l’Europe fracturée du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Toujours soucieux de la magnificence picturale de chaque plan, le Polonais Pawel Pawlikowski en oublie de laisser une place à l’empathie dans sa description figée d’une relation de couple houleuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Cold War fait partie d’une vague « rétro » fleurissant actuellement en Pologne marquée par un retour quelque peu nostalgique à la période de la guerre froide. Ce cinéma vintage met l’accent sur la reconstitution soigneuse de l’atmosphère de l’époque d’avantage que sur l’analyse politique. Le film de Pawlikowski ne déroge pas à la règle.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un film de misanthrope drapé dans un romantisme factice.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Bande à part
Un amour puissant et chaud en pleine Guerre froide. Mais impossible aussi. C’est le nouveau voyage magnétique auquel invite Pawel Pawlikowski.
Elle
"Cold War" est un film puissant à la grâce infinie.
Femme Actuelle
Un petit bijou.
La Croix
C’est un éloge de l’épure. Une démonstration de la puissance émotive du minimalisme pour traduire la relation tempétueuse de deux amants. Les deux acteurs, Joanna Kulig et Tomasz Kot, illuminent cette œuvre fascinante.
Le Parisien
Prix de la mise en scène à Cannes, «Cold War», du réalisateur polonais Pawel Pawlikowski, redonne toutes ses couleurs au drame romantique.
Les Fiches du Cinéma
Un film simple et beau, qui capture l’essence d’un grand drame romanesque dans le petit flacon d’une ritournelle.
Libération
Un film glamour et chaleureux, un noir et blanc proche des photos Harcourt qui cependant chatoie et ne renonce jamais à la profondeur de champ, un passé reconstitué qui ne fige en rien l’histoire, un «réalisme poétique» comme on disait de Marcel Carné plutôt pour fustiger son académisme, mais dont ici la séduction romanesque opère à plein et n’oblitère pas le cœur battant des personnages : est-ce seulement possible ?
Positif
En 88 minutes sombres et éclatantes, "Cold War", prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes, réunit tous les thèmes qui hantent et enflamment l'oeuvre de Pawel Pawlikowski.
Télérama
Le cinéaste filme cet amour comme une malédiction, à travers des scènes où le plaisir et la mélancolie ne font qu’un. Des scènes à la fois intenses et un peu irréelles, comme les fragments distanciés d’un rêve ou d’un passé dont on ne voudrait garder que les souvenirs essentiels, douloureux et heureux.
20 Minutes
Pawel Pawlikowski a un don pour brosser de beaux portraits de femmes et révéler des comédiennes.
Critikat.com
Toute la mise en scène de ce récit de romance contrariée (...) cultive les ruptures, les désunions et les réunions.
Culturopoing.com
"Cold War" condense une quinzaine d’années, rythmées par des ellipses et des déplacements qui rassemblent les fragments narratifs vers un finale si gracieux qu’il en fait oublier les défauts de la narration.
Franceinfo Culture
"Cold War" n’en demeure pas moins désespéré, une tragédie prégnante, où le sens et la forme se fondent dans un poème visuel de tous les instants.
L'Express
Alors oui, on pourra trouver "Cold War" trop austère et trop mécanique. Le réalisateur assume cette distance avec le spectateur. Mais quelques passages (notamment le dernier plan, somptueux) sont si proches d'une certaine idée de la perfection qu'il serait bien dommage de passer à côté de l'histoire bouleversante de Zula et Wiktor.
La Voix du Nord
Une somptueuse ballade sensuelle et pudique.
Le Figaro
Prix de la mise en scène au Festival de Cannes, «Cold War» apparaît comme un roman envoûtant centré autour de deux héros. Filmés sans tricherie dans le Paris bohème des années 1950, ils sont lumineux.
Le Journal du Dimanche
La narration, qui procède par ellipses temporelles, peut dérouter, mais elle renforce la dramaturgie et provoque même le vertige quand on découvre ce que sont devenus les héros, les choix qui les ont réunis ou éloignés, sans pour autant détailler leurs motivations.
Ouest France
Le noir et blanc et somptueux et la réalisation virtuose.
Paris Match
Le réalisateur polonais Pawel Pawlikowski signe un sublime mélodrame en noir et blanc à la beauté glacée.
Première
Avec une densité exceptionnelle, Pawel Pawlikowski raconte en 1H27 trente ans d’amour fou et tragique.
Rolling Stone
Filmé dans un noir et blanc aussi glacial que la guerre froide qu’il décrit, Cold War mérite largement son prix de la mise en scène remporté à Cannes.
Sud Ouest
Format carré, en noir et blanc, de courte durée : "Cold War" est une pointe sèche, gravure intime et tragique pour dire l’enfermement de l’amour et celui de l’époque.
Transfuge
Peu suffit à Pawlikowski pour raconter beaucoup.
Télé Loisirs
Cette romance contrariée et touchante oppose la pureté des sentiments à un système qui tente de broyer toute émotion.
Ecran Large
Malgré quelques scories narratives qui l'empèsent, "Cold War" se déploie avec une grâce visuelle admirable.
Le Monde
La première partie de Cold War, qui met en scène l’appropriation d’un art populaire par un régime, est un modèle de mise en scène politique et historique.
Les Inrockuptibles
Le formalisme empesé de l’auteur de Ida trouve une ample respiration grâce à un récit très romanesque. Celui d’un amour dans l’Europe fracturée du XXe siècle.
aVoir-aLire.com
Toujours soucieux de la magnificence picturale de chaque plan, le Polonais Pawel Pawlikowski en oublie de laisser une place à l’empathie dans sa description figée d’une relation de couple houleuse.
Cahiers du Cinéma
Cold War fait partie d’une vague « rétro » fleurissant actuellement en Pologne marquée par un retour quelque peu nostalgique à la période de la guerre froide. Ce cinéma vintage met l’accent sur la reconstitution soigneuse de l’atmosphère de l’époque d’avantage que sur l’analyse politique. Le film de Pawlikowski ne déroge pas à la règle.
L'Obs
Un film de misanthrope drapé dans un romantisme factice.