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Votre avis sur Eva ?
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Loïck G.
Il ne ressort quasiment rien de cette nouvelle adaptation de l’œuvre de Chase, sinon plein d’interrogations sur les intentions d’un cinéaste qui habituellement savait nous donner du plaisir sur grand écran (« Les adieux à la reine », « Trois cœurs » …). Je n’ai jamais vu Isabelle Huppert aussi absente d’un rôle qui pourtant méritait toutes les attentions. Gaspard Ulliel est plutôt pas mal dans sa défroque de romancier à la dérive amoureuse incertaine, mais tout aussi inconsistant sur la manière de conduire les ébats. Y-a-t-il un directeur d’acteurs sur le plateau ? Et un metteur en scène pour donner une certaine dynamique à cette énigme permanente qui demeure bien flasque et tristounette
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
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En apprenant la sortie du film, j'étais très impatiente de le découvrir et de retrouver Isabelle Huppert et Gaspard Ulliel dans un même film. J'étais par ailleurs conquise par l'esthétique des images et avait hâte de les découvrir. Sur ses deux points je n'ai pas été déçue, le casting est très plaisant, le jeu des acteurs est excellent et j'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver Richard Berry. La réalisation est belle, les jeux de lumières, des couleurs, dommage qu'elle manque autant de rythme. L'ensemble est assez linéaire, le scénario plutôt plat, de fait je me suis passablement ennuyée devant ce film. Pour moi, il n'est ni bon, ni mauvais, un entre deux qu'on oubliera malheureusement très vite. Dommage, l'ensemble me plaisait assez.
Fidèle à elle même, dans un rôle fait sur mesure, Isabelle Huppert (Eva) sauve ce film avec un dénouement quelque peu surprenant et inattendu. Il raconte un jeune apprenti écrivain en quête d’inspiration (Gaspard Ulliel) qui tombe par hasard sur une prostitué de luxe à ses heures (Isabelle Huppert). Pressé par son éditeur (Richard Berry) il s’implique dans une histoire sans issue avec Eva, habituée à être la dominatrice avec ses clients, mais avec qui elle fait des concessions. Sur le papier cela pourrait être intéressant, mais le résultat est peu convaincant et la fin un peu forcée quand même.
weihnachtsmann
Polanski aurait pu en tirer un bon film avec ce sujet mais ici tout est stérile et Huppert joue tellement mal la prostituée.
Un film peut-être chaud par sa couleur mais repoussant par son style et sa mise en scène hachée et froide.
Un film peut-être chaud par sa couleur mais repoussant par son style et sa mise en scène hachée et froide.
Un film d’une grande maîtrise, tout semble millimétré mais hélas ne fait ressortir aucunes émotions. Dommage que cette froideur prend le pas, car les personnages sont tous admirablement campés !
Benoît Jacquot a été beaucoup plus inspiré par Isabelle Huppert dans bon nombre de films. Dans cette "Eva" il se contente malheureusement d’aligner les clichés du film noir bas de gamme. L'intrigue sent le déjà-vu cent fois, malmenée par des acteurs peu inspirés. Isabelle Huppert fait ce qu'elle peut, mais ce personnage de 'femme fatale' elle l'a incarné tellement de fois au cinéma, en mieux, qu'ici elle fait presque peine à voir. Au bout d'un moment le film, qui n'est pas non plus désagréable à regarder, développe un côté bon marché risible.Il a un peu un côté téléfilm fauché des années 90. Ce qui n'est pas un compliment.
Ce film commence comme une promesse. Bertrand est homme de compagnie (homme de plaisir) d’un vieil auteur anglais. Celui-ci décède subitement dans son bain, bien aidé par l’inactivité de Bertrand d'ailleurs.
Quelques années plus tard Bertrand est devenu lui même un auteur à succès, après avoir pillé la création de son feu amant. Aujourd’hui il doit écrire une seconde pièce, mais l’inspiration ne vient pas. On dirait le début d’un Homme Idéal non ? Les similitudes s'arrêtent là.
Pour trouver l’idée de son prochain succès, Bertrand commence une relation de soumission avec Eva, prostituée de luxe et tente de la manipuler.
Ceux qui ont aimé Elle avec Isabelle Huppert, retrouveront sa froideur habituelle. Ceux qui s’attendaient à un thriller psychologique resteront sur leur faim. Bertrand est plein de rage et de violence j’aurai aimé qu’il l’exprime d’avantage. Son personnage ne va pas assez loin. Isabelle Hupper, fait du Isabelle Huppert. Qu’elle en profite, parce qu’elle ne pourra pas jouer les vamp sexy bien longtemps.
Quelques années plus tard Bertrand est devenu lui même un auteur à succès, après avoir pillé la création de son feu amant. Aujourd’hui il doit écrire une seconde pièce, mais l’inspiration ne vient pas. On dirait le début d’un Homme Idéal non ? Les similitudes s'arrêtent là.
Pour trouver l’idée de son prochain succès, Bertrand commence une relation de soumission avec Eva, prostituée de luxe et tente de la manipuler.
Ceux qui ont aimé Elle avec Isabelle Huppert, retrouveront sa froideur habituelle. Ceux qui s’attendaient à un thriller psychologique resteront sur leur faim. Bertrand est plein de rage et de violence j’aurai aimé qu’il l’exprime d’avantage. Son personnage ne va pas assez loin. Isabelle Hupper, fait du Isabelle Huppert. Qu’elle en profite, parce qu’elle ne pourra pas jouer les vamp sexy bien longtemps.
Cinéphiles 44
« Eva » est un film dramatique coécrit et réalisé par Benoît Jacquot. Il s’agit de l’adaptation du roman de James Hadley Chase, déjà été adapté au cinéma par Joseph Losey avec Jeanne Moreau et Stanley Baker en 1962. Le film décrit un jeu de séduction entre un jeune escroc, devenu un écrivain en vogue après s'être secrètement emparé d'une pièce de théâtre d'un de ses clients, et Eva, une prostituée mystérieuse. Gaspard Ulliel a bien compris la dimension psychologique de son rôle charismatique mais méprisant. Isabelle Huppert brille en femme ténébreuse mais détachée de ce qu’elle vit. Alors pourquoi rien ne fonctionne ? A cause de séquences trop démonstratives, Benoît Jacquot ne parvient pas à insuffler à son thriller sexuel la tension méritée. « Eva » était surement un sujet trop ambitieux pour ce cinéaste trop porté par des mises en scène classique. On aurait apprécié davantage d’érotisme et de situations malsaines.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Un thriller psychologique froid qui n'a pas tenu ses promesses.
On s'y perd un peu
Isabelle Huppert est toujours aussi formidable malgré cela le film ne m'a pas embarqué.
BOF BOF
On s'y perd un peu
Isabelle Huppert est toujours aussi formidable malgré cela le film ne m'a pas embarqué.
BOF BOF
Peu intéressé par le cinéma français je ne vais voir des films français que 2 fois par an environ principalement pour voir Gaspard Ulliel que je suis dans sa filmographie depuis Jacquou le croquant en 2007 que j'avais adoré en salles, j'avais été acheté ensuite tous les livres sur le film...
On n'avait pas eu de films en salles depuis le Xavier Dolan et 'La danseuse" il y a 1an.
bonne promo pour le film mais il n'a pas été pris dans mon parc de cinémas UGC à Lyon Part Dieu,
j'ai été obligé d'aller courir à IGC COnfluence pour le voir ....
j'ai passé un excellent moment devant ce thriller solide bien mené, intense, en plus tourné en hiver
saison que j'adore et en grande partie à Annecy ville où je passais à chaque vacances enfant...
on a vraiment envie de voir comment ça va se finir entre Ulliel et Uppert.
spoiler: la fin n'est pas celle qu'on croit et j'ai été passionné par le personnage tourmenté vivant en sursis de Ulliel que je comprends tellement ...
détail qui ne va pas intéresser mais j'ai reconnu quelques vêtements venant de Ulliel n'étant pas fournis
par le film : ses santiags, son blouson de cuir qu'il a au début du film... ce n'est pas courant .
dégouté que Ulliel qui avait retrouvé dans ce film les cheveux longs, sa coupe idéale ait depuis encore une fois rasé ses cheveux ce qui lui va pas du tout !
On n'avait pas eu de films en salles depuis le Xavier Dolan et 'La danseuse" il y a 1an.
bonne promo pour le film mais il n'a pas été pris dans mon parc de cinémas UGC à Lyon Part Dieu,
j'ai été obligé d'aller courir à IGC COnfluence pour le voir ....
j'ai passé un excellent moment devant ce thriller solide bien mené, intense, en plus tourné en hiver
saison que j'adore et en grande partie à Annecy ville où je passais à chaque vacances enfant...
on a vraiment envie de voir comment ça va se finir entre Ulliel et Uppert.
spoiler: la fin n'est pas celle qu'on croit et j'ai été passionné par le personnage tourmenté vivant en sursis de Ulliel que je comprends tellement ...
détail qui ne va pas intéresser mais j'ai reconnu quelques vêtements venant de Ulliel n'étant pas fournis
par le film : ses santiags, son blouson de cuir qu'il a au début du film... ce n'est pas courant .
dégouté que Ulliel qui avait retrouvé dans ce film les cheveux longs, sa coupe idéale ait depuis encore une fois rasé ses cheveux ce qui lui va pas du tout !
Je dois confesser que je suis resté longtemps curieux et interrogatif. J’avais espoir que ça décollerait. Les allers-retours incessants Paris-Annecy-Paris commençaient à me lasser. Il m’a fallu du temps pour m’apercevoir que le film n’avait qu’une direction : Paris-Ennui-Paris. J’ai dû me résoudre à cette évidence implacable : ce n’est pas avec un TGV qu’on décolle ! Terminus : déception, que dis-je, une vacuité intersidérale... Cela n’enlève rien à Isabelle Huppert et à Gaspard Ulliel qui ont assuré le job. Quant à l’actrice Julia Roy qui interprète Caroline, ça manque d’incarnation
spoiler:
et ne crois pas du tout à son suicide
. Un film vain, dénué de corps, de masse, de matière. Dommage, le casting avait de la matière...
. Un film vain, dénué de corps, de masse, de matière. Dommage, le casting avait de la matière...
ManoCornuta
Un drame qui semble vouloir prendre des accents de thriller par moments, mais qui glisse finalement vers des raisonnements fumeux et des comportements de moins en moins rationnels. Le film se termine en donnant l'impression que l'on va chercher encore longtemps les raisons d'agir de tout ce beau monde. Les acteurs jouent juste, mais c'est bien insuffisant pour compenser un scénario qui erre dans une nébuleuse pseudo-érotico-romantique, dans une mise en scène très linéaire et sans éclats.
Ce film m'a beaucoup plu, le scénario est bon et bien interprété, je n'ai pas vu le temps passé, très bon suspens ....
Film narrant la difficulté d'un homme à écrire. Syndrome de la page blanche. Victime de son succès non mérité, le ténébreux Gaspard Ulliel va essayer de piéger une prostituée,
spoiler:
or il se fait avoir à son propre jeu
. Peu de paroles mais beaucoup d'expressions, tout peut se lire dans le regard de chaque comédien. Après le film reste assez fade dans le sens où certes c'est pas un thriller mais il n'y a pas beaucoup de péripéties. Néanmoins, il se laisse quand même regarder assez facilement.
. Peu de paroles mais beaucoup d'expressions, tout peut se lire dans le regard de chaque comédien. Après le film reste assez fade dans le sens où certes c'est pas un thriller mais il n'y a pas beaucoup de péripéties. Néanmoins, il se laisse quand même regarder assez facilement.
Nouveau plus que bizarre avec Mme Huppert...
Un mec profite de la mort d'un auteur pour lui voler son oeuvre et gagner ça vie ainsi...mais pour donner le change va falloir qu'il écrive quelque chose de lui même et il part dans un délire avec une prostitué incarné par Isabelle Huppert mais cela va lui jouer un mauvais tour.
Bref...déjà le concepts de vouloir se "taper"une "vieille" alors qu'il vie avec une femme superbe je reste sur le cul mais aller passons sur cela...ben je me suis bien emmerdé!!!
C'est mou, la pseudo tentative de manipulation est foireuse et franchement on crois en aucun des acteurs donc bien merdique.
NOTE: 2/10
Un mec profite de la mort d'un auteur pour lui voler son oeuvre et gagner ça vie ainsi...mais pour donner le change va falloir qu'il écrive quelque chose de lui même et il part dans un délire avec une prostitué incarné par Isabelle Huppert mais cela va lui jouer un mauvais tour.
Bref...déjà le concepts de vouloir se "taper"une "vieille" alors qu'il vie avec une femme superbe je reste sur le cul mais aller passons sur cela...ben je me suis bien emmerdé!!!
C'est mou, la pseudo tentative de manipulation est foireuse et franchement on crois en aucun des acteurs donc bien merdique.
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