Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Un premier long métrage sombre qui, à l’image de la figure centrale de la forêt, mentale ou réelle, malmène l’imaginaire et trouble les sens.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Alex Pettyfer opère un virage convaincant vers le cinéma indépendant.
Critikat.com
par Laetitia Scherier
(...) une œuvre sensible sur le pouvoir de l’imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Un puzzle noir et troublant qu'on traverse comme un cauchemar à demi éveillé, tenu par une ambiance envoûtante et un duo d'acteurs fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le film, brouillant constamment les pistes et mélangeant le réel et le fantasmé, emmène le spectateur dans un itinéraire d'étrangeté, où une construction complexe mêle les sujets les plus glauques et immerge le spectateur dans une troublante expérience sensorielle.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Avec une photographie magnifique malgré le peu de moyens, les réalisateurs contruisent un récit d'apprentissage malin, troublant et à l'atmophère onirique à la Poe.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Privilégiant une narration fragmentée, "The Strange Ones" laisse libre cours à l'interprétation du spectateur qui devra trouver ses propres repères.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Un road movie taiseux assez intense, porté par le charismatique Alex Pettyfer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pierre Lunn
Sec et maîtrisé de bout en bout, le film est incroyablement incarné.
Première
par Sylvestre Picard
Un tout petit film, oui, mais un vrai petit cauchemar bien troussé.
Télérama
par Pierre Murat
L’astuce de Christopher Radcliffe et Lauren Wolkstein est de jouer constamment avec nos certitudes. (...) Tout occupés à ourdir leurs pièges et à les défaire, les réalisateurs ne parviennent pas, hélas, à en éviter un : l’esthétisme. Tout est trop séduisant dans The Strange Ones : les cadrages, les paysages, les comédiens. La cruauté et l’audace se figent devant tant de beauté exacerbée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si la maîtrise de la caméra ne fait aucun doute, ainsi qu’un certain talent à créer l’ambiance, la narration n’y est pas. Car de ce long exposé ne se dégage pas assez de mystère pour que l’intérêt demeure.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Un peu de simplicité n’aurait pas nui à ces "Strange Ones" qui sont, en effet, étranges, parfois intéressants, mais déconcertants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les cinéastes s’amusent ainsi à déstabiliser le spectateur et à cultiver une opacité, parfois dérangeante, qui vise à transformer ce voyage en odyssée existentielle.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
En adaptant leur court-métrage éponyme en long-métrage, les réalisateurs Christopher Radcliff et Lauren Wolkstein ont surtout alimenté la dimension crypto-pédophile de la relation amoureuse entre un ado de 14 ans et un trentenaire. Léger malaise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Il n’est guère que son titre pour suggérer que The Strange Ones recèle quelque part d’étrangeté.
Culturopoing.com
Un premier long métrage sombre qui, à l’image de la figure centrale de la forêt, mentale ou réelle, malmène l’imaginaire et trouble les sens.
CinemaTeaser
Alex Pettyfer opère un virage convaincant vers le cinéma indépendant.
Critikat.com
(...) une œuvre sensible sur le pouvoir de l’imaginaire.
Ecran Large
Un puzzle noir et troublant qu'on traverse comme un cauchemar à demi éveillé, tenu par une ambiance envoûtante et un duo d'acteurs fantastique.
Le Dauphiné Libéré
Le film, brouillant constamment les pistes et mélangeant le réel et le fantasmé, emmène le spectateur dans un itinéraire d'étrangeté, où une construction complexe mêle les sujets les plus glauques et immerge le spectateur dans une troublante expérience sensorielle.
Le Journal du Dimanche
Avec une photographie magnifique malgré le peu de moyens, les réalisateurs contruisent un récit d'apprentissage malin, troublant et à l'atmophère onirique à la Poe.
Les Fiches du Cinéma
Privilégiant une narration fragmentée, "The Strange Ones" laisse libre cours à l'interprétation du spectateur qui devra trouver ses propres repères.
Les Inrockuptibles
Un road movie taiseux assez intense, porté par le charismatique Alex Pettyfer.
Ouest France
Sec et maîtrisé de bout en bout, le film est incroyablement incarné.
Première
Un tout petit film, oui, mais un vrai petit cauchemar bien troussé.
Télérama
L’astuce de Christopher Radcliffe et Lauren Wolkstein est de jouer constamment avec nos certitudes. (...) Tout occupés à ourdir leurs pièges et à les défaire, les réalisateurs ne parviennent pas, hélas, à en éviter un : l’esthétisme. Tout est trop séduisant dans The Strange Ones : les cadrages, les paysages, les comédiens. La cruauté et l’audace se figent devant tant de beauté exacerbée.
Franceinfo Culture
Si la maîtrise de la caméra ne fait aucun doute, ainsi qu’un certain talent à créer l’ambiance, la narration n’y est pas. Car de ce long exposé ne se dégage pas assez de mystère pour que l’intérêt demeure.
L'Obs
Un peu de simplicité n’aurait pas nui à ces "Strange Ones" qui sont, en effet, étranges, parfois intéressants, mais déconcertants.
Le Monde
Les cinéastes s’amusent ainsi à déstabiliser le spectateur et à cultiver une opacité, parfois dérangeante, qui vise à transformer ce voyage en odyssée existentielle.
aVoir-aLire.com
En adaptant leur court-métrage éponyme en long-métrage, les réalisateurs Christopher Radcliff et Lauren Wolkstein ont surtout alimenté la dimension crypto-pédophile de la relation amoureuse entre un ado de 14 ans et un trentenaire. Léger malaise.
Cahiers du Cinéma
Il n’est guère que son titre pour suggérer que The Strange Ones recèle quelque part d’étrangeté.