Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La nature est là, mais à l'arrière-plan du nouveau poème filmique de Naomi Kawase, l'art sensoriel de son cinéma animiste atteint ici à une rare élévation.
Ecran Large
par Chris Huby
Un film d'une grande beauté et qu'il ne faut pas manquer. La réalisatrice japonaise livre ici l'un de ses meilleurs longs métrages, alliant à la fois simplicité et grande poésie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un film déjà inoubliable.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film qui, dans une sorte d’enchâssement en abyme, place le cinéma au coeur même de son dispositif narratif pour dire, dans la simplicité et la sensualité des plans, la beauté et la fragilité de la lumière du monde.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Sujet original, image somptueuse, acteurs dignes d'un prix d'interprétation, délicatesse, tout est réuni dans ce neuvième film de la réalisatrice japonaise Naomi O Kawase (...).
Paris Match
par Yannick Vely
Plus le film avance vers sa résolution sur la musique divine d'Ibrahim Maalouf, plus l'émotion monte en nous comme la marée des sentiments. La fin, sublime forcément, balaie toutes les réticences.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Vous serez touchée par cette magnifique histoire d'amour sensible et poétique, filmée par la réalisatrice des "Délices de Tokyo" avec une délicatesse infinie.
L'Humanité
par Dominique Widemann
La réalisatrice dispose ici tous ses thèmes, en combine les éléments au profit d’un nouvel angle de vision de soi-même et de l’autre, de l’ouverture à la capacité absolue de la rencontre dans un monde de discriminations. Mais elle joint cette fois un discours théorique dédié à la puissance expressive des images, visibles ou manquantes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Attachée à contempler les frémissements du monde, la naissance des sentiments, les cœurs affolés, Naomi Kawase filme la caresse sur un visage comme une révélation, et le rapprochement de ces deux êtres vulnérables, qui cheminent « vers la lumière », comme un troublant poème visuel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Misako, une jeune femme passionnée par son métier d’audio-descriptrice, s’éprend d’un photographe au bord de la cécité. Bien que nourri d’émotions sincères et d’un thème fort, le long métrage de Naomi Kawase s’enlise dans une mièvrerie superfétatoire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
Vers la lumière c’est donc avant tout une histoire d’amour entre deux êtres qui essaient tant bien que mal de faire l’expérience de l’altérité. Un bien beau film en somme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une mise en scène toute en douceur distille une musique subtile, qui tient notamment à la grâce de sa comédienne.
Télé Loisirs
par Jérémy Mingot
Une douce romance, pudique et épurée, mais extrêmement touchante.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Délaissant l’esotérisme au profit d’une belle fluidité, Naomi Kawase revient avec un poème philosophique élégant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
Une fresque humaniste et poétique profondément enracinée dans la nature nippone.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par La Rédaction
Contemplative à l'envi, Naomi Kawase filme toujours admirablement les lumières mais prend le risque d'ennuyer le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Voici
par La Rédaction
Histoire d'amour métaphorique, questionnement existentiel sur le regard, sur les images et les mots, mais baignant dans une atmosphère un peu trop doucereuse.
Critikat.com
par Antoine Gaudin
Pour avoir eu l’intelligence de placer cette méditation collective au cœur de son propos, on pardonnera donc au film de Kawase de n’être pas formellement à la hauteur de sa propre ambition.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Si Kawase pouvait penser moins fort et émouvoir plus simplement, ce serait formidable.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En brisant l’identification du spectateur au héros, Kawase bascule dans la romance convenue. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Etait-elle obligée, Naomi Kawase, de surligner à ce point ses images, d’user de dialogues pour évoquer le bruit d’un cœur qui se serre, de noyer de mots le monde de sensations et de vibrations qui est le sien ? Où est donc passée la si pointilliste cinéaste qu’on aimait tant ?
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La mise en scène est belle mais démonstrative, le rythme lent et le pathos trop présent.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Naomi Kawase, grande et délicate cinéaste japonaise, poursuit ici un travail hanté par la disparition des êtres et des choses. Empesé par le symbolisme, son nouveau film ne retrouve pas la grâce qui ordinairement la caractérise.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Tout tombe à plat. La fiction ne prend pas parce que Kawase ne s’est pas donné le mal d’articuler la relation amoureuse (embryonnaire) entre la jeune fille et le photographe, ni de mettre en scène assez clairement la détresse de ce dernier face à l’évaporation de sa vision. Il y a certes de belles idées – comme la séquence où le photographe ne voit plus que des ombres et shoote au jugé –, mais elles sont confuses. Trop cérébral, pas assez senti.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Narrant la relation entre une jeune femme et un futur aveugle, le nouveau film de Naomi Kawase sombre dans la niaiserie et l’émotion forcée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Adrien Gombeaud
Naomi Kawase (...) semble surtout nous prier d'entrer dans son cinéma comme dans une cathédrale. (...) Les fidèles s'y rendront ravis et chapeau bas. Ceux qui pensent qu'il n'y a rien après la mort se raccrocheront à la beauté d'Ayame Misaki ou préfèreront profiter de la vie.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Les symboles sont forts dans cette réflexion métaphorique sur la vue qui s'étire en longueur.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Vers la lumière, dès son titre programmatique, n’est somme toute qu’une fiction pompière et sulpicienne – dont les étouffants gros plans semblent être un défi ironique à l’audiodescription.
Télérama
par Samuel Douhaire
Où sont passées l’intelligence et la justesse du regard documentaire de la cinéaste de Naissance et maternité ? Et les belles envolées poétiques de Still the water en 2014 ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
La nature est là, mais à l'arrière-plan du nouveau poème filmique de Naomi Kawase, l'art sensoriel de son cinéma animiste atteint ici à une rare élévation.
Ecran Large
Un film d'une grande beauté et qu'il ne faut pas manquer. La réalisatrice japonaise livre ici l'un de ses meilleurs longs métrages, alliant à la fois simplicité et grande poésie.
Elle
Un film déjà inoubliable.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui, dans une sorte d’enchâssement en abyme, place le cinéma au coeur même de son dispositif narratif pour dire, dans la simplicité et la sensualité des plans, la beauté et la fragilité de la lumière du monde.
Le Parisien
Sujet original, image somptueuse, acteurs dignes d'un prix d'interprétation, délicatesse, tout est réuni dans ce neuvième film de la réalisatrice japonaise Naomi O Kawase (...).
Paris Match
Plus le film avance vers sa résolution sur la musique divine d'Ibrahim Maalouf, plus l'émotion monte en nous comme la marée des sentiments. La fin, sublime forcément, balaie toutes les réticences.
Femme Actuelle
Vous serez touchée par cette magnifique histoire d'amour sensible et poétique, filmée par la réalisatrice des "Délices de Tokyo" avec une délicatesse infinie.
L'Humanité
La réalisatrice dispose ici tous ses thèmes, en combine les éléments au profit d’un nouvel angle de vision de soi-même et de l’autre, de l’ouverture à la capacité absolue de la rencontre dans un monde de discriminations. Mais elle joint cette fois un discours théorique dédié à la puissance expressive des images, visibles ou manquantes.
La Croix
Attachée à contempler les frémissements du monde, la naissance des sentiments, les cœurs affolés, Naomi Kawase filme la caresse sur un visage comme une révélation, et le rapprochement de ces deux êtres vulnérables, qui cheminent « vers la lumière », comme un troublant poème visuel.
Les Fiches du Cinéma
Misako, une jeune femme passionnée par son métier d’audio-descriptrice, s’éprend d’un photographe au bord de la cécité. Bien que nourri d’émotions sincères et d’un thème fort, le long métrage de Naomi Kawase s’enlise dans une mièvrerie superfétatoire.
Première
Vers la lumière c’est donc avant tout une histoire d’amour entre deux êtres qui essaient tant bien que mal de faire l’expérience de l’altérité. Un bien beau film en somme.
Sud Ouest
Une mise en scène toute en douceur distille une musique subtile, qui tient notamment à la grâce de sa comédienne.
Télé Loisirs
Une douce romance, pudique et épurée, mais extrêmement touchante.
aVoir-aLire.com
Délaissant l’esotérisme au profit d’une belle fluidité, Naomi Kawase revient avec un poème philosophique élégant.
Franceinfo Culture
Une fresque humaniste et poétique profondément enracinée dans la nature nippone.
Le Figaro
Contemplative à l'envi, Naomi Kawase filme toujours admirablement les lumières mais prend le risque d'ennuyer le spectateur.
Voici
Histoire d'amour métaphorique, questionnement existentiel sur le regard, sur les images et les mots, mais baignant dans une atmosphère un peu trop doucereuse.
Critikat.com
Pour avoir eu l’intelligence de placer cette méditation collective au cœur de son propos, on pardonnera donc au film de Kawase de n’être pas formellement à la hauteur de sa propre ambition.
L'Express
Si Kawase pouvait penser moins fort et émouvoir plus simplement, ce serait formidable.
L'Obs
En brisant l’identification du spectateur au héros, Kawase bascule dans la romance convenue. Dommage.
La Voix du Nord
Etait-elle obligée, Naomi Kawase, de surligner à ce point ses images, d’user de dialogues pour évoquer le bruit d’un cœur qui se serre, de noyer de mots le monde de sensations et de vibrations qui est le sien ? Où est donc passée la si pointilliste cinéaste qu’on aimait tant ?
Le Journal du Dimanche
La mise en scène est belle mais démonstrative, le rythme lent et le pathos trop présent.
Le Monde
Naomi Kawase, grande et délicate cinéaste japonaise, poursuit ici un travail hanté par la disparition des êtres et des choses. Empesé par le symbolisme, son nouveau film ne retrouve pas la grâce qui ordinairement la caractérise.
Les Inrockuptibles
Tout tombe à plat. La fiction ne prend pas parce que Kawase ne s’est pas donné le mal d’articuler la relation amoureuse (embryonnaire) entre la jeune fille et le photographe, ni de mettre en scène assez clairement la détresse de ce dernier face à l’évaporation de sa vision. Il y a certes de belles idées – comme la séquence où le photographe ne voit plus que des ombres et shoote au jugé –, mais elles sont confuses. Trop cérébral, pas assez senti.
Libération
Narrant la relation entre une jeune femme et un futur aveugle, le nouveau film de Naomi Kawase sombre dans la niaiserie et l’émotion forcée.
Positif
Naomi Kawase (...) semble surtout nous prier d'entrer dans son cinéma comme dans une cathédrale. (...) Les fidèles s'y rendront ravis et chapeau bas. Ceux qui pensent qu'il n'y a rien après la mort se raccrocheront à la beauté d'Ayame Misaki ou préfèreront profiter de la vie.
Studio Ciné Live
Les symboles sont forts dans cette réflexion métaphorique sur la vue qui s'étire en longueur.
Cahiers du Cinéma
Vers la lumière, dès son titre programmatique, n’est somme toute qu’une fiction pompière et sulpicienne – dont les étouffants gros plans semblent être un défi ironique à l’audiodescription.
Télérama
Où sont passées l’intelligence et la justesse du regard documentaire de la cinéaste de Naissance et maternité ? Et les belles envolées poétiques de Still the water en 2014 ?