Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jean-Francois Lixon
En piétinant joyeusement les clichés, l'équipe de "Patti Cake$", son réalisateur en tête, a peut-être fait beaucoup pour le rapprochement des générations.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film puissant, qui fait du bien.
20 Minutes
par Caroline Vié
Avec son physique imposant et ses grands yeux bleus, Danielle Macdonald bouffe l’écran avec une hargne épatante gagnant immédiatement le cœur du public par sa soif d’échapper à un destin médiocre.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Sans surprise, Patti Cake$ brille en grande partie grâce à ses acteurs. Danielle Macdonald se révèle plus qu'excellente dans un superbe rôle, bien loin de se résumer au stéréotype redouté.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Un feel goog movie au rap assez trash, soit un mélange vivifiant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La réussite, ou le rêve américain : même pour les obèses, les pauvres, les délaissés. Ici, c’est le slam qui sert de marchepied et les bons sentiments de carburant : on s’y laisse forcément prendre.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
"Patti Cake$" vaut le coup pour ce tableau d’une Amérique white-trash pleine d’imbécile misère, de poisseuse tristesse, et qui se voit opposer une jeune fille têtue, ses deux copains musicos et sa grand-mère en chaise roulante, qui vont former un groupe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Patti Cake$ dézingue les stéréotypes du rap et se révèle triplement transgressif, défendant l’idée qu’on peut réussir dans ce domaine en étant une femme, blanche et en surpoids.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Salammbô Marie
Une belle réussite, tant visuelle que scénaristique, portée par la révélation Danielle Macdonald.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
L'Americain Geremy Jasper signe avec son premier long, le portrait généreux d'une jeune rappeuse obstinée.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Bande à part
par Jo Fishley
Geremy Jasper aurait pu cadrer ça, cette histoire un peu minable, une vie de chien, de white trash (« raclure blanche »). Mais il tient le social en background et surtout, s’interdit tout misérabilisme : son portrait n’est pas économique, ni sociologique, il est dans la vie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmauelle Spadacenta
Un film sans grand effort de mise en scène, qui vaut véritablement pour ses personnages et ses acteurs.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un conte de fées white trash cousu de fil blanc auquel l’abattage de Danielle Macdonald (une révélation), le bagou des dialogues et les apartés fous, façon comédie musicale, confèrent une personnalité qui manque à la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
L'actrice australienne Danielle McDonald crève littéralement l'écran dans ce premier long-métrage ambitieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le scénario est cousu de fil blanc mais le charme est au rendez-vous : l’héroïne, cousine de l’Anglaise Kate Tempest, est aussi grosse qu’émouvante et les autres personnages, que ce soit la mère instable ou le copain mutique, tous attachants et joliment dessinés.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoareau
Pour son premier long métrage, Geremy Jasper piétine les clichés et signe une épopée initiatique vivifiante.
Voici
par Lola Sciamma
Si vous n'aimez pas le slam et les gros mots, fuyez ! Sinon, allez-y pour apprécier cette success story white trash, peuplée de "trognes", qui vous laissera à peine le temps de respirer entre deux battles.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Cette success-story musicale ne révolutionne pas le genre mais propose un touchant récit d’êtres à la dérive. Mineur mais agréable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Avouons qu’on a vu le film en clôture de la Quinzaine à Cannes, parmi tant de films mornes, et qu’on a passé la fin du festival avec le rap de Patti en tête. Parfois le plaisir n’est qu’une question de contexte : le rap de Patti déchire sur la Côte d’Azur et dans le New Jersey, peut-être pas à Paris et NewYork.
Critikat.com
par Alain Zind
Le film transpire d'une véritable ivresse créative, même si elle manque cruellement de singularité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Un bréviaire de correction politique, tout juste sauvé par la performance de son actrice, l’attachante Danielle Macdonald.
Première
par Christophe Narbonne
Tous les ingrédients du feel good indé sont là : l’environnement pourri (familial et social), l’héroïne volontaire au destin contrarié, le style docu crado… Geremy Jasper n’est cependant pas Curtis Hanson et son 8 Mile au féminin manque d’aspérités et d’authenticité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
En piétinant joyeusement les clichés, l'équipe de "Patti Cake$", son réalisateur en tête, a peut-être fait beaucoup pour le rapprochement des générations.
Le Parisien
Un film puissant, qui fait du bien.
20 Minutes
Avec son physique imposant et ses grands yeux bleus, Danielle Macdonald bouffe l’écran avec une hargne épatante gagnant immédiatement le cœur du public par sa soif d’échapper à un destin médiocre.
Ecran Large
Sans surprise, Patti Cake$ brille en grande partie grâce à ses acteurs. Danielle Macdonald se révèle plus qu'excellente dans un superbe rôle, bien loin de se résumer au stéréotype redouté.
L'Express
Un feel goog movie au rap assez trash, soit un mélange vivifiant.
Le Dauphiné Libéré
La réussite, ou le rêve américain : même pour les obèses, les pauvres, les délaissés. Ici, c’est le slam qui sert de marchepied et les bons sentiments de carburant : on s’y laisse forcément prendre.
Les Inrockuptibles
"Patti Cake$" vaut le coup pour ce tableau d’une Amérique white-trash pleine d’imbécile misère, de poisseuse tristesse, et qui se voit opposer une jeune fille têtue, ses deux copains musicos et sa grand-mère en chaise roulante, qui vont former un groupe.
Marie Claire
Patti Cake$ dézingue les stéréotypes du rap et se révèle triplement transgressif, défendant l’idée qu’on peut réussir dans ce domaine en étant une femme, blanche et en surpoids.
Ouest France
Une belle réussite, tant visuelle que scénaristique, portée par la révélation Danielle Macdonald.
Studio Ciné Live
L'Americain Geremy Jasper signe avec son premier long, le portrait généreux d'une jeune rappeuse obstinée.
Bande à part
Geremy Jasper aurait pu cadrer ça, cette histoire un peu minable, une vie de chien, de white trash (« raclure blanche »). Mais il tient le social en background et surtout, s’interdit tout misérabilisme : son portrait n’est pas économique, ni sociologique, il est dans la vie.
CinemaTeaser
Un film sans grand effort de mise en scène, qui vaut véritablement pour ses personnages et ses acteurs.
L'Obs
Un conte de fées white trash cousu de fil blanc auquel l’abattage de Danielle Macdonald (une révélation), le bagou des dialogues et les apartés fous, façon comédie musicale, confèrent une personnalité qui manque à la mise en scène.
Le Figaro
L'actrice australienne Danielle McDonald crève littéralement l'écran dans ce premier long-métrage ambitieux.
Le Journal du Dimanche
Le scénario est cousu de fil blanc mais le charme est au rendez-vous : l’héroïne, cousine de l’Anglaise Kate Tempest, est aussi grosse qu’émouvante et les autres personnages, que ce soit la mère instable ou le copain mutique, tous attachants et joliment dessinés.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier long métrage, Geremy Jasper piétine les clichés et signe une épopée initiatique vivifiante.
Voici
Si vous n'aimez pas le slam et les gros mots, fuyez ! Sinon, allez-y pour apprécier cette success story white trash, peuplée de "trognes", qui vous laissera à peine le temps de respirer entre deux battles.
aVoir-aLire.com
Cette success-story musicale ne révolutionne pas le genre mais propose un touchant récit d’êtres à la dérive. Mineur mais agréable.
Cahiers du Cinéma
Avouons qu’on a vu le film en clôture de la Quinzaine à Cannes, parmi tant de films mornes, et qu’on a passé la fin du festival avec le rap de Patti en tête. Parfois le plaisir n’est qu’une question de contexte : le rap de Patti déchire sur la Côte d’Azur et dans le New Jersey, peut-être pas à Paris et NewYork.
Critikat.com
Le film transpire d'une véritable ivresse créative, même si elle manque cruellement de singularité.
Le Monde
Un bréviaire de correction politique, tout juste sauvé par la performance de son actrice, l’attachante Danielle Macdonald.
Première
Tous les ingrédients du feel good indé sont là : l’environnement pourri (familial et social), l’héroïne volontaire au destin contrarié, le style docu crado… Geremy Jasper n’est cependant pas Curtis Hanson et son 8 Mile au féminin manque d’aspérités et d’authenticité.