Don’t Worry, He Won’t Get Far On Foot : Critique presse
Don’t Worry, He Won’t Get Far On Foot
Note moyenne
3,1
26 titres de presse
Femme Actuelle
Positif
Bande à part
Culturopoing.com
Le Figaro
Ouest France
Première
Transfuge
CinemaTeaser
L'Express
La Croix
La Septième Obsession
Le Journal du Dimanche
Le Point
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Rolling Stone
Sud Ouest
Télérama
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
L'Humanité
L'Obs
Le Monde
Le Parisien
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un film poignant, porté par un Joaquin Phoenix bluffant.
Positif
par Alain Masson
Gus Van Sant a réussi l'impossible : transformer un classique de la pleurnicherie en une oeuvre encourageante, pleine de vitalité, d'élévation, de joie.
Bande à part
par Isabelle Danel
Retour à Portland pour Van Sant qui signe un film modeste et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Collage visuel et sonore, parcours morcelé d’un héros d’apparence hors normes mais finalement ordinaire, "Don’t worry, he won’t get far on foot", sous son costume mainstream, sonne comme l’une des œuvres les plus intimes de son réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Gus Van Sant revient de loin ; nous n'aurons pas la cruauté de rappeler le redoutable Nos souvenirs. Il signe aujourd'hui une œuvre classique, grinçante, avec de belles parenthèses de mélancolie, le souvenir d'une mère absente, le goût du pardon (autrement plus fort que les breuvages maltés).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Cédric Page
Encore une prestation étonnante de Joaquin Phoenix.
Première
par Frédéric Foubert
Gus Van Sant renoue avec sa veine mainstream, celle de Will Hunting et Harvey Milk, pour raconter la vie du dessinateur handicapé John Callahan.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par François Bégaudeau
(...) la narration kaléidoscopique de sa première demi-heure excelle à entremêler les périodes, alternant entre scènes de beuverie et scènes d’hôpital tout en incrustant parfois la reproduction plein écran d’un dessin authentique de Callahan.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Don't Worry ne réconcilie pas Gus Van Sant avec le grand cinéma de mise en scène qui l’a fait connaître, mais il le rabiboche avec les personnages forts. C’est déjà bien.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Express
par Christophe Carrière
(...) un biopic assez classique, proche, dans la filmographie de Gus Van Sant, de l'académique "Harvey Milk" ; et moins de l'exercice de style "Elephant".
La Croix
par Céline Rouden
Seuls les passages au sein du groupe de parole, peuplé de personnages fantasques et animé par Donnie, homme christique et complètement décalé interprété par le formidable Jonah Hill, apportent un peu d’aspérité à ce film sauvé en grande partie par le talent de ses acteurs. À commencer par Joaquin Phoenix, épatant dans le rôle titre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Sous ce titre énigmatique se cache un miracle auquel on n’osait plus croire : le meilleur film de Gus Van Sant depuis des lustres.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré un rythme languissant, on est touché par ce récit tragicomique grâce au charisme de [Joaquin Phoenix], qui joue avec un naturel saisissant cet antihéros pas très aimable.
Le Point
par Philippe Guedj
Parfois déroutant dans son incessante valse entre passé et présent, le 17e long-métrage de Gus Van Sant l’emporte aux points grâce au magnétisme de Phoenix et à l’émouvante résurrection psychologique de son personnage.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Sous ses oripeaux de biopic, le dernier Gus Van Sant s’ordonne en un discours modeste sur les bienfaits de l’hédonisme qui, pour ne pas céder à la contrition facile, en dit beaucoup sur son réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
C'est d'ailleurs quand il se désintéresse un peu de Joaquin Phoenix (...) pour se passionner pour Jonah Hill que le film gagne en densité. Eblouissant dans ce rôle de riche mentor homosexuel, (...) il est peut-être la véritable métamorphose dont le film est inconsciemment le récit.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Grâce à son casting minutieux que Don’t Worry... fonctionne si bien, au-delà d’une trame qui, comme souvent chez Van Sant, ne se précipite pas pour avancer ses pions.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
L’auteur de « Elephant » se livre à une succession de trajectoires temporelles qui recoupent cette vie étonnante. Il se garde néanmoins de toute émotion, et pour cause : avec ce gars, on roule des mécaniques, on en jette, on se met en scène. Joaquin Phoenix se glisse avec ferveur dans ce rôle sur mesure.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Louis Guichard
Rien dans la mise en scène ne rappelle les sommets formels d’Elephant et de Paranoïd Park, ni la cruauté et l’ironie de Prête à tout. Ce film-ci se rapprocherait plutôt de Will Hunting (1997), avec Robin Williams, à qui le rôle de Callahan fut longtemps destiné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Au-delà de ses réunions aux Alcooliques Anonymes et de quelques-uns de ses dessins les plus emblématiques, on n’apprendra pas grand chose sur John Callahan. Ce qui manque le plus de lui, c’est son goût de la provocation, absente de l’hommage douceâtre que lui a rendu Gus Van Sant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
La touche de Gus van Sant n’émerge que ponctuellement. L’insondable tristesse qui assaille le cinéaste depuis Restless lui fait oublier que, même dans le mélodrame, le rire et l’outrance peuvent aussi être de puissantes thérapies.
L'Humanité
par Sophie Joubert
On retrouve dans Don’t worry… des thèmes récurrents de l’œuvre du cinéaste : la ville de Portland, où il a longtemps vécu ; son goût pour les marges et les figures de la rébellion comme le chanteur Kurt Cobain (Last Days) ou le militant gay Harvey Milk. On a pourtant le sentiment que, en péchant par une fidélité excessive à son modèle et en se focalisant sur la résilience, il est passé à côté de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Une seule chose à sauver, dans ce film terne : l'interprétation de Joaquin Phoenix, le plus grand acteur de sa génération.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’histoire de John Callaghan (Joaquin Phoenix), alcoolique rendu paraplégique par un accident de voiture, dessinateur qui cultive l’incorrection, devient ici un conte édifiant, vivement mené, mais qui glisse sur tout ce qui pourrait fâcher ou interroger dans le parcours de cet homme en marge.
Le Parisien
par Catherine Balle
Entre séances de palabres illuminés et crises de manque, le film montre que la route vers la rédemption est chaotique. Mais à multiplier les secousses et les retours en arrière, Gus Van Sant signe un film glauque et bancal.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marcos Uzal
Avec "Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot", biopic sur le dessinateur satirique John Callahan, le cinéaste américain signe son plus mauvais film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Femme Actuelle
Un film poignant, porté par un Joaquin Phoenix bluffant.
Positif
Gus Van Sant a réussi l'impossible : transformer un classique de la pleurnicherie en une oeuvre encourageante, pleine de vitalité, d'élévation, de joie.
Bande à part
Retour à Portland pour Van Sant qui signe un film modeste et magnifique.
Culturopoing.com
Collage visuel et sonore, parcours morcelé d’un héros d’apparence hors normes mais finalement ordinaire, "Don’t worry, he won’t get far on foot", sous son costume mainstream, sonne comme l’une des œuvres les plus intimes de son réalisateur.
Le Figaro
Gus Van Sant revient de loin ; nous n'aurons pas la cruauté de rappeler le redoutable Nos souvenirs. Il signe aujourd'hui une œuvre classique, grinçante, avec de belles parenthèses de mélancolie, le souvenir d'une mère absente, le goût du pardon (autrement plus fort que les breuvages maltés).
Ouest France
Encore une prestation étonnante de Joaquin Phoenix.
Première
Gus Van Sant renoue avec sa veine mainstream, celle de Will Hunting et Harvey Milk, pour raconter la vie du dessinateur handicapé John Callahan.
Transfuge
(...) la narration kaléidoscopique de sa première demi-heure excelle à entremêler les périodes, alternant entre scènes de beuverie et scènes d’hôpital tout en incrustant parfois la reproduction plein écran d’un dessin authentique de Callahan.
CinemaTeaser
Don't Worry ne réconcilie pas Gus Van Sant avec le grand cinéma de mise en scène qui l’a fait connaître, mais il le rabiboche avec les personnages forts. C’est déjà bien.
L'Express
(...) un biopic assez classique, proche, dans la filmographie de Gus Van Sant, de l'académique "Harvey Milk" ; et moins de l'exercice de style "Elephant".
La Croix
Seuls les passages au sein du groupe de parole, peuplé de personnages fantasques et animé par Donnie, homme christique et complètement décalé interprété par le formidable Jonah Hill, apportent un peu d’aspérité à ce film sauvé en grande partie par le talent de ses acteurs. À commencer par Joaquin Phoenix, épatant dans le rôle titre.
La Septième Obsession
Sous ce titre énigmatique se cache un miracle auquel on n’osait plus croire : le meilleur film de Gus Van Sant depuis des lustres.
Le Journal du Dimanche
Malgré un rythme languissant, on est touché par ce récit tragicomique grâce au charisme de [Joaquin Phoenix], qui joue avec un naturel saisissant cet antihéros pas très aimable.
Le Point
Parfois déroutant dans son incessante valse entre passé et présent, le 17e long-métrage de Gus Van Sant l’emporte aux points grâce au magnétisme de Phoenix et à l’émouvante résurrection psychologique de son personnage.
Les Fiches du Cinéma
Sous ses oripeaux de biopic, le dernier Gus Van Sant s’ordonne en un discours modeste sur les bienfaits de l’hédonisme qui, pour ne pas céder à la contrition facile, en dit beaucoup sur son réalisateur.
Les Inrockuptibles
C'est d'ailleurs quand il se désintéresse un peu de Joaquin Phoenix (...) pour se passionner pour Jonah Hill que le film gagne en densité. Eblouissant dans ce rôle de riche mentor homosexuel, (...) il est peut-être la véritable métamorphose dont le film est inconsciemment le récit.
Rolling Stone
Grâce à son casting minutieux que Don’t Worry... fonctionne si bien, au-delà d’une trame qui, comme souvent chez Van Sant, ne se précipite pas pour avancer ses pions.
Sud Ouest
L’auteur de « Elephant » se livre à une succession de trajectoires temporelles qui recoupent cette vie étonnante. Il se garde néanmoins de toute émotion, et pour cause : avec ce gars, on roule des mécaniques, on en jette, on se met en scène. Joaquin Phoenix se glisse avec ferveur dans ce rôle sur mesure.
Télérama
Rien dans la mise en scène ne rappelle les sommets formels d’Elephant et de Paranoïd Park, ni la cruauté et l’ironie de Prête à tout. Ce film-ci se rapprocherait plutôt de Will Hunting (1997), avec Robin Williams, à qui le rôle de Callahan fut longtemps destiné.
aVoir-aLire.com
Au-delà de ses réunions aux Alcooliques Anonymes et de quelques-uns de ses dessins les plus emblématiques, on n’apprendra pas grand chose sur John Callahan. Ce qui manque le plus de lui, c’est son goût de la provocation, absente de l’hommage douceâtre que lui a rendu Gus Van Sant.
Cahiers du Cinéma
La touche de Gus van Sant n’émerge que ponctuellement. L’insondable tristesse qui assaille le cinéaste depuis Restless lui fait oublier que, même dans le mélodrame, le rire et l’outrance peuvent aussi être de puissantes thérapies.
L'Humanité
On retrouve dans Don’t worry… des thèmes récurrents de l’œuvre du cinéaste : la ville de Portland, où il a longtemps vécu ; son goût pour les marges et les figures de la rébellion comme le chanteur Kurt Cobain (Last Days) ou le militant gay Harvey Milk. On a pourtant le sentiment que, en péchant par une fidélité excessive à son modèle et en se focalisant sur la résilience, il est passé à côté de son sujet.
L'Obs
Une seule chose à sauver, dans ce film terne : l'interprétation de Joaquin Phoenix, le plus grand acteur de sa génération.
Le Monde
L’histoire de John Callaghan (Joaquin Phoenix), alcoolique rendu paraplégique par un accident de voiture, dessinateur qui cultive l’incorrection, devient ici un conte édifiant, vivement mené, mais qui glisse sur tout ce qui pourrait fâcher ou interroger dans le parcours de cet homme en marge.
Le Parisien
Entre séances de palabres illuminés et crises de manque, le film montre que la route vers la rédemption est chaotique. Mais à multiplier les secousses et les retours en arrière, Gus Van Sant signe un film glauque et bancal.
Libération
Avec "Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot", biopic sur le dessinateur satirique John Callahan, le cinéaste américain signe son plus mauvais film.