AlloCiné
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Teaser ultra salivant; un nouveau when they see us avec bande son emotion (le nom de John legend qui apparait) voilà comment vendre du rêve. Mais en fait rien. Platonique. Je ne suis meme pas sur qu'il y ai un son hormis dans le generique de fin. Le teaser 5/5 le film 1/5. Plat de chez Plat. Ca raconte ca raconte mais surtout le teaser sla raconte. Non serieux le teaser place la barre très haut. Mais le film est plat; sans émotion sans choc; sans poigne. Rien. Tres déçu.
Yetcha
Intéressant regard sur la justice états-unienne et le rôle des témoins. Touchant et plein d'émotion, le fait qu'un film ne soit PAS inspiré de fait réel peut aussi émouvoir sans cette phrase classique de début : "Inspiré de faits réels". Une découverte Netflix très agréable et merveilleusement interprétée.
"Le Monstre" est un long-métrage distribué par Netflix, c'est une œuvre adaptée du roman éponyme de Walter Dean Myers. Cela raconte la vie de Steve Harmon, un jeune étudiant accusé de meurtre lors d'un braquage. Le jeune homme va tout faire pour prouver son innocence. Nous avons là tout du film dramatique avec une belle allure de faits réels même si celui-ci n'est qu'une adaptation de roman. Le film est conté par le protagoniste en question, nous ressentons ses émotions à travers les dialogues, mais pas seulement, son jeu d'acteur est également convaincant. Le personnage principal étant de couleur, innocent ou non, cela ne va pas être facile pour celui-ci, d'autant plus quand le racisme est malheureusement présent ce qui va être d'autant plus difficile de se dépatouiller de ce fait juridique.
Les bandes-son sont en accord avec l'ambiance des quartiers de Harlem (entre autres), même si la mise en scène est quelque peu représentative, mais de manière plus seine comme si Netflix cherche à faire de politiquement correct. Le long-métrage semble être composé de deux parties qui s'entrecroisent sans cesse. Nous avons d'une part l'aspect biographique de la vie de Steve Harman et de l'autre, nous avons l'histoire juridique de Steve Harmon.
Outre ses détails, le métrage a tout de même sa part de suspense, autre que celui du jugement final, l'innocence de ce garçon est réellement remise en cause sans pour autant avoir de réelles preuves, mais ce qui est dommage est que le film ne s'attarde que trop peu sur cet aspect, à vouloir jongler et trop explorer, on ne fait que légèrement survoler et ne jamais réellement plonger le fond du sujet, quant au dénouement, il est quelque peu déroutant, mais pourtant trop lisse pour ressentir la moindre émotion que cela soit le soulagement ou la haine, c'est d'autant plus dommage et peu audacieux quand on ose nommer le film "Le Monstre". Le film est bon, disons correct, il fait le boulot ni plus ni moins.
Enfin bref, dû à ses séquences diversement montées cela ne donne que l'apparence d'une fausse et banale biographie mal exploitée. Dans le genre, un épisode de "New York Unité Spécial" peut frapper encore plus fort que ce métrage. À croire qu'ils ont tout misé sur la distribution pour laquelle ils ne font que vanter des mérites.
Les bandes-son sont en accord avec l'ambiance des quartiers de Harlem (entre autres), même si la mise en scène est quelque peu représentative, mais de manière plus seine comme si Netflix cherche à faire de politiquement correct. Le long-métrage semble être composé de deux parties qui s'entrecroisent sans cesse. Nous avons d'une part l'aspect biographique de la vie de Steve Harman et de l'autre, nous avons l'histoire juridique de Steve Harmon.
Outre ses détails, le métrage a tout de même sa part de suspense, autre que celui du jugement final, l'innocence de ce garçon est réellement remise en cause sans pour autant avoir de réelles preuves, mais ce qui est dommage est que le film ne s'attarde que trop peu sur cet aspect, à vouloir jongler et trop explorer, on ne fait que légèrement survoler et ne jamais réellement plonger le fond du sujet, quant au dénouement, il est quelque peu déroutant, mais pourtant trop lisse pour ressentir la moindre émotion que cela soit le soulagement ou la haine, c'est d'autant plus dommage et peu audacieux quand on ose nommer le film "Le Monstre". Le film est bon, disons correct, il fait le boulot ni plus ni moins.
Enfin bref, dû à ses séquences diversement montées cela ne donne que l'apparence d'une fausse et banale biographie mal exploitée. Dans le genre, un épisode de "New York Unité Spécial" peut frapper encore plus fort que ce métrage. À croire qu'ils ont tout misé sur la distribution pour laquelle ils ne font que vanter des mérites.
Guillaume
Des acteurs de renom pour un film au déroulé narratif homogène. Le montage est dans la même veine, sans dissonances mais propre.
Au final, "Le monstre" est trop aseptisé pour rester dans les mémoires.
Au final, "Le monstre" est trop aseptisé pour rester dans les mémoires.
Un drame plutôt plat et convenu, à voir éventuellement pour son casting impeccable et sa réalisation très soignée.
Une histoire sans aucun doute touchante et difficile pour les personnes qui ont vécu ce genre de chose mais en tant que spectateur du film j'ai pas ressenti grand chose. Le film a une durée de 1h38 (c'est pas long) et j'ai quand même mis pause plusieurs fois pour savoir quand est-ce que ça se terminé. Pas tellement supris par la fin, on s'en doute un peu même si la justice et les bandes sons nous font douter un peu. Ce que j'ai le plus aimé dans ce film c'est la préstation de Kelvin Harrison Jr. (dans la peau du jeune Steve Harmon) que j'avais vu pour la toute première fois dans le film "La voix du succès". D'ailleurs physiquement il a bien changé... Mais je pense que c'était pour le rôle. Un film qui tout de même a une histoire cohérente et une mise en scène soignée.
petit films sympa mais vite fait .....les acteurs par contre superrrrrrr
merci NICOLA C pour la serie THE NIGHT je connaissai pas elle est vraiment top .....
merci NICOLA C pour la serie THE NIGHT je connaissai pas elle est vraiment top .....
Int-jour salon
Un jeune homme lance Netflix pour découvrir "Le Monstre" de Anthony Mandler. Très vite, il se rencontre qu'il est devant un film fade et tellement déjà vu qui n'a absolument aucun intérêt. Rien n'y fait, le jeune homme ce sens coupable d'avoir découvert le film. Boulevardducinema.com
Un jeune homme lance Netflix pour découvrir "Le Monstre" de Anthony Mandler. Très vite, il se rencontre qu'il est devant un film fade et tellement déjà vu qui n'a absolument aucun intérêt. Rien n'y fait, le jeune homme ce sens coupable d'avoir découvert le film. Boulevardducinema.com
Le monde de Steve Harmon, un brillant lycéen de 17 ans, s'effondre quand il est accusé de meurtre.
C'est Anthony Mandler qui adapte le roman "Monster" de Walter Dean Myers. Le scénario a été écrit par Janece Shaffer et Colen C. Wiley. Ce film produit par le rappeur Nas a été présenté en avant-première au Sundance Film Festival, trois ans avant que Netflix ne rachète les droits de distribution mondiale.
J'aurais aimé avoir eu ce film en 2018 au moment de sa conception car je pense il aurait eu plus d'impact. En effet, malgré ses qualités, nous avons eu depuis d'autres dans le même style mais d'une classe au-dessus.
J'ai aimé la conception de ce drame judicaire. Au départ, on nous présente les faits dont Steve Harmon est accusé, mais pas les images. Le résultat est qu'on est un peu comme les jurés en devant se faire une opinion sur ce jeune homme seulement par sa personnalité. Cet étudiant modèle peut-il être coupable de cette complicité de crime ? Est-il ce monstre ou un innocent ? Tout au long du procès, on aura des flashbacks sur ce qui la conduit dans cette situation. Une fois le verdict tombé, à vous de vous faire votre opinion sur sa culpabilité.
L'histoire est agréable à suivre, malheureusement, à part le final, je trouve que cela manque de moments réellement marquants. Le récit suit son cours sans embuche.
Le film arrive à créer une ambiance bien particulière et cela lui permet de se donner du caractère. Les passages de procès vont avoir un ton très sombre en jouant sur les couleurs comme le noir et le gris. On sent toute la froideur d'une justice qui manque sans doute d'humanité dans sa façon de procéder.
Les flashbacks vont nous faire rentrer dans l'univers de Steve. Il y a un style bien particulier autour de sa recherche photographique de son environnement. J'ai aimé ces captures d'instant à travers un appareil ou une caméra. On sent bien le délire de Harlem.
Ce manque émotionnel est aussi dû à la prestation banale de Kelvin Harrison Jr. Pour ce type de rôle, il faut un acteur flamboyant capable de prendre aux tripes. Le jeune Américain n'est pas mauvais, mais il n'excelle pas, empêchant une forte empathie.
Par contre, le casting secondaire est beaucoup mieux choisi. On peut y retrouver notamment le désormais célèbre John David Washington, le futur Commissaire Gordon dans The Batman Jeffrey Wright, Nas qui est aussi producteur, et surtout Rakim Mayers connu sous son nom de rappeur ASAP Rocky. Ce dernier m'a d'ailleurs impressionné.
C'est Anthony Mandler qui adapte le roman "Monster" de Walter Dean Myers. Le scénario a été écrit par Janece Shaffer et Colen C. Wiley. Ce film produit par le rappeur Nas a été présenté en avant-première au Sundance Film Festival, trois ans avant que Netflix ne rachète les droits de distribution mondiale.
J'aurais aimé avoir eu ce film en 2018 au moment de sa conception car je pense il aurait eu plus d'impact. En effet, malgré ses qualités, nous avons eu depuis d'autres dans le même style mais d'une classe au-dessus.
J'ai aimé la conception de ce drame judicaire. Au départ, on nous présente les faits dont Steve Harmon est accusé, mais pas les images. Le résultat est qu'on est un peu comme les jurés en devant se faire une opinion sur ce jeune homme seulement par sa personnalité. Cet étudiant modèle peut-il être coupable de cette complicité de crime ? Est-il ce monstre ou un innocent ? Tout au long du procès, on aura des flashbacks sur ce qui la conduit dans cette situation. Une fois le verdict tombé, à vous de vous faire votre opinion sur sa culpabilité.
L'histoire est agréable à suivre, malheureusement, à part le final, je trouve que cela manque de moments réellement marquants. Le récit suit son cours sans embuche.
Le film arrive à créer une ambiance bien particulière et cela lui permet de se donner du caractère. Les passages de procès vont avoir un ton très sombre en jouant sur les couleurs comme le noir et le gris. On sent toute la froideur d'une justice qui manque sans doute d'humanité dans sa façon de procéder.
Les flashbacks vont nous faire rentrer dans l'univers de Steve. Il y a un style bien particulier autour de sa recherche photographique de son environnement. J'ai aimé ces captures d'instant à travers un appareil ou une caméra. On sent bien le délire de Harlem.
Ce manque émotionnel est aussi dû à la prestation banale de Kelvin Harrison Jr. Pour ce type de rôle, il faut un acteur flamboyant capable de prendre aux tripes. Le jeune Américain n'est pas mauvais, mais il n'excelle pas, empêchant une forte empathie.
Par contre, le casting secondaire est beaucoup mieux choisi. On peut y retrouver notamment le désormais célèbre John David Washington, le futur Commissaire Gordon dans The Batman Jeffrey Wright, Nas qui est aussi producteur, et surtout Rakim Mayers connu sous son nom de rappeur ASAP Rocky. Ce dernier m'a d'ailleurs impressionné.
Une bande annonce alléchante, de plus, avec en bande musicale "Devil that i know" de Jacob Banks, un premier 1/4 heure captivant mais rapidement, le manque de rythme, les flashback incessants, les narrations excessives et les quelques scènes inutiles plongent le spectateur dans une certaine léthargie.
Les bonnes interprétations et la photographie ne relèvent pas, pour moi, le défaut majeur : ne jamais trancher entre drame, affaire judiciaire, polar, social. Un saupoudrage léger de chaque sans réelle saveur. Toutefois, pas un mauvais film mais un peu insipide. 3/5 !!!
Les bonnes interprétations et la photographie ne relèvent pas, pour moi, le défaut majeur : ne jamais trancher entre drame, affaire judiciaire, polar, social. Un saupoudrage léger de chaque sans réelle saveur. Toutefois, pas un mauvais film mais un peu insipide. 3/5 !!!
Ennuyeux, plat, sans émotion.
Le sujet de fond me rappelait la série When they See us qui était absolument géniale et dramatique, mais qu'elle déception. L'histoire s'avère très monotone, les nombreux flash Back n'apportent pas grand chose, sont mous et casse le peu de rythme du procès.
La seule émotion que j'ai pu ressentir spoiler: fut la surprise de son acquittement
.
J'ai dû accélérer les scènes de flash Back pour gagner du temps.
Dommage, il y avait tellement à proposer sur ce thème, notamment sur ses moments en prison qui s'avèrent inintéressants comme le reste.
Le sujet de fond me rappelait la série When they See us qui était absolument géniale et dramatique, mais qu'elle déception. L'histoire s'avère très monotone, les nombreux flash Back n'apportent pas grand chose, sont mous et casse le peu de rythme du procès.
La seule émotion que j'ai pu ressentir spoiler: fut la surprise de son acquittement
.
J'ai dû accélérer les scènes de flash Back pour gagner du temps.
Dommage, il y avait tellement à proposer sur ce thème, notamment sur ses moments en prison qui s'avèrent inintéressants comme le reste.
3,2 - Comédiens, mise en scène, photographie de qualité mettant en scène une histoire intéressante. Le traitement est assez classique mais ça fonctionne bien
Bon film qui a mon avis n a pas spécialement besoin d effets esthétiques qui pour le coup casse le rythme et servent à rien . Les comédiens sont convaincants.
J'ai regardé ce film avec attention. J'ai pas adhéré, je l'ai trouvé long alors qu'il fait que 1H30 plus au moins.
J'ai été déçu car la bande annonce me donnait envie de le visionner.
Je pense qu'il y avait moyen de mettre cette histoire plus en avant, mais ca reste que mon avis. Je ne le conseille pas à ceux qui veulent vraiment voir un bon film dramatique mettant en avant des mineurs (17 ans) en prison.
J'ai été déçu car la bande annonce me donnait envie de le visionner.
Je pense qu'il y avait moyen de mettre cette histoire plus en avant, mais ca reste que mon avis. Je ne le conseille pas à ceux qui veulent vraiment voir un bon film dramatique mettant en avant des mineurs (17 ans) en prison.
Steve est jeune, dix-sept ans, travaille bien au lycée, s’intéresse au cinéma , famille aimante. Il a donc tout pour réussir dans la vie. Son seul handicap, est d*être noir et de vivre dans Harlem. Le voila malgré lui embringué dans une spirale qu’il ne gère pas. Pris en étau entre son statut de noir de Harlem menacé par les bandes qui font régner leur loi, et son désir de s’en sortir. La sincérité et son habilité à faire passer les émotions vont faire que Kelvin Harrison Jr entouré par un casting des plus fabuleux vont porter ce film et faire passer une émotion palpable et réelle sans pour autant tomber dans le pathos.
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