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Les acteurs sont plutôt sympathiques, mais les personnages, à commencer par celui d’Éloïse (Julia Piaton), ne sont pas dessinés avec rigueur, la caricature (Anémone en tante Bertille) manque de mordant, les gags sont rares, les dialogues ternes, le rythme languissant.
Incapable de tirer parti des quelques ellipses qui ponctuent son récit pour injecter un peu de trouble et d’ambiguïté, de donner du mou à ses comédiens prisonniers de leur partition trop écrite, la réalisatrice donne l’impression de livrer un film pour rien, une sorte de vaudeville tellement désengagé de toute idée de mise en scène que sa neutralité inoffensive finit par en devenir suspecte.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Quelle tristesse de voir les comédiennes se débattre avec des rôles aussi ingrats (pauvre Miou-Miou, en maman impuissante, pauvre Alice Belaïdi, en petite amie trompée). Quel embarras.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Une comedie douce-amère sur la vengeance et l'argent, servie par une belle distribution.
CNews
"La monnaie de leur pièce" séduira un public amateur de comédies légères au rythme enlevé.
Positif
Les acteurs sont plutôt sympathiques, mais les personnages, à commencer par celui d’Éloïse (Julia Piaton), ne sont pas dessinés avec rigueur, la caricature (Anémone en tante Bertille) manque de mordant, les gags sont rares, les dialogues ternes, le rythme languissant.
Critikat.com
Incapable de tirer parti des quelques ellipses qui ponctuent son récit pour injecter un peu de trouble et d’ambiguïté, de donner du mou à ses comédiens prisonniers de leur partition trop écrite, la réalisatrice donne l’impression de livrer un film pour rien, une sorte de vaudeville tellement désengagé de toute idée de mise en scène que sa neutralité inoffensive finit par en devenir suspecte.
Le Parisien
L'argument n'était pas mauvais s'il n'était aussi paresseusement traité.
Télérama
Quelle tristesse de voir les comédiennes se débattre avec des rôles aussi ingrats (pauvre Miou-Miou, en maman impuissante, pauvre Alice Belaïdi, en petite amie trompée). Quel embarras.