Derniers Avis : Daddy Cool - Page 4

Certes Laurence Arné est bien mais la comédie n'est pas assez profonde et les gags sont trop rares et souvent prévisibles.
Et que dire du scénario? Pale copie du triste film de 2015 avec Mark Ruffalo....

Daddy Cool est parfois lourd, parfois peu réaliste où les situations sont poussées à l'extrème. Mais au fil des minutes, Vincent Elbaz avec son énergie habituel parvient à toucher et à donner le sourire avec ce rôle d'adulte limite ado. Les rapports avec les enfants sont parfois politiquement incorrects mais tellement drôles. Quelques répliques bien pensées notamment entre le couple. Une bonne comédie française.

Vous savez exactement à quoi vous attendre, Dadd cool ’innove en rien, l’histoire est classique, il n’y a aucune prise de risque. Malgré ça, difficile de lui faire des reproches, ce qu’il fait, il le fait très bien. Le duo Vincent Elbaz / Laurence Arné fonctionne parfaitement, ils sont attachants, presque autant que les enfants ! C’est facile de mettre des répliques rigolotes dans la bouche de ces petites têtes blondes et de leur faire faire des bêtises, mais ça marche, on est attendri, on sourit très souvent, on rit même de temps en temps. Bref, une comédie serte classique, mais très agréable.

Le postulat n'est pas franchement crédible, mais l'énergie déployée et le charme des interprètes aident à faire passer la pilule, pour peu que l'on apprécie l'humour potache et trash.

Je découvre peu à peu l’actrice Florence Arné et apprécie à chaque fois sa présence. Force est de reconnaître qu’il m’est difficile d’aller plus loin dans ce film à la signalisation au sol sans surprise. Ca partait mal et pour l’actrice et pour Vincent Elbaz. Ils ont la chance de faire un métier qu’ils aiment et l’opportunité de jouer dans un film leur est vital. Leur parcours professionnel n'est pas toujours un fleuve tranquille. J’espère qu’ils s’amusent. Ce qui n’a pas été mon cas. « Daddy cool »n’a rien d’une purge et s’avère largement digeste dans la progression de sa narration. Oui, j’aime bien Florence Arné, et viendra un jour où elle participera à une comédie XXL. Quant à Vincent Elbaz, j’en reste à son interprétation dans « Il a déjà tes yeux ». Je tiens quand même à saluer les gosses pour leur authenticité.

une comédie bien sympathique avec des petits cinq au total qui se régalent
et nous font bien rire.
le couple Vincent Elbaz et Laurence Arné fonctionne bien et ça se sent à l'écran.

Pas forcément la meilleure comédie de l'année, mais pourtant on se laisse prendre au jeu bien volontier. Certaines scènes sont assez hilarantes. Cependant le rythme souffre de sérieux passages ennuyeux... Sympa pour passer un petite soirée en famille.

C'est frais, c'est drôle, c'est sans prise de tête !!! Le duo fonctionne plus que bien... derrière tout cet humour se cache aussi quelques vérités ! A regarder sans aucune hésitation !

Comme la plupart des comédies qui ont pour thème le conflit dans un couple cette dernière est amusante pendant la première partie et fini par lasser à partir du moment où les deux personnages finissent par se rapprocher. Je ne peux pas dire que j’ai trouvé le film réellement drôle mais il est assez feel good et joue pas mal avec la troupe d’enfant et Vincent Elbaz qui s’éclate en ado attardé.

Comédie légère, et agréable à regarder, le duo d acteurs est remarquable, une complicité est ressentie et omniprésente. L histoire et l épilogue restent cependant prévisible

Je ne sais pas ce qui est le plus difficilement supportable pour moi là, tout de suite. Avoir visionné ce film, qu'un tel film existe ou que je n'ai pas vu de critique similaire à celle que je m'apprête à faire...
Dès le début du film, on assiste à une scène particulièrement pitoyable où Vincent Elbaz rentre chez spoiler: lui bourré, se trompe de porte et se met à pisser sur le lit conjugal où sa femme dort. Elle se réveille en hurlant. Il rit et continue de pisser sur le mur et dans un pot. Puis en continuant de rire, il va chercher une serviette dans la salle de bain et tapote deux, trois fois le matelas imbibé de sa pisse en s'exclamant "vas-y c'est bon c'est propre haha".

A quel moment c'est sensé être drôle ?
Mais ça résume parfaitement la suite du film. Le héros est "immature". En effet, il incarne le détestable et prejudiciable stéréotype du "papa con". Il est con de base, bon à rien et je m'en foutiste, et lorsqu'il décide d'ouvrir sa crèche à domicile, évidemment il ne sait absolument pas s'occuper correctement d'enfants. Il ne sait pas ce que "ça mange", ou qu'il faut changer leurs couches, il s'endort au lieu de les surveiller, il jure et fume devant eux... Bref.
Et évidemment cela donne lieu à une tripotée de gags au combien *irrésistibles* (ou pas en fait).
Continuer de véhiculer de bons vieux stéréotypes sexistes sur les hommes qui sont évidemment bébêtes et insouciants, irresponsables et grossiers, en 2018 ça craint vraiment!
Et en face de ça nous avons bien sûr le stéréotype de la nana *hystérique et coincée* qui s'énerve *vraiment pour rien* (bah quoi, elle est avec un mec d'un âge mental de 14 ans et doit à peut prêt tout gérer, y compris lui, mais c'est une mégère frustrée hein)
Même les hommes adultes normaux sont cantonnés au stéréotype de mecs ennuyeux et mauvais coup cocu.
La seule chose positive dans cette bouse cinématographique, ce sont les petites bouilles mignonnes des gamins, mais ça ne justifie pas de s'infliger le visionnage pour autant. Franchement, si vous êtes un mimimum préoccupé par l'évolution de l'espèce, épargnez vous cette daube.

"Daddy Cool"… ou le prototype de la comédie française aguicheuse, dont la bande-annonce promettait monts et merveilles et qui s’avère, au final, bien décevante ! Tout était pourtant réuni pour faire du film l’une des très bonnes surprises de l’année, avec un sujet pas si commun, un ton gentiment trash, des gamins mignons tout plein, un Vincent Elbaz jamais aussi bon qu’un adulte immature et la toujours parfaite Laurence Arné. J’ai voulu croire que "Daddy Cool" ne subirait pas le même sort que tant de ses prédécesseurs, plus préoccupés par leur pitch que par leur qualité (voir, parmi les derniers en date, "Sous le même toit"). Malheureusement, et malgré cette bonne idée de départ, le film ne fait pas longtemps illusion sur ses limites et sur ses gros défauts. Je passerai rapidement sur l’absence totale d’audace de la mise en scène (mal récurrent des comédies françaises) pour me concentrer sur les deux problèmes majeurs de "Daddy Cool" : son storytelling et son invraisemblable vulgarité. Sur le storytelling, j’ai appris (à tort, j’en conviens !) à me montrer moins exigeant avec les comédies françaises mais là, on dépasse les limites de l’acceptable. Avec un tel pitch, il était indispensable de tenir un rythme soutenu du début à la fin et, surtout, un ton décalé pour ne pas tomber dans le convenu de bas étage. Le réalisateur Maxime Govare se plante dans les deux cas en multipliant, d’une part, les trous d’air narratif et les séquences qui n’en finissent plus spoiler: (mention spéciale à la chanson du père qui parait durer 3 heures !)
et en rentrant finalement dans le rang au lieu d’assumer son ton prétendument "rock’n’roll". La promesse était sans doute trop belle… et le réalisateur pas assez talentueux. Il est, à ce titre, effarant de constater le nombre d’axes comiques plein de potentiel qui sont torpillés en vol au profit de vannes ou de personnages bien plus attendus. Ainsi, le meilleur ami d’Adrien (Jean-François Cayrey) n’a pas assez de scènes pour exister, le tonton avocat (Bernard Le Coq) fait de la figuration, l’éditrice (Axelle Lafont) en fait des caisses, les parents des gamins (dont la revenante Vanessa Demouy) sont sous-exploités, Michel Leeb cabotine en beauf… C’est dommage car le temps de présence de ces personnages secondaires à l’écran laisse supposer que le réalisateur voulait s’appuyer sur eux… mais il le fait mal. Il n’y a guère que Grégory Fitoussi qui retient l’attention en nouveau petit ami très propre sur lui (une prestation inédite pour l’acteur). Mais le pire est sans doute le réflexe pavlovien des dialoguistes qui ne peuvent s’empêcher de balancer une insulte ou une vulgarité toutes les 30 secondes. Rarement une comédie ne m’aura paru aussi inutilement grossière. Cette grossièreté va de pair avec la violence des rapports entre les deux héros, beaucoup trop conflictuelle, à mon sens, pour une comédie. Résultat ? On peine à éprouver une quelconque empathie pour les personnages et on regrette que le réalisateur n’ait pas plutôt fait le choix du décalage de la situation, en lieu et place de ce traitement, au final très premier degré. Mais, une fois encore, mon jugement sur le film est, sans doute, dicté par l’attente suscitée par les excellentes bandes-annonces. Car, malgré ses défauts, "Daddy Cool" n’est pas inregardable. Les gamins, par exemple, sont parfaits et s’emparent des meilleures scènes… au point qu’on est déçu qu’elles ne soient pas, au final, plus nombreuses ! Les prestations de Vincent Elbaz et Laurence Arné sont impeccables, même si on aimerait que le premier joue autre chose que les grands gamins et que la seconde bénéficie enfin de rôles plus écrits. Et puis, on rit volontiers à quelques vannes bien senties spoiler: (le marché pour que les enfants ne fassent plus caca, les promenades au parc…)
, même quand elles sont prévisibles spoiler: (le changement des couches, forcément)
ou scatos spoiler: (le retour de soirée éméché où Adrien confond son lit avec la cuvette).
Tout ça ne fera pas oublier, néanmoins, que "Daddy Cool" est un film qui, au bout du compte, n’a rien à dire. Il sera donc oublié très vite…

Malgré le fait qu'on se doute beaucoup de la fin, ce film est n'en reste pas moins drôle, tendre, fou et donne le sourir tout le long. Vincent Elbaz est parfait pour ce rôle. Je vous conseille !

Honteux ce film !
Le film à ne surtout pas voir, ne perdez pas 1h30 comme moi dans votre vie vous avait mieux à faire ou à regarder je pense !
Le scénario est totalement bête, pauvre Sophie Marceaux...

Un couple trentenaire sans enfant s'éloigne, la femme reprochant à l'homme de rester un ado. Le thème au départ classique décole rapidement vers du délire avec l'homme qui créé une crèche à domicile. Vincent Elbaz est remarquable dans la nonchalance, l'absence d'ambition et d'égo, Laurence Arné énervante à souhait cherchant à secouer son mari. On est un peu dans une comédie à l'américaine avec un politiquement incorrect qui fait plaisir à voir. Une bonne comédie.