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En plus d'un récit cocasse, plein de surprises et de rebondissements, et d'une histoire d'amour atypique, ce film livre un discours intéressant sur la conformité de nos vies modernes.
Si le scénario s'avère un peu prévisible, on rit souvent des échanges entre les deux ex, ping-pong verbal parfois assez trash. Et on s'émeut lorsque cette comédie potache, cosignée par Noémie Saglio (coréalisatrice de «Connasse, princesse des coeurs»), vire à la comédie romantique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Malgré un humour pas très fin (mieux vaut aimer les gags à base de caca qui déborde) et un scénario convenu, le film est sauvé par son énergie et la présence toujours appréciable de Jean-François Carey.
La critique complète est disponible sur le site Première
Outre l’extrême prévisibilité de l’histoire, cette guerre des rosses manque de vraie insolence, reposant sur des personnages à emploi unique et archaïque (l’emmerdeuse rageuse vs l’insouciant poète), campés par des acteurs dirigés de manière très mécanique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Formidable acteur de comédie, Vincent Elbaz n’arrive pas à sauver totalement celle-ci, trop fourre-tout et qui finit par donner un sentiment de remplissage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Marie Claire
Une comédie politiquement incorrecte jubilatoire.
Public
Jouer avec des enfants est toujours compliqué au cinéma pourtant, cette fois, le bébé et les mômes de trois ans sont irrésistibles.
Télé 2 semaines
Touchant et très drôle.
Télé Loisirs
En plus d'un récit cocasse, plein de surprises et de rebondissements, et d'une histoire d'amour atypique, ce film livre un discours intéressant sur la conformité de nos vies modernes.
Le Parisien
Si le scénario s'avère un peu prévisible, on rit souvent des échanges entre les deux ex, ping-pong verbal parfois assez trash. Et on s'émeut lorsque cette comédie potache, cosignée par Noémie Saglio (coréalisatrice de «Connasse, princesse des coeurs»), vire à la comédie romantique.
Première
Malgré un humour pas très fin (mieux vaut aimer les gags à base de caca qui déborde) et un scénario convenu, le film est sauvé par son énergie et la présence toujours appréciable de Jean-François Carey.
Sud Ouest
Vincent Elbaz est tout à fait dans son registre dans cette comédie de l'immaturité, superficielle mais plutôt agréable.
Le Dauphiné Libéré
Sur un canevas pas spécialement léger, une comédie qui a bien du mal à n’être pas lourde.
Studio Ciné Live
Rien ne fonctionne dans "Daddy Cool", pas même le postulat.
Voici
Entre gags pipi-caca et McDo passés au mixeur pour nourrir sa horde, Vincent Elbaz est passé maître dans l'art d'incarner les ados attardés.
aVoir-aLire.com
Une comédie bon enfant, à l’humour lourdement trash et au scénario ubuesque.
L'Obs
Outre l’extrême prévisibilité de l’histoire, cette guerre des rosses manque de vraie insolence, reposant sur des personnages à emploi unique et archaïque (l’emmerdeuse rageuse vs l’insouciant poète), campés par des acteurs dirigés de manière très mécanique.
La Voix du Nord
Immature, un terme tout à fait approprié à ce genre de film pratiquant l’humour benêt et le sentimentalisme racoleur.
Le Figaro
Une comédie cousue de trop gros fils.
Les Fiches du Cinéma
Comédie de remariage pesante, sous-écrite et platement télévisuelle, “Daddy Cool” souffre surtout d'un manque flagrant de personnalité.
Télérama
Formidable acteur de comédie, Vincent Elbaz n’arrive pas à sauver totalement celle-ci, trop fourre-tout et qui finit par donner un sentiment de remplissage.