Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Adam McKay réalise un tour de force : nous instruire avec intelligence et humour sur la success story la plus dramatique que l’Amérique ait connue ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Vice" est de ce point de vue la démonstration implacable d’un système inepte et fallacieux, qui prêterait plus à en pleurer qu’à en rire. Heureusement, Adam McKay opte pour la farce, dans un film jubilatoire, instructif et irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Flippant et passionnant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un grand film sur la manipulation politique. Machiavélique.
Libération
par Camille Nevers
Montage effréné, souci du détail : Adam McKay réussit son brûlot sur l’accession au pouvoir du néoconservateur et de son épouse arriviste. Un biopic acerbe entre farce et tragédie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Plus qu'un banal biopic, Adam McKay offre un film jamais vu.
20 Minutes
par Caroline Vié
Vice glace le sang du spectateur tout en le faisant souvent éclater de rire.
CNews
par La rédaction
Satire politique burlesque rappelant la série "House of Cards", "Vice" brosse le portrait d’un homme buveur et violent, qui a atteint les sommets du pouvoir grâce à sa femme Lynne (Amy Adams), pétrie d’ambitions.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Tout cela est à l’évidence lapidaire, partial jusqu’au kitsch, et c’est bien cette matière que Vice veut malaxer : la caricature et la diatribe. (…) Vice prend acte de ce que, désormais, tous les coups sont permis, et c’est sa principale vertu.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Qu'un film aussi partial parvienne à engager à ce point le spectateur n'est sans doute pas la moindre de ses qualités.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
C’est le Michaël Moore de la fiction. Quand son collègue fait des documentaires brûlots dans lesquels il se met en scène et charge l’Amérique, Adam McKay fait des comédies hilarantes et tapageuses d’empêcheur de tourner en rond.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par Françoise Delbecq
Entre burlesque et tragédie, ce film insolent fait sourire, mais aussi donne froid dans le dos.
L'Obs
par François Forestier
La critique américaine a désossé le film, soit pour ses inexactitudes historiques, soit pour ses intentions militantes, soit pour son allure de turlupinade sarcastique. Or, c'est justement pour ça que nous, on l'aime.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Adam McKay s'est penché sur la vie du vice-président de George Bush. Et livre un film drôle et effrayant qui plonge dans les coulisses de la vie politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Figurant parmi les favoris des Oscars du 26 février, « Vice » ose tout, se permet un humour grinçant, tente des innovations formelles pleines d’audace, n’a jamais peur de choquer… Dans le rôle de Cheney, Christian Bale, méconnaissable, force l’admiration.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
L'effet de surprise a disparu, mais la démonstration reste d'une efficacité qui confine au virtuose.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Une démonstration jouissive et acide des rouages de la politique américaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Pierre Eisenreich
À travers un biopic consacré à Dick Cheney, Adam McKay réalise une généalogie du présent de cette investiture trumpienne, l'une des plus problématiques de l'histoire des États-Unis.
Première
par Thomas Baurez
Vice est un film cruel parce que génial. À moins que ce ne soit l’inverse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un biopic aussi féroce que fouillé.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Antoine Du Jeu
[Adam McKay] greffe sur le biopic, genre pontifiant par excellence, son comique féroce, sa lucidité politique et son sens de la narration virtuose.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Extrêmement dense et fouillé, le film s'autorise aussi d'étonnantes embardées comiques.
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Très documenté, le film est une brillante satire du monde politique américain.
Télérama
par Jacques Morice
Une satire féroce qui en dit long sur le pays de Trump.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Une satire grinçante et survoltée.
La Croix
par Gilles Biassette
Le réalisateur Adam McKay livre une satire au vitriol sur Dick Cheney, vice-président et « âme damnée » de George W. Bush. Ce film engagé, mêlant enquête et comédie, vaut surtout pour l’époustouflante performance d’acteur de Christian Bale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Forcément marquant, mais parasité par une réalisation un peu trop tape-à-l’œil.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le film repose sur la performance stupéfiante de Christian Bale, méconnaissable.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cet arsenal un peu vain enrobe la simplicité de l’intention et la monocordie de l’analyse : Vice est le portrait au vitriol, ironiquement scandé par une litanie d’infarctus, d’un idiot increvable, opportuniste et malfaisant. C’est suffisant pour une comédie satirique. Mais trop superficiel pour un film qui prétend à un point de vue documenté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Vice ne surmonte hélas pas les écueils d’une telle démarche : mettre sur un même plan, par un effet de montage spectaculaire, les images des responsables désignés et celles des victimes, revient à présenter une chaîne de causalité qui réduit chaque personnage, parfois explicitement, à un pion.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Ivre d'elle-même et bouffie d'effets aussi faciles que grossiers, cette satire aux petits pieds n'a rien à dire sur une époque qu'elle vomit sans chercher à la comprendre, d'où un pamphlet épais et inoffensif.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Désormais drapé dans les oripeaux de “grand cinéaste politique”, il enfonce le clou avec "Vice", mais en oublie du même coup sa grammaire, jadis si brillante, pour y substituer un infernal sabir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
Adam McKay réalise un tour de force : nous instruire avec intelligence et humour sur la success story la plus dramatique que l’Amérique ait connue ces dernières années.
Franceinfo Culture
"Vice" est de ce point de vue la démonstration implacable d’un système inepte et fallacieux, qui prêterait plus à en pleurer qu’à en rire. Heureusement, Adam McKay opte pour la farce, dans un film jubilatoire, instructif et irrésistible.
L'Express
Flippant et passionnant.
Le Dauphiné Libéré
Un grand film sur la manipulation politique. Machiavélique.
Libération
Montage effréné, souci du détail : Adam McKay réussit son brûlot sur l’accession au pouvoir du néoconservateur et de son épouse arriviste. Un biopic acerbe entre farce et tragédie.
Ouest France
Plus qu'un banal biopic, Adam McKay offre un film jamais vu.
20 Minutes
Vice glace le sang du spectateur tout en le faisant souvent éclater de rire.
CNews
Satire politique burlesque rappelant la série "House of Cards", "Vice" brosse le portrait d’un homme buveur et violent, qui a atteint les sommets du pouvoir grâce à sa femme Lynne (Amy Adams), pétrie d’ambitions.
Cahiers du Cinéma
Tout cela est à l’évidence lapidaire, partial jusqu’au kitsch, et c’est bien cette matière que Vice veut malaxer : la caricature et la diatribe. (…) Vice prend acte de ce que, désormais, tous les coups sont permis, et c’est sa principale vertu.
CinemaTeaser
Qu'un film aussi partial parvienne à engager à ce point le spectateur n'est sans doute pas la moindre de ses qualités.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est le Michaël Moore de la fiction. Quand son collègue fait des documentaires brûlots dans lesquels il se met en scène et charge l’Amérique, Adam McKay fait des comédies hilarantes et tapageuses d’empêcheur de tourner en rond.
Elle
Entre burlesque et tragédie, ce film insolent fait sourire, mais aussi donne froid dans le dos.
L'Obs
La critique américaine a désossé le film, soit pour ses inexactitudes historiques, soit pour ses intentions militantes, soit pour son allure de turlupinade sarcastique. Or, c'est justement pour ça que nous, on l'aime.
Le Figaro
Adam McKay s'est penché sur la vie du vice-président de George Bush. Et livre un film drôle et effrayant qui plonge dans les coulisses de la vie politique.
Le Parisien
Figurant parmi les favoris des Oscars du 26 février, « Vice » ose tout, se permet un humour grinçant, tente des innovations formelles pleines d’audace, n’a jamais peur de choquer… Dans le rôle de Cheney, Christian Bale, méconnaissable, force l’admiration.
Le Point
L'effet de surprise a disparu, mais la démonstration reste d'une efficacité qui confine au virtuose.
Les Fiches du Cinéma
Une démonstration jouissive et acide des rouages de la politique américaine.
Positif
À travers un biopic consacré à Dick Cheney, Adam McKay réalise une généalogie du présent de cette investiture trumpienne, l'une des plus problématiques de l'histoire des États-Unis.
Première
Vice est un film cruel parce que génial. À moins que ce ne soit l’inverse.
Sud Ouest
Un biopic aussi féroce que fouillé.
Transfuge
[Adam McKay] greffe sur le biopic, genre pontifiant par excellence, son comique féroce, sa lucidité politique et son sens de la narration virtuose.
Télé 7 Jours
Extrêmement dense et fouillé, le film s'autorise aussi d'étonnantes embardées comiques.
Télé Loisirs
Très documenté, le film est une brillante satire du monde politique américain.
Télérama
Une satire féroce qui en dit long sur le pays de Trump.
Voici
Une satire grinçante et survoltée.
La Croix
Le réalisateur Adam McKay livre une satire au vitriol sur Dick Cheney, vice-président et « âme damnée » de George W. Bush. Ce film engagé, mêlant enquête et comédie, vaut surtout pour l’époustouflante performance d’acteur de Christian Bale.
La Voix du Nord
Forcément marquant, mais parasité par une réalisation un peu trop tape-à-l’œil.
Le Journal du Dimanche
Le film repose sur la performance stupéfiante de Christian Bale, méconnaissable.
Le Monde
Cet arsenal un peu vain enrobe la simplicité de l’intention et la monocordie de l’analyse : Vice est le portrait au vitriol, ironiquement scandé par une litanie d’infarctus, d’un idiot increvable, opportuniste et malfaisant. C’est suffisant pour une comédie satirique. Mais trop superficiel pour un film qui prétend à un point de vue documenté.
Critikat.com
Vice ne surmonte hélas pas les écueils d’une telle démarche : mettre sur un même plan, par un effet de montage spectaculaire, les images des responsables désignés et celles des victimes, revient à présenter une chaîne de causalité qui réduit chaque personnage, parfois explicitement, à un pion.
Ecran Large
Ivre d'elle-même et bouffie d'effets aussi faciles que grossiers, cette satire aux petits pieds n'a rien à dire sur une époque qu'elle vomit sans chercher à la comprendre, d'où un pamphlet épais et inoffensif.
Les Inrockuptibles
Désormais drapé dans les oripeaux de “grand cinéaste politique”, il enfonce le clou avec "Vice", mais en oublie du même coup sa grammaire, jadis si brillante, pour y substituer un infernal sabir.