AlloCiné
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Ce premier film de Michel Denisot est définitivement raté : scénario absent et caricature extrême. La promesse était belle, le résultat est un gâchis et ne ressemble pas à ce que Michel Denisot nous a laissé voir de lui pendant ces années TV. Parfois vulgaire, ce film n'est pas réussi.
Pas un chef d'œuvre mais un film assez plaisant avec malgré tout un bon casting, du bon jeu et une ambiance agréable. Un bon moment à passer quand même, film loins d'être catastrophique.
Un excellent premier film basé sur le monde de la télévision et ses excès qui semblent assez justes scénarisés par un excellent Denisot qui connait bien ce monde.
C'est drôle souvent, tragique parfois et on est souvent surpris positivement. C'est bien joué avec un excellent Dubosc qu'on avait pas vu aussi bon depuis longtemps. On a passé un excellent moment ! Et on a aussi bien aimé la fin inattendue.
C'est drôle souvent, tragique parfois et on est souvent surpris positivement. C'est bien joué avec un excellent Dubosc qu'on avait pas vu aussi bon depuis longtemps. On a passé un excellent moment ! Et on a aussi bien aimé la fin inattendue.
NammJones
Les films où Franck Dubosc joue sont généralement mauvais et remplis de clichés. Celui-là n'y échappe évidemment pas. C'est gênant tant c'est mauvais, jamais drôle, jamais surprenant... et si long.
C'est à se demander comment Michel Denisot, vu son expérience, peut réaliser un film aussi catastrophique !
C'est à se demander comment Michel Denisot, vu son expérience, peut réaliser un film aussi catastrophique !
aucun intérêt. le scénario est brouillon. je me suis ennuyé. j'ai connu franck Dubocs dans de meilleur rôle
PLR
A la mise en place des personnages et de la situation, le ton légèrement caustique et surtout caricatural parfois pourrait faire penser à une comédie sur le registre humoristique, moqueur ou de l'auto-dérision. Mais non ! Peu à peu on s’enfonce dans quelque chose d’essentiellement descripteur des arcanes du petit écran, du vedettariat, des relations avec le pouvoir financier (les actionnaires) et le pouvoir politique (le scénario nous apportera rien de moins qu’un ministre de la culture, une ministre de la santé, un secrétaire d’état aux affaires familiales). C’est sans doute ce passage d’un relatif comique à un ton davantage pamphlétaire mais restant superficiel faute de démonstration plus appuyée qui désarçonne les spectateurs et conduit à une note moyenne assez basse. En fait, personne ne semble trouver dans ce film ce qu’il en attendait. Et tout le monde n’attendait visiblement pas la même chose ! La faute probablement à un Franck Dubosc en tête d’affiche qui n’arrive pas à bien gérer les multiples aspects, populaire mais mielleux et renard ou rapace, de son personnage. Il lui aura sans doute été difficile ici d’imiter des personnages avec lesquels son rôle pourrait ou devrait avoir une certaine… ressemblance comme le suggère le titre. Il reste que, si on aime ce genre d’immersion dans l’univers de ce qui se passe derrière la caméra et autour de nos Dieux et autres gouroux des médias, il y a matière à apprécier. Les caméos (apparitions fugaces) de vedettes du petit écran appuieront quelque peu un côté entre-soi un peu irritant mais faisant certainement partie du propos de manière subliminale. Sur un film finalement pas détestable, beaucoup d'interrogations. Le mieux est encore d'aller le voir pour se faire sa propre opinion. La "ménagère de moins de 50 ans" semble en tout cas faire partie du public. L'envie sans doute de voir ou d'apercevoir l'autre côté de la petite lucarne.
ennuyant, pas de vrais situations drôle, plus une suite de scénettes. trop de voix off... heureusement il est court
franchement pas terrible, scénario décousu ( y a un gros problème de rythme dans ce film) on s y perds à multiples reprises
très bon film avec d excellents comédiens.nous avons beaucoup ri mais aussi par moment de la tristesse
Le film est basé sur la vengence je l'ai compris à la lecture du sujet.
J'ai été déçue, entre la drogue les scènes d'amour je ne retiendrai pas grand chose. Les scenes de d'amour sont droles. Les acteurs sont bons seule raisons pour ne pas quitter la salle.
J'ai été déçue, entre la drogue les scènes d'amour je ne retiendrai pas grand chose. Les scenes de d'amour sont droles. Les acteurs sont bons seule raisons pour ne pas quitter la salle.
CinÉmotion
L'idée de voir Michel Denisot nous montrer l'envers du décor de la télévision qu'il connait à la perfection et à travers une première réalisation au cinéma était tellement palpitante. Mais malheureusement le résultat est décevant. C'est un premier film, ce qui explique la réalisation un peu fébrile, le jeu pas toujours convainquant, Franck Dubosc pas vraiment à l'aise dans le rôle dés que cela bascule dans un aspect un peu plus dramatique. Il y a aussi un manque profond de vraies idées de mise en scène mais je ne vais pas m'attarder sur cela. Là où il est difficile de pardonner, c'est sur le scénario...il y a déjà un gros problème de rythme et de transition des séquences. Le début était plutôt bien avec même des idées de montage (des effets pas toujours hyper bien réalisés) plutôt bonnes et dynamiques servant le scénario. Puis une fois les scènes d'expositions effectuées, le film enchaîne séquence sur séquence mais dans un rythme mal maitrisé, amenant un peu de confusion tellement certaines scènes sont très courtes par rapport à d'autres et qui en plus n'apportent pas directement de la pertinence à l'ensemble. Du coup on bascule principalement dans une spirale de sexe, de sexisme, de cynisme et coup bas sans profondeur. Connaissant un peu le milieu de la télé, ce sont certes ces composantes que l'on retrouve dans ce milieu mais j'ai trouvé que tout était retranscrit de façon vraiment trop caricaturale, trop cliché, sans subtilité ni grande finesse. Tout est amené avec les gros sabots. Je m'attendais à beaucoup plus d'intelligence dans l'écriture, et beaucoup plus d'originalité, de surprises, en gardant cet axe de coup bas et concurrence féroce mais de façon beaucoup plus habile et maligne. Tous les copains vedettes de la télé ont répondu présent, mais cela ne suffit pas à crédibiliser le film. Il y avait tellement mieux à faire avec l'expérience de M.Denisot. Le film est en plus très court, et on reste vraiment sur la faim.
On descend beaucoup ce film, mais c'est loin d'être un navet. Ça se laisse très bien regarder.
Un film dans les coulisses de la TV. Assez dynamique.
Seul Dubosc n'est pas hyper crédible dans le rôle du journaliste, star du JT. Un acteur moins "comique" aurait été plus crédible.
Reste du casting très bon: Commandeur, Sylvie Testud, Podalydes.
Un film dans les coulisses de la TV. Assez dynamique.
Seul Dubosc n'est pas hyper crédible dans le rôle du journaliste, star du JT. Un acteur moins "comique" aurait été plus crédible.
Reste du casting très bon: Commandeur, Sylvie Testud, Podalydes.
Une chance que l'on ne c'est pas fié aux avis. Bon film et on n'a pas vu le temps passé. De bons acteurs et actrices
Sans saveur, sans couleur, sans odeur, quelques éléments intéressants, quelques gags bien trouvés, une satire pas déplaisante mais vite oubliée.
Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
RealPrime
Dès lors que j'ai lu le scénario sur le magazine "Pathé Gaumont", j'ai su que j'allais kiffé. En effet ce film est un parfait envers des décors de la télévision, en l’occurrence ici, le JT du 20H.
spoiler:
Montrer quelques conférences de rédaction, entretien dans le bureau du PDG, le plateau avec toute l'équipe et les multiples aléas du métier. Une chaîne fictive certes mais qui est clairement la version modifiée de TF1 en raison du logo "20H", du plateau, le logo de la chaîne, le logo du magazine créer par le personnage de Dubosce faisant référence à "Grand Reportage".... Un personnage sous le feu des projecteurs avec ses audiences au plafond, une femme de rêve, des collègues qui l'adore, mais le déteste lorsqu'il se l'à joue solitaire en direct en refusant de les écouter dans l'oreillette pour faire à sa manière personnelle, mais il fait tellement bien les choses qu'ils finissent par le bénir.
Une magnifique satire avec le patron se faisant déranger chez lui par téléphone en pleine action sexuelle (scène parfaitement filmée pour "tous public"), puis à sa mort, toutes les têtes connues du P.A.F. sortent faire figuration, mais c'est génial. Laisse alors la place à ce journaliste/présentateur pas trop connu, la place de se faire réellement connaître encore plus, car ce décès va le faire voir par tous. spoiler: Puis le nouveau big boss arrive, un capitaliste impitoyable, fait bien comprendre à CSG (Dubosc) qu'il n'est un présentateur lisant un prompteur, dont le but n'est que de faire de l'audience et rien d'autre. Un nouveau boss découvrant avec jalousie ses audiences faramineuse et qui se veut être plus puissant et veut le faire chuter pour bien lui montrer qui il est. Mais plus les audiences grandissent, plus il est énervé.
Puis le ministre de la culture, un trio entre la star, ce dernier et le producteur/ami de Dubosc décapant qui mène un peu trop loin parfois. spoiler: La séquence culte ou ce dernier se fait agresser par des intermittents du spectacle va laisser des séquelles à ce dernier, mais une scène bien comique mais qui fait mal pour lui.
Tous le reste sera un peu fioritures mais très bon quand même. Une comédie réalisé par Michel Denisot, figure même du P.A.F. qui en sait un rayon plus que quiconque et nous livre sa (vraie) version des faits. Un équivalent "Loup de Wall Street" qui n'aura sans doute jamais son succès planétaire mais beaucoup d'éléments montre le réalisme dans ces univers professionnels. Comment tenir sa popularité, avec qui traîner, qui détester d'avance... Un sympathique voyage dans l'envers du décors. Pour moi, unique affiche tricolore de l'année, quasi 1 an après "Un homme pressé". Mais c'est uniquement quand le scénario m'accroche, que je répond présent. spoiler: Un dernier rappel, un personnage dont la naissance réglée au millimètre est très particulière, né à 20H le 11 Septembre.
C'était écrit pour le job, mais pas pour la date. A vous les studios.
Une magnifique satire avec le patron se faisant déranger chez lui par téléphone en pleine action sexuelle (scène parfaitement filmée pour "tous public"), puis à sa mort, toutes les têtes connues du P.A.F. sortent faire figuration, mais c'est génial. Laisse alors la place à ce journaliste/présentateur pas trop connu, la place de se faire réellement connaître encore plus, car ce décès va le faire voir par tous. spoiler: Puis le nouveau big boss arrive, un capitaliste impitoyable, fait bien comprendre à CSG (Dubosc) qu'il n'est un présentateur lisant un prompteur, dont le but n'est que de faire de l'audience et rien d'autre. Un nouveau boss découvrant avec jalousie ses audiences faramineuse et qui se veut être plus puissant et veut le faire chuter pour bien lui montrer qui il est. Mais plus les audiences grandissent, plus il est énervé.
Puis le ministre de la culture, un trio entre la star, ce dernier et le producteur/ami de Dubosc décapant qui mène un peu trop loin parfois. spoiler: La séquence culte ou ce dernier se fait agresser par des intermittents du spectacle va laisser des séquelles à ce dernier, mais une scène bien comique mais qui fait mal pour lui.
Tous le reste sera un peu fioritures mais très bon quand même. Une comédie réalisé par Michel Denisot, figure même du P.A.F. qui en sait un rayon plus que quiconque et nous livre sa (vraie) version des faits. Un équivalent "Loup de Wall Street" qui n'aura sans doute jamais son succès planétaire mais beaucoup d'éléments montre le réalisme dans ces univers professionnels. Comment tenir sa popularité, avec qui traîner, qui détester d'avance... Un sympathique voyage dans l'envers du décors. Pour moi, unique affiche tricolore de l'année, quasi 1 an après "Un homme pressé". Mais c'est uniquement quand le scénario m'accroche, que je répond présent. spoiler: Un dernier rappel, un personnage dont la naissance réglée au millimètre est très particulière, né à 20H le 11 Septembre.
C'était écrit pour le job, mais pas pour la date. A vous les studios.
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